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n, le désir d’ouverture de la conscience et de la
connaissance
, c’est l’attitude fédéraliste qui peut le sauver, puisqu’elle se fond
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ppeler l’instinct fédéraliste. Qu’en est-il de la
connaissance
du fédéralisme lui-même ? La plupart semblent ignorer le véritable se
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uoi cela ? Parce qu’ils écrivent de la musique en
connaissance
de toute l’histoire de la musique — d’après elle, pour faire autre ch
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vert sans réserve au tout de la réalité créée. La
connaissance
, alors, vise précisément, dans le réel, ce qui ne cadre pas avec les
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pour atteindre la vraie réalité divine, en pleine
connaissance
de la réalité du monde. Ce Dieu qui exige la vérité absolue ne veut p
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de cette lutte avec l’idée de Dieu jusque dans la
connaissance
du réel, qui pourtant vient de Dieu… Dieu n’est pas l’objet d’une foi
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t pas organiquement. Pour passer de la volonté de
connaissance
désintéressée à l’idée d’appliquer certains de ses résultats, il fall
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cle, mais l’inventeur de la turbine. Volonté de
connaissance
contemplative, volonté de connaissance transformante (par la transmut
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Volonté de connaissance contemplative, volonté de
connaissance
transformante (par la transmutation de la matière et des âmes) : ces
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t quant à la mystique, elle suppose avant tout la
connaissance
précise du dogme. Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expressi
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a culture dont il est imprégné. Voilà pourquoi la
connaissance
des dogmes et des options fondamentales de nos religions sera demain
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de se tenir à Genève sur l’esclavage. Elle a pris
connaissance
du fait divers suivant : 500 000 nègres arrachés à l’Afrique vivent c
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ces clichés qu’il « promeut », plus qu’une vraie
connaissance
mutuelle. La méthode est sûrement réaliste. Elle traite les idées pré
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le n’est pas une affaire de sentiment, ni même de
connaissance
mutuelle, mais d’allégeance aux mêmes institutions. Et nous, Européen
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lèche et l’Homme Kassner avait sans doute pris
connaissance
du zen par le précieux petit livre d’Herrigel sur L’Art chevaleresque
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ut d’abord : transmettre des recettes de vie, des
connaissances
et des significations, relier les sentiments, les idées et les actes,
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œuvre mène le train d’enfer d’un « Don Juan de la
connaissance
», jusqu’au jour où il s’arrête, « cloué », sur le seuil d’une Éterni
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ce peuple : la philosophie maîtrise l’instinct de
connaissance
, l’art maîtrise l’instinct créateur de formes et l’extase, l’Agapè ma
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texte capital : Une fable. — Le Don Juan de la
connaissance
: aucun philosophe, aucun poète ne l’a encore découvert. Il lui manqu
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té et il jouit des chasses et des intrigues de la
connaissance
— qu’il poursuit jusqu’aux étoiles les plus hautes et les plus lointa
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’est ce qu’il y a d’absolument douloureux dans la
connaissance
, comme l’ivrogne qui finit par boire de l’absinthe et de l’eau-forte.
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il finit par désirer l’enfer, — c’est la dernière
connaissance
qui le séduit. Peut-être qu’elle aussi le désappointera comme tout ce
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et il éprouvera le désir d’un repas du soir de la
connaissance
, qui jamais plus ne lui tombera en partage ! — Car le monde des chose
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déjà dans Aurore, il arrive que le Don Juan de la
connaissance
s’interroge, et cela n’est pas dans le droit fil du personnage. Ou bi
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us y trompons pas. — Mais c’est notre instinct de
connaissance
qui est trop développé pour que nous puissions encore apprécier le bo
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e nous puissions encore apprécier le bonheur sans
connaissance
, ou bien le bonheur d’une illusion solide et vigoureuse ; nous souffr
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ommes-nous, nous aussi, des amants malheureux. La
connaissance
s’est transformée chez nous en passion qui ne s’effraie d’aucun sacri
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e de s’éteindre elle-même… Mais la passion de la
connaissance
peut faire périr l’humanité ? Qu’à cela ne tienne ! « Cette pensée, e
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ternel qui subitement « cloue » le Don Juan de la
connaissance
. C’est Nietzsche lui-même, qui tend la main au Commandeur — à l’Étern
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s. Or, on ne saurait trancher l’alternative qu’en
connaissance
des fins auxquelles chacun de ses termes s’ordonne et nous incline, s
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le fameux symbole, le principe essentiel dont la
connaissance
était réservée aux esprits supérieurs, seuls dépositaires de cet ulti
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— le « Rien n’est vrai, tout est permis » est une
connaissance
réservée, un savoir religieux et un symbole mystique. « Tout est perm
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eux, ni les mystiques de l’islam après eux. Cette
connaissance
ne peut être obtenue par un défi à la morale courante, ni même par un
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our en pleine connaissance de cause, j’entends en
connaissance
précise du modèle que l’on dit ne pouvoir imiter. (Ceux qui invoquent