1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 n, le désir d’ouverture de la conscience et de la connaissance , c’est l’attitude fédéraliste qui peut le sauver, puisqu’elle se fond
2 ppeler l’instinct fédéraliste. Qu’en est-il de la connaissance du fédéralisme lui-même ? La plupart semblent ignorer le véritable se
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
3 uoi cela ? Parce qu’ils écrivent de la musique en connaissance de toute l’histoire de la musique — d’après elle, pour faire autre ch
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
4 vert sans réserve au tout de la réalité créée. La connaissance , alors, vise précisément, dans le réel, ce qui ne cadre pas avec les
5 pour atteindre la vraie réalité divine, en pleine connaissance de la réalité du monde. Ce Dieu qui exige la vérité absolue ne veut p
6 de cette lutte avec l’idée de Dieu jusque dans la connaissance du réel, qui pourtant vient de Dieu… Dieu n’est pas l’objet d’une foi
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
7 t pas organiquement. Pour passer de la volonté de connaissance désintéressée à l’idée d’appliquer certains de ses résultats, il fall
8 cle, mais l’inventeur de la turbine.   Volonté de connaissance contemplative, volonté de connaissance transformante (par la transmut
9 Volonté de connaissance contemplative, volonté de connaissance transformante (par la transmutation de la matière et des âmes) : ces
10 t quant à la mystique, elle suppose avant tout la connaissance précise du dogme. Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expressi
11 a culture dont il est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des dogmes et des options fondamentales de nos religions sera demain
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
12 de se tenir à Genève sur l’esclavage. Elle a pris connaissance du fait divers suivant : 500 000 nègres arrachés à l’Afrique vivent c
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
13 ces clichés qu’il « promeut », plus qu’une vraie connaissance mutuelle. La méthode est sûrement réaliste. Elle traite les idées pré
14 le n’est pas une affaire de sentiment, ni même de connaissance mutuelle, mais d’allégeance aux mêmes institutions. Et nous, Européen
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
15 lèche et l’Homme Kassner avait sans doute pris connaissance du zen par le précieux petit livre d’Herrigel sur L’Art chevaleresque
8 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
16 ut d’abord : transmettre des recettes de vie, des connaissances et des significations, relier les sentiments, les idées et les actes,
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
17 œuvre mène le train d’enfer d’un « Don Juan de la connaissance  », jusqu’au jour où il s’arrête, « cloué », sur le seuil d’une Éterni
18 ce peuple : la philosophie maîtrise l’instinct de connaissance , l’art maîtrise l’instinct créateur de formes et l’extase, l’Agapè ma
19 texte capital : Une fable. — Le Don Juan de la connaissance  : aucun philosophe, aucun poète ne l’a encore découvert. Il lui manqu
20 té et il jouit des chasses et des intrigues de la connaissance — qu’il poursuit jusqu’aux étoiles les plus hautes et les plus lointa
21 ’est ce qu’il y a d’absolument douloureux dans la connaissance , comme l’ivrogne qui finit par boire de l’absinthe et de l’eau-forte.
22 il finit par désirer l’enfer, — c’est la dernière connaissance qui le séduit. Peut-être qu’elle aussi le désappointera comme tout ce
23 et il éprouvera le désir d’un repas du soir de la connaissance , qui jamais plus ne lui tombera en partage ! — Car le monde des chose
24 déjà dans Aurore, il arrive que le Don Juan de la connaissance s’interroge, et cela n’est pas dans le droit fil du personnage. Ou bi
25 us y trompons pas. — Mais c’est notre instinct de connaissance qui est trop développé pour que nous puissions encore apprécier le bo
26 e nous puissions encore apprécier le bonheur sans connaissance , ou bien le bonheur d’une illusion solide et vigoureuse ; nous souffr
27 ommes-nous, nous aussi, des amants malheureux. La connaissance s’est transformée chez nous en passion qui ne s’effraie d’aucun sacri
28 e de s’éteindre elle-même… Mais la passion de la connaissance peut faire périr l’humanité ? Qu’à cela ne tienne ! « Cette pensée, e
29 ternel qui subitement « cloue » le Don Juan de la connaissance . C’est Nietzsche lui-même, qui tend la main au Commandeur — à l’Étern
10 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
30 s. Or, on ne saurait trancher l’alternative qu’en connaissance des fins auxquelles chacun de ses termes s’ordonne et nous incline, s
31 le fameux symbole, le principe essentiel dont la connaissance était réservée aux esprits supérieurs, seuls dépositaires de cet ulti
32 — le « Rien n’est vrai, tout est permis » est une connaissance réservée, un savoir religieux et un symbole mystique. « Tout est perm
33 eux, ni les mystiques de l’islam après eux. Cette connaissance ne peut être obtenue par un défi à la morale courante, ni même par un
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
34 our en pleine connaissance de cause, j’entends en connaissance précise du modèle que l’on dit ne pouvoir imiter. (Ceux qui invoquent