1
e tout homme, voilà la grande nouveauté, le grand
contraste
avec le monde antique, avec le monde magique de l’Asie, avec le monde
2
rise de conscience peut et devrait surgir du seul
contraste
entre deux conférences, celle de Berlin et celle de Genève. Berlin fu
3
vante, non de rancune et d’unification forcée. Ce
contraste
est bien moins celui de deux régimes — dictature et démocratie — que
4
e ressort de l’esprit de recherche occidental, en
contraste
avec le monisme des ultimes sagesses orientales. Cette même doctrine,
5
communistes. La dialectique servait à corriger le
contraste
entre les étiquettes « de gauche » et les contenus. Elle commandait a
6
ulation d’un pays, ou l’élément « populaire » par
contraste
avec les « élites » sociales, ou encore « les masses » par opposition
7
ite (du latin plebs, populace ou prolétariat, par
contraste
avec populus, le peuple entier) quand une majorité trop forte se déga
8
es sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le
contraste
entre cette discrétion, voire ce mutisme, et cette luxuriance verbale
9
Dans ses Œuvres de l’amour, Kierkegaard marque le
contraste
, apparemment insurmontable, entre l’amour-passion (ou amour poétique)
10
du théâtre comme le reflet inversé de Tristan. Le
contraste
est d’abord dans l’allure extérieure des personnages, dans leur rythm
11
— Don Juan, joyeux moments, éternité d’enfer. Un
contraste
aussi pur, terme à terme, implique évidemment un lien d’interaction ;
12
e déclarer. Il fallait donc d’abord préciser le
contraste
des deux mythes les plus contraignants que subit la psyché occidental