1 Pella, président du Conseil italien, ainsi que du corps diplomatique, qu’a eu lieu l’ouverture publique de la table ronde. El

2 t que la victime, des réactions collectivistes du corps social ? Si nous avons perdu le sens de la personne, de l’être-en-rel

3 ndent aux « touches » de l’Esprit, l’étreinte des corps ouvre la Voie mystique, et l’abandon total à la passion est décrit co

4 nd le catastrophisme passionnel se répand dans le corps social, il prend le nom de Révolution. L’idée et la réalité de ce phé

5 ur but de convertir la société, mais d’unir en un corps les convertis. Et c’est accessoirement qu’elle a pu contribuer à modi

6 e n’est pas la personne qui se détache d’abord du corps magique de la tribu, mais c’est l’individu profanateur. Celui-ci fond

7 s et professionnelles. Ces réflexes de défense du corps social ne s’exerçant pas en Orient, la maladie nationaliste peut y pr

8 omme est un individu, du simple fait qu’il est un corps distinct, mais il ne devient une « personne » qu’en vertu des relatio

9 civilisation qui a su valoriser la matière et le corps , objets de la science, en même temps que la liberté sujet de conflits

10 tant que son dogme central postule la réalité du corps et de la matière. On vient de voir, au surplus, comment la science es

11 aire : je veux parler du docétisme, qui tenait le corps du Christ pour une simple apparence, et l’Esprit pour la seule et vra

12 « la chair » selon S. Paul n’est pas seulement le corps physique, mais l’homme naturel tout entier, le complexe indissociable

13 conçu comme Printemps perpétuel), de dominer son corps , de ne pas mourir… Ce qui s’oppose et résiste à ce Bien, ce sont alor

14 st conçu désormais comme une âme enfermée dans un corps . Il ne sera jamais libre et vraiment bon que s’il parvient à s’évader

15 in, les murs de la maison plus résistants que nos corps ). Mais si vous ne priez plus, ce n’est tout de même pas leur faute.

16 tion. Mais K. et ses collègues, en se refusant en corps au châtiment prévu par leur propre régime pour les fauteurs de « crim

17 de longues années, je notais : « Transmission du corps humain à grande distance par radio. Une particule de chair coupée et

18 lée continue à vivre. On pourrait donc envoyer un corps , atome par atome, en une fraction de seconde, à l’autre bout du monde

19 anisme en cours de transmission, modifications du corps après plusieurs voyages (« bougé »). Et si l’âme reste en route ? — R

20 n croyait avoir trouvé le moyen de désintégrer un corps humain et de le réintégrer à grande distance. On attend la suite. Ell

21 ure, dans mon village. Mais ce n’est pas ce petit corps maigre et ce rire édenté de vieillard polisson qui le rendent présent

22 que si l’idée d’un Code vraiment « gênant » prend corps . C’est à quoi ce livre doit servir, même s’il irrite d’excellents lib

23 t celui qui choisit les nouvelles à passer, les «  corps  », les emplacements, les photos et les titres. Ceux-là vraiment feron

24 n la nécessité biologique de s’adapter au bien du corps dont il est membre. La nation centraliste, « une et indivisible », ou

25 nçais réels ? C’est peu probable. Croit-il que le corps électoral français a fait preuve d’une égale maturité depuis 150 ans,

26 l devrait faire abstraction de l’immaturité de ce corps et de cet esprit en formation, jouer sa passion avec un partenaire mu

27 de la tempête, et de l’épée de chasteté entre les corps  : Lorsque leurs regards se croisèrent, il n’y eut plus entre eux qu’

28 ui tire) est-il de nature spirituelle aux yeux du corps , ou corporelle aux yeux de l’esprit ? Ou les deux à la fois ? Ou bien

29 s meilleurs prétextes, comme celui de nourrir les corps et de réduire les misères matérielles, bouleversent et oppriment tant

30 et rassembler leurs grands symboles : — celles du corps et de l’intellect (d’où la technique) dont s’occupe surtout l’Occiden

31 e complexion plutôt malingre (« Qu’on me donne un corps  ! », gémit-il dans son Journal) et qui pressent son génie d’écrivain

32 le véritable amour, c’est l’âme qui enveloppe le corps . » (Par-delà le bien et le mal, 142.) 99. Ou bien… ou bien, ibid.

33 e la possession de la vérité « dans une âme et un corps  », comme dit Rimbaud. L’excitation de la nouveauté, il la trouve dans

34 t la diversité. Le fédéralisme figure la santé du corps politique, ou son bonheur ; le totalitarisme, sa maladie mortelle. Ay

35 rine millénariste et sans passion ne sauverait le corps qu’au prix de l’âme, autant dire pour bien peu de temps. Broyant tout

36 uest (plus sept à l’Est un jour ou l’autre) en un corps politique assez puissant pour sauvegarder et garantir l’autonomie de

37 cat d’une confédération de nos pays inspirée du «  corps germanique », des états généraux de Hollande, et de la Ligue helvétiq

38 d’une « commune législation… et subordination au corps de la république ». C’est une Europe intégralement fédéraliste qu’il

39 autant que l’on voudra. On peut imaginer que les corps politiques à structures très complexes et les communautés à très fort

40 propriétés analogues à celles qui distinguent les corps et les combinaisons chimiques, et par des types de structures des rel