1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 ut écrire, non sans amertume : « Elle a choisi le cri , j’ai gardé la douleur », tandis qu’Hamlet pousse Ophélia au suicide
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
2 t tiré ! Ils tirent sur les ouvriers ! » Le vieux cri de douleur des villes européennes, le cri de douleur des faubourgs s’
3 e vieux cri de douleur des villes européennes, le cri de douleur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de B
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
4 s nationalistes en France, qui dénoncent à grands cris la disproportion de forces entre quarante-trois-millions de Français
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
5 re l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri de l’âme « exilée », qui ne s’arrache à la matière et à la chair que
6 l’Occident, la jeunesse d’hier, jettent les hauts cris de la vertu blessée. J’attaque en fait leur religion. Non pas comme u
7 ur, on datera l’ère nouvelle. » C’est en effet au cri de : « Vive la Nation ! », clamé sur tout le front des troupes, que l
8 es Français durent la victoire. Remarquons que ce cri , à ce moment-là, ne signifie point : Vive la France ! — pas davantage
9 Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque par ce seul cri la bataille sera gagnée. La nation à l’état naissant, comme nous la t
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
10 les répercussions humaines de la technique ? Long cri d’angoisse devant le monde moderne livré aux lois inexorables des mac
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
11 lentement sur toute la largeur de la rue, sans un cri , sans un mot, et peu n’ont pas pleuré. Il est frappant que la presse
12 t leur combat survivent. » C’est toujours le même cri  : « Que peut-on faire ? Je suis prêt à le faire avec vous. » « Agisse
13 plement le fait qu’on ne peut pas tout dire en un cri . Lundi 3 décembre 1956 C’est la Hongrie qui fera l’Europe. Nos
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
14 Menon est resté neutre entre les criminels et les cris de leurs victimes. On a vu ce jour-là que cette neutralité se réduit
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
15 té probable de telles clauses est fournie par les cris d’indignation qui s’élèvent de la presse communiste, au seul énoncé d
16 touché, les réflexes sont plus forts que tout, le cri part, et l’on s’est trahi… Fort brillamment écrit d’un bout à l’autre
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
17 soi-disant libéraux, puisqu’ils jettent les hauts cris dès que quelqu’un suggère de réduire le PC à l’observance des lois. S
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
18 sterné. — Je crains bien, répliquai-je, que votre cri du cœur ne définisse l’idée de la politique que l’on se fait trop gén
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
19 rimer par le verbe, l’œuvre ou l’action, sinon le cri qu’on attend d’elle ? Ici bat le cœur de l’Europe. C’est ici que l’Eu