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ut écrire, non sans amertume : « Elle a choisi le
cri
, j’ai gardé la douleur », tandis qu’Hamlet pousse Ophélia au suicide
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t tiré ! Ils tirent sur les ouvriers ! » Le vieux
cri
de douleur des villes européennes, le cri de douleur des faubourgs s’
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e vieux cri de douleur des villes européennes, le
cri
de douleur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de B
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s nationalistes en France, qui dénoncent à grands
cris
la disproportion de forces entre quarante-trois-millions de Français
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re l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le
cri
de l’âme « exilée », qui ne s’arrache à la matière et à la chair que
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l’Occident, la jeunesse d’hier, jettent les hauts
cris
de la vertu blessée. J’attaque en fait leur religion. Non pas comme u
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ur, on datera l’ère nouvelle. » C’est en effet au
cri
de : « Vive la Nation ! », clamé sur tout le front des troupes, que l
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es Français durent la victoire. Remarquons que ce
cri
, à ce moment-là, ne signifie point : Vive la France ! — pas davantage
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Gott mit uns aussitôt exaucé, puisque par ce seul
cri
la bataille sera gagnée. La nation à l’état naissant, comme nous la t
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les répercussions humaines de la technique ? Long
cri
d’angoisse devant le monde moderne livré aux lois inexorables des mac
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lentement sur toute la largeur de la rue, sans un
cri
, sans un mot, et peu n’ont pas pleuré. Il est frappant que la presse
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t leur combat survivent. » C’est toujours le même
cri
: « Que peut-on faire ? Je suis prêt à le faire avec vous. » « Agisse
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plement le fait qu’on ne peut pas tout dire en un
cri
. Lundi 3 décembre 1956 C’est la Hongrie qui fera l’Europe. Nos
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Menon est resté neutre entre les criminels et les
cris
de leurs victimes. On a vu ce jour-là que cette neutralité se réduit
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té probable de telles clauses est fournie par les
cris
d’indignation qui s’élèvent de la presse communiste, au seul énoncé d
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touché, les réflexes sont plus forts que tout, le
cri
part, et l’on s’est trahi… Fort brillamment écrit d’un bout à l’autre
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soi-disant libéraux, puisqu’ils jettent les hauts
cris
dès que quelqu’un suggère de réduire le PC à l’observance des lois. S
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sterné. — Je crains bien, répliquai-je, que votre
cri
du cœur ne définisse l’idée de la politique que l’on se fait trop gén
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rimer par le verbe, l’œuvre ou l’action, sinon le
cri
qu’on attend d’elle ? Ici bat le cœur de l’Europe. C’est ici que l’Eu