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s le voyons chercher sa voie selon ses goûts, ses
croyances
qui diffèrent (ou du moins il s’en flatte) de celles qui sont censées
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a passion, dans sa pureté originelle, suppose une
croyance
innée dans la valeur unique de l’être aimé, irremplaçable, infiniment
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infiniment distinct de tous les autres. Or cette
croyance
, l’Asiatique ne l’a jamais eue. Ses religions ne l’y préparent nullem
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’il nous apporte, en bien et en mal, s’annule. La
croyance
au Progrès collectif demeure un pur et simple acte de foi, devant leq
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idéal d’universalité. Ils semblent ignorer que la
croyance
en la valeur universelle de sa religion, de sa raison, de ses morales
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l’Église catholique, et des clubs jacobins. Cette
croyance
, en fait illusoire, est la racine des pires impérialismes : ceux qui
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e et dans les procédés, mais plus encore dans les
croyances
inspiratrices. Si tant de négations et de ruptures, tant de refus de
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ouvait donc apparaître que dans le monde où cette
croyance
à l’être unique faisait partie de la religion de tous. Son élan fou,
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n première avait pris pour tremplin la très ferme
croyance
en la réalité de la matière ! Mais derrière ce voile, qu’y a-t-il ? C
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vons ce procès. Lorsque l’ensemble des rites, des
croyances
codifiées, des instruments d’une civilisation naissante permettent à
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Mais je les vois presque tous juger selon leurs «
croyances
», comme si les faits ne comptaient pas, ou pire : comme s’il était s
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s même et du seul fait qu’on les publie, quelques
croyances
fondamentales inébranlées, quelques vérités dominantes, qu’il est bon
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générateurs des lois, des mœurs, des arts et des
croyances
; enfin, la faiblesse du support matériel (militaire, économique, dém
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répercutée dans la pensée, les hiérarchies et les
croyances
d’Églises qui groupent dans le monde entier des centaines de millions
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s de toute solution fédéraliste interne, enfin la
croyance
à la vertu suffisante de la nation une et indivisible. Au plan europé
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e la monarchie nouvelle, s’en prenne d’abord à la
croyance
en Dieu ? « Il est normal, écrit-il, qu’un certain nombre de personne
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grâce et le mérite, la mystique et la morale, la
croyance
et la science, l’absolu et le raisonnable, enfin l’amour-passion et l
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erdépendance de trois réalités hétérogènes : — sa
croyance
en l’altérité totale de Dieu et en l’unicité de l’amour humain ; — la
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institution du mariage maintient opiniâtrement la
croyance
que l’amour, bien qu’il soit une passion, est cependant susceptible d
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ré comme la règle. Par cette ténacité d’une noble
croyance
, maintenue malgré des réfutations si fréquentes qu’elles sont presque
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les institutions qui ont concédé à une passion la
croyance
en la durée de celle-ci, et la responsabilité de la durée, malgré l’e