1
politique, prise pour fin absolue devient la plus
cruelle
des religions, en même temps qu’elle perd ses vertus de science prati
2
écisions les plus terribles de la réalité la plus
cruelle
. Nous avons dénaturé le christianisme, nous l’avons pris à bon marché
3
endant qu’il avoue en aparté : « Je dois paraître
cruel
, mais c’est pour être tendre… » Il convient de marquer ici, en toute
4
aits connus de tous : 1. que Staline était un fou
cruel
et rusé (le « Caligula du Kremlin », écrivaient Preuves et le BEIPI),
5
il faille composer avec les circonstances est une
cruelle
et scandaleuse nécessité, à laquelle les partis ne se plieront qu’à l
6
s ce qu’il a de fatal, de cynique, de candide, de
cruel
… L’amour dont la guerre est le moyen, dont la haine mortelle des sexe
7
tion presque incroyable demande avec une sorte de
cruel
bon sens : « En quoi le fait d’avoir un programme discréditerait-il l