1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
1 l’appui d’une déclaration de mauvaise conscience culturelle , comme celle que je citais plus haut — et dans l’esprit de ceux qui l
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
2 ident de la VOKS, c’est-à-dire chef des relations culturelles de l’URSS avec l’étranger. Sa brochure est un texte officiel, répandu
3 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
3 de choix qui sont offertes, tant matérielles que culturelles , à un nombre sans cesse croissant d’individus. Et la mesure de ce Pro
4 on qui a pour but principal de fédérer nos forces culturelles afin de réveiller la conscience de l’Europe comme unité, au-dessus de
5 ise leur réveil. Je connais tel chargé de mission culturelle en Amérique du Sud, tel missionnaire-ethnographe en Afrique, tel phil
6 eraient une tutelle étrangère et ses conséquences culturelles . Il y a surtout la menace du défaitisme à la fois politique, civique,
7 de l’argent, comme il arrive, pour une entreprise culturelle . J’allai voir un industriel qui fabrique d’énormes turbines. Il m’éco
8 turbine. Aussi grâce au génie d’Euler, au milieu culturel de Bâle et au piétisme, des milliers d’ouvriers et d’ingénieurs gagne
4 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
9 ce du stalinisme perd son urgence dans le domaine culturel , un problème d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ens
5 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
10 ulture, mais bien du principe même des organismes culturels dépendants de la politique. À ce titre, elle mérite un examen, que pr
11 , à l’endroit de l’Unesco, les milieux proprement culturels . Nous ne voyons, pour notre part, aucune raison d’affecter la pudeur
12 ’est-ce que l’Unesco ? Un organisme qualifié de «  culturel  », mis sur pied par les gouvernements, composé de fonctionnaires nomm
13 a par miracle forme humaine et valeur proprement culturelle , ce sera bien grâce aux tours de force de quelques fonctionnaires cha
14 tion, et songer aussi à ses tâches. Les activités culturelles n’étant aux yeux de nos gouvernements — et c’est normal — qu’une espè
15 ces trois points. 1. Trop vaste. Une organisation culturelle qui survole toutes les civilisations de la planète ne peut se donner
16 mal défini et presque vide de contenu proprement culturel . (En fait, on se borne à dire qu’on travaille pour la paix.) D’autre
17 champ d’action optimum d’une œuvre de coopération culturelle correspond concrètement au « champ d’étude historique intelligible »
18 ie comme aux interférences politiques. Le travail culturel est par nature fédéraliste, donc décentralisé. Il se développe par de
19 donc naturel de calquer les organisations d’aide culturelle sur cette réalité de base. Partir d’en bas, non pas d’un centre trop
20 n (comprenant la libération pratique des échanges culturels dans une aire donnée), de subvention (après examen des propositions é
21 rage (en cas de conflit entre certaines activités culturelles et le bien commun des peuples ou du groupe de nations considéré). S’i
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
22 , la délégation britannique au Comité des experts culturels du Conseil de l’Europe présentait un mémorandum suggérant qu’une réun
23 s d’une session ultérieure, le Comité des experts culturels a décidé d’étendre la portée de ces discussions en invitant six Europ
24 instituer un débat sur « le problème spirituel et culturel de l’Europe considérée dans son unité historique et les moyens d’expr
25 e politique et économique, mais aussi sur le plan culturel et spirituel. Il avait été décidé finalement que cette table ronde se
26 des délégués des ministres, du Comité des experts culturels , de l’Unesco et de l’Organisation du traité de Bruxelles assistaient
27 ultats de la réflexion des Six. II. De l’unité culturelle à la communauté politique Mon dessein n’est pas de résumer les pér
28 L’examen de notre crise spirituelle et par suite culturelle et civique fut introduit avec ampleur par M. Eugen Kogon. Il conclut
29 tres enfin nient les concepts d’Europe et d’unité culturelle de l’Europe au nom d’un idéal d’universalité. Ils semblent ignorer qu
7 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
30 e dans tout cela, mais du « problème spirituel et culturel de l’Europe ». De Gasperi savait que le réalisme veut que notre union
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
31 et par l’élévation continue du niveau matériel et culturel des Soviétiques, les conditions d’une politique nouvelle. Les dirigea
9 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
32 tres d’activités autonomes, foyers de rayonnement culturel et commercial. L’une centralise, l’autre fédère. L’une est conservatr
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
33 ? La grève. Déclarons donc la grève des relations culturelles et des relations humaines élémentaires, contre ceux qui chez nous, li
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
34 e que les représentants de l’Europe tout entière, culturelle et technique, et de l’Afrique du Nord, politique et religieuse, se ré
12 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
35 dent depuis Tubal-Caïn et Prométhée des conquêtes culturelles de l’Occident, il ne pouvait manquer de produire la jérémiade la plus
36 rs créent du chaos, bouleversent les métabolismes culturels , et sont capables de détruire en une année des équilibres séculaires
13 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
37 entions de métropole ni de monopole économique ou culturel . Bonn, ou Berne, ou La Haye ne gênent pas les vrais centres de la vie
14 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
38 tenait à un milieu social, à un clan politique et culturel à la fois décadent et conventionnel, qui devait la livrer à la guerre
39 les non seulement l’hérésie du Midi, mais l’élite culturelle de l’Europe. Ainsi, le roman de Pasternak ne vint au jour qu’au lende
15 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
40 n acte de « guerre froide ». Critiquer les ukases culturels de Jdanov, c’était le signe d’une « panique capitaliste », donc d’une
16 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
41 s que pose le même progrès technique, éducatif et culturel , dans les conditions différentes de l’Europe, de l’Afrique, de l’Asie
17 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
42 e d’omettre, dans ce bref historique, les aspects culturels du mouvement et le rôle qu’y jouent des Suisses. Le congrès de La Hay
43 nation compteront de moins en moins, ses qualités culturelles de plus en plus, car elles seules sont perçues comme signes distincti
44 complexes et les communautés à très forte densité culturelle seront alors les réalités les mieux définies et caractérisées, les pl
45 une économie bien liée à des réalités sociales et culturelles autant que géographiques. La dévalorisation croissante des frontières
18 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
46 tutions européennes, parlemen­taires, juridiques, culturelles , techniques ; les principes généraux d’un Marché commun ; mais aussi 
47 tions suivantes à ma prise en charge de la partie culturelle du congrès projeté : 1° La commission culturelle, loin d’être une sim
48 culturelle du congrès projeté : 1° La commission culturelle , loin d’être une simple adjonction ornementale aux commissions « séri
49 le comité de liaison devait charger la commission culturelle de rédiger le préambule définissant les buts à long et à court terme
50 tait donc que son contenu, élaboré par la section culturelle , fût discuté avant le congrès par les animateurs des sections politiq
51 qui devait faire l’objet des débats de la section culturelle , à La Haye : ainsi, Nicolas Berdiaev, Étienne Gilson, Jules Romains,
52 à obtenir l’imprimatur du comité pour le rapport culturel , le rapport politique et économique étant déjà sous presse. On était
53 mérites eux aussi… Je rappelais que la commission culturelle travaillait depuis deux mois sur mon texte, et n’avait jamais entendu
54 lait, à midi je m’endormais à Ferney. Mon rapport culturel , à l’encre encore humide, fut remis aux délégués le deuxième jour du
55 a dans la résolution votée à l’unanimité : Centre culturel , Charte des droits de l’homme et Cour suprême, « instance supérieure
56 dans certains domaines clés. Enfin, la conférence culturelle de Lausanne (8-12 décembre 1949) organisée par mon « Bureau d’études 
57 e Luxembourg, en attendant le Marché commun ; les culturels avaient le Centre de Genève et par lui ou autour de lui, de nombreuse
58 points, Charte et Cour suprême, que la résolution culturelle (§ 4 et 5). 161. Formellement, Sandys avait raison : les rapports de
19 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
59 pluralité des allégeances, civiques, politiques, culturelles , idéologiques et religieuses, contre la prétention de l’État-nation à
60 pour gêner ce qu’il faudrait aider : les échanges culturels , les mouvements de personnes, la concertation rationnelle des product
61 servir une entité vivante, civique, économique ou culturelle , et être contrôlé par l’usager ; distribuer et répartir l’État, de la