1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 etit-bourgeois ou la salle de jeu des enfants aux décisions les plus terribles de la réalité la plus cruelle. Nous avons dénaturé
2 il le disait : « la plénitude du temps, quand la décision éternelle se réalise dans l’inégale occasion ». Le saut, c’était le m
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 ntes (telles que l’OTAN) prennent aujourd’hui les décisions principales, et le peuple n’a sur elles aucun contrôle. Au contraire,
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
4 st pire. Car une absurde conjoncture veut que les décisions vitales du pays dont dépend toute l’union de l’Europe, se trouvent dé
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
5 lus durs prolongeant l’action de ses mains et les décisions de sa pensée. D’autres prétendent que l’homme n’était poussé que par
6 t la Société, il n’est plus de recours contre ses décisions .) L’évolution vers des sociétés closes nous semble d’autant plus fata
7 ou ne saurais prévoir, qu’en vertu de nos libres décisions . (Ce n’est pas l’invention de la roue qui compte en soi, mais bien l’
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
8 ntervenir absolument, ne résoudra rien. Ni aucune décision politique imposée par la majorité absurdement hétéroclite des Nations
9 iser (comme on dit) l’affaire algérienne, par une décision qui condamnerait la France injustement et vainement. Mais il s’agit d
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
10 d’entrer, et nul exclu. Tout dépendra des libres décisions que leur peuple seul imposera aux États-nations d’aujourd’hui. La con
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
11 tions, de discours et de prises de conscience, de décisions et d’accidents, mais leur valeur de « faits » dépend, pour le public,
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
12 » toute tentative d’arrangement praticable, toute décision politique au sens propre. Nul besoin pour ce faire d’une analyse séri
13 voyait en lui que le dernier refuge contre toute décision proprement politique. Elle fut donc elle-même renversée, en vertu d’u
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
14 e femme et de l’épouser, car le mariage est cette décision qui « traduit l’exaltation en réalité ». Loin d’appauvrir l’expérienc
15 la vie, elle peut seule y introduire. Elle est la décision par excellence, qui rend l’existence concrète. Par elle, la vie dans
16 se sont tout à fait spontanés, le mariage est une décision  ; vouloir se marier, cela veut dire que ce qu’il y a de plus spontané
17 l y a de plus spontané doit être en même temps la décision la plus libre… En outre l’une de ces choses ne doit pas suivre l’autr
18 ’une de ces choses ne doit pas suivre l’autre, la décision ne doit pas arriver par-derrière à pas de loup : le tout doit avoir l
19 réitère à coup d’arguments philosophiques que la décision ne saurait être fondée dans l’argumentation. Rien d’étonnant si cet o
20 chématique et peu structuré. Un seul exemple : la décision fondant le mariage symbolisait aussi, nous l’avons vu, le fondement m
21 toute éthique existentielle. Mais voici que cette décision échappe à l’homme, donc à l’éthique temporelle et autonome : La déci
22 me, donc à l’éthique temporelle et autonome : La décision n’est pas la force de l’homme, ni son courage, ni son habileté… mais
23 e, mais est resté en cours de route, et une telle décision est trop misérable pour que l’inclination amoureuse ne la méprise et
24 s Étapes, qui voulait voir dans la synthèse d’une décision et d’une inclination le plus haut risque, et même un risque plus qu’h
10 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
25 nts de l’un et de l’autre, mais je m’en tiens aux décisions intervenues. Ce chassé-croisé n’a pu surprendre que ceux qui croient
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
26 ’unité, ils ignorent visiblement les processus de décision en vigueur dans les Communautés. L’Europe de formule unitaire me para
27 le pouvoir fédéral serait amené à promulguer des décisions qui sont actuellement du ressort des cantons. Le droit d’établissemen
28 distribuer les pouvoirs d’initiative, d’étude, de décision et d’exécution. Et l’on découvre le principe des dimensions optima d’
29 est inévitable. Et puis viendra la réflexion, la décision . Je me mets dans la peau du Parisien, du Viennois ou du Bruxellois, c
12 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
30 e refus de doter ces institutions d’un pouvoir de décision politique imposé par l’élan populaire, dont on sentait alors qu’il eû
31 ain pessimisme chez beaucoup, comme si déjà cette décision impliquait plus qu’une concession : une sorte d’admission de la faibl
32 conscients ou inavoués, qui contribuèrent à cette décision fatidique. Il se peut que le sort de l’Europe fédérale se soit joué à
13 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
33 sans recours toute l’existence humaine aux seules décisions de bureaux installés dans une seule capitale, et interdire toute allé
34 les pouvoirs étatiques aux différents niveaux de décision — le communal, le régional, le fédéral — indiqués par la nature des t
35 buer et répartir l’État aux différents niveaux de décision où il peut servir une entité vivante, civique, économique ou culturel