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etit-bourgeois ou la salle de jeu des enfants aux
décisions
les plus terribles de la réalité la plus cruelle. Nous avons dénaturé
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il le disait : « la plénitude du temps, quand la
décision
éternelle se réalise dans l’inégale occasion ». Le saut, c’était le m
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ntes (telles que l’OTAN) prennent aujourd’hui les
décisions
principales, et le peuple n’a sur elles aucun contrôle. Au contraire,
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st pire. Car une absurde conjoncture veut que les
décisions
vitales du pays dont dépend toute l’union de l’Europe, se trouvent dé
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lus durs prolongeant l’action de ses mains et les
décisions
de sa pensée. D’autres prétendent que l’homme n’était poussé que par
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t la Société, il n’est plus de recours contre ses
décisions
.) L’évolution vers des sociétés closes nous semble d’autant plus fata
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ou ne saurais prévoir, qu’en vertu de nos libres
décisions
. (Ce n’est pas l’invention de la roue qui compte en soi, mais bien l’
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ntervenir absolument, ne résoudra rien. Ni aucune
décision
politique imposée par la majorité absurdement hétéroclite des Nations
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iser (comme on dit) l’affaire algérienne, par une
décision
qui condamnerait la France injustement et vainement. Mais il s’agit d
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d’entrer, et nul exclu. Tout dépendra des libres
décisions
que leur peuple seul imposera aux États-nations d’aujourd’hui. La con
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tions, de discours et de prises de conscience, de
décisions
et d’accidents, mais leur valeur de « faits » dépend, pour le public,
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» toute tentative d’arrangement praticable, toute
décision
politique au sens propre. Nul besoin pour ce faire d’une analyse séri
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voyait en lui que le dernier refuge contre toute
décision
proprement politique. Elle fut donc elle-même renversée, en vertu d’u
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e femme et de l’épouser, car le mariage est cette
décision
qui « traduit l’exaltation en réalité ». Loin d’appauvrir l’expérienc
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la vie, elle peut seule y introduire. Elle est la
décision
par excellence, qui rend l’existence concrète. Par elle, la vie dans
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se sont tout à fait spontanés, le mariage est une
décision
; vouloir se marier, cela veut dire que ce qu’il y a de plus spontané
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l y a de plus spontané doit être en même temps la
décision
la plus libre… En outre l’une de ces choses ne doit pas suivre l’autr
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’une de ces choses ne doit pas suivre l’autre, la
décision
ne doit pas arriver par-derrière à pas de loup : le tout doit avoir l
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réitère à coup d’arguments philosophiques que la
décision
ne saurait être fondée dans l’argumentation. Rien d’étonnant si cet o
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chématique et peu structuré. Un seul exemple : la
décision
fondant le mariage symbolisait aussi, nous l’avons vu, le fondement m
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toute éthique existentielle. Mais voici que cette
décision
échappe à l’homme, donc à l’éthique temporelle et autonome : La déci
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me, donc à l’éthique temporelle et autonome : La
décision
n’est pas la force de l’homme, ni son courage, ni son habileté… mais
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e, mais est resté en cours de route, et une telle
décision
est trop misérable pour que l’inclination amoureuse ne la méprise et
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s Étapes, qui voulait voir dans la synthèse d’une
décision
et d’une inclination le plus haut risque, et même un risque plus qu’h
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nts de l’un et de l’autre, mais je m’en tiens aux
décisions
intervenues. Ce chassé-croisé n’a pu surprendre que ceux qui croient
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’unité, ils ignorent visiblement les processus de
décision
en vigueur dans les Communautés. L’Europe de formule unitaire me para
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le pouvoir fédéral serait amené à promulguer des
décisions
qui sont actuellement du ressort des cantons. Le droit d’établissemen
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distribuer les pouvoirs d’initiative, d’étude, de
décision
et d’exécution. Et l’on découvre le principe des dimensions optima d’
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est inévitable. Et puis viendra la réflexion, la
décision
. Je me mets dans la peau du Parisien, du Viennois ou du Bruxellois, c
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e refus de doter ces institutions d’un pouvoir de
décision
politique imposé par l’élan populaire, dont on sentait alors qu’il eû
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ain pessimisme chez beaucoup, comme si déjà cette
décision
impliquait plus qu’une concession : une sorte d’admission de la faibl
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conscients ou inavoués, qui contribuèrent à cette
décision
fatidique. Il se peut que le sort de l’Europe fédérale se soit joué à
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sans recours toute l’existence humaine aux seules
décisions
de bureaux installés dans une seule capitale, et interdire toute allé
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les pouvoirs étatiques aux différents niveaux de
décision
— le communal, le régional, le fédéral — indiqués par la nature des t
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buer et répartir l’État aux différents niveaux de
décision
où il peut servir une entité vivante, civique, économique ou culturel