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onde Ainsi l’Europe — telle que je viens de la
décrire
par quelques-uns de ses traits les plus typiques — l’Europe est la pa
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nant dans quels termes Kierkegaard lui-même s’est
décrit
. Lui aussi se sent un prince. « Il y a quelque chose de royal dans mo
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r le change ». Voici donc Hamlet tel que nous le
décrivent
les premières scènes du drame de Shakespeare, et Kierkegaard tel qu’i
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e. » Dans un autre passage du même livre, il nous
décrit
ce que l’on pourrait appeler la psychologie d’une vocation en exercic
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tème, doctrine du gouvernement fédératif », et le
décrit
, d’après Chateaubriand, comme « une des formes politiques les plus co
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religieuse portugaise, essayer au contraire de la
décrire
par ses symptômes cliniques, comme l’obsession qu’elle est ; ou parle
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suivie pas à pas : nos plus grands érudits l’ont
décrite
. Mais le roman de Tristan ne fut pas imité par les seuls écrivains de
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nce de l’Église. Le contenu du mythe ne peut être
décrit
qu’en opposant des termes eux-mêmes ambivalents : il est exaltation d
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oie mystique, et l’abandon total à la passion est
décrit
comme une conversion : Alors la vraie Minne, la fougueuse déesse, le
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isme. C’est ainsi que Nietzsche, le premier, a su
décrire
la différence fondamentale qui sépare la science grecque de notre sci
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proprement théologique : c’est l’hérésie que j’ai
décrite
. Qu’en est-il du choix des savants ? Beaucoup d’entre eux, et non des
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e réponses que de conceptions de l’homme. Les uns
décrivent
l’homo faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’
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s la naissance du nouveau régime collégial. 4. K.
décrit
les procès staliniens comme des machinations délirantes et stupides,
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s de Moscou. On ne sort pas d’un tel embarras. Le
décrire
n’est déjà pas facile… Mais une fable simplette va nous y aider peut-
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un seul individu, dans ces temps que l’on nous a
décrits
comme adversaires des libertés réelles ! Enfin, Voltaire libère ses v
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café, sur cette place de Venise que le Guide bleu
décrit
un peu mystérieusement comme « un des ensembles les plus suggestifs d
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d’un palmarès. J’ai choisi quelques noms qui vous
décrivent
une France tout dans la critique morale et l’invention lyrique, la ch
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histoire ont déploré la décadence universelle et
décrit
des âges d’or nostalgiques. Le xxe siècle étant celui d’une accéléra
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certain, c’est que le roman occidental n’a jamais
décrit
, jusqu’ici, de passion qui s’enflamme pour un objet tout proche, aisé
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tes en URSS. Mais chacune d’elles aussi a pu être
décrite
comme le dernier roman d’amour-passion de la littérature occidentale.
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ers tout le continent américain qu’il découvre et
décrit
ainsi mieux que personne, dans le même temps qu’il se voit rejeté par
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ient à l’immaturité de l’objet même de la passion
décrite
; mais sans cette immaturité, point d’obstacle et donc point de passi
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ur-passion. Par bonheur, il se trouve que Musil a
décrit
cette disposition para-mystique dans un langage plein de correspondan
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la rédemption de la passion par l’amour vrai, est
décrite
au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y pa
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nu, tout en sachant que l’on ne peut y vivre, est
décrit
par eux tous comme indicible. Tantôt, il plonge ceux qui le subissent
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flexion passionnément originale. Et je tentais de
décrire
— dans le premier article, je crois bien, publié en France sur Kassne
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al91. J’en reviens donc à l’homme que j’essaie de
décrire
par le biais d’une vision particulière que j’eus de lui, et dans laqu
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u’il s’agirait de rendre sensible si l’on voulait
décrire
la réalité psychologique et historique de la campagne des congrès et
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— à un noyau de gouvernement européen, dont on ne
décrivait
pas les compétences. Churchill avait parlé d’un « Council of Europe »