1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 onde Ainsi l’Europe — telle que je viens de la décrire par quelques-uns de ses traits les plus typiques — l’Europe est la pa
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 nant dans quels termes Kierkegaard lui-même s’est décrit . Lui aussi se sent un prince. « Il y a quelque chose de royal dans mo
3 r le change ». Voici donc Hamlet tel que nous le décrivent les premières scènes du drame de Shakespeare, et Kierkegaard tel qu’i
4 e. » Dans un autre passage du même livre, il nous décrit ce que l’on pourrait appeler la psychologie d’une vocation en exercic
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
5 tème, doctrine du gouvernement fédératif », et le décrit , d’après Chateaubriand, comme « une des formes politiques les plus co
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
6 religieuse portugaise, essayer au contraire de la décrire par ses symptômes cliniques, comme l’obsession qu’elle est ; ou parle
7 suivie pas à pas : nos plus grands érudits l’ont décrite . Mais le roman de Tristan ne fut pas imité par les seuls écrivains de
8 nce de l’Église. Le contenu du mythe ne peut être décrit qu’en opposant des termes eux-mêmes ambivalents : il est exaltation d
9 oie mystique, et l’abandon total à la passion est décrit comme une conversion : Alors la vraie Minne, la fougueuse déesse, le
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
10 isme. C’est ainsi que Nietzsche, le premier, a su décrire la différence fondamentale qui sépare la science grecque de notre sci
11 proprement théologique : c’est l’hérésie que j’ai décrite . Qu’en est-il du choix des savants ? Beaucoup d’entre eux, et non des
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
12 e réponses que de conceptions de l’homme. Les uns décrivent l’homo faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’
7 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
13 s la naissance du nouveau régime collégial. 4. K. décrit les procès staliniens comme des machinations délirantes et stupides,
14 s de Moscou. On ne sort pas d’un tel embarras. Le décrire n’est déjà pas facile… Mais une fable simplette va nous y aider peut-
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
15 un seul individu, dans ces temps que l’on nous a décrits comme adversaires des libertés réelles ! Enfin, Voltaire libère ses v
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
16 café, sur cette place de Venise que le Guide bleu décrit un peu mystérieusement comme « un des ensembles les plus suggestifs d
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
17 d’un palmarès. J’ai choisi quelques noms qui vous décrivent une France tout dans la critique morale et l’invention lyrique, la ch
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
18 histoire ont déploré la décadence universelle et décrit des âges d’or nostalgiques. Le xxe siècle étant celui d’une accéléra
12 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
19 certain, c’est que le roman occidental n’a jamais décrit , jusqu’ici, de passion qui s’enflamme pour un objet tout proche, aisé
20 tes en URSS. Mais chacune d’elles aussi a pu être décrite comme le dernier roman d’amour-passion de la littérature occidentale.
21 ers tout le continent américain qu’il découvre et décrit ainsi mieux que personne, dans le même temps qu’il se voit rejeté par
22 ient à l’immaturité de l’objet même de la passion décrite  ; mais sans cette immaturité, point d’obstacle et donc point de passi
23 ur-passion. Par bonheur, il se trouve que Musil a décrit cette disposition para-mystique dans un langage plein de correspondan
24 la rédemption de la passion par l’amour vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y pa
25 nu, tout en sachant que l’on ne peut y vivre, est décrit par eux tous comme indicible. Tantôt, il plonge ceux qui le subissent
13 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
26 flexion passionnément originale. Et je tentais de décrire — dans le premier article, je crois bien, publié en France sur Kassne
27 al91. J’en reviens donc à l’homme que j’essaie de décrire par le biais d’une vision particulière que j’eus de lui, et dans laqu
14 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
28 u’il s’agirait de rendre sensible si l’on voulait décrire la réalité psychologique et historique de la campagne des congrès et
29 — à un noyau de gouvernement européen, dont on ne décrivait pas les compétences. Churchill avait parlé d’un « Council of Europe »