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re part, c’est l’influence de son père (auquel il
dédiera
tous ses écrits religieux) qui ouvrit les yeux de Kierkegaard sur l’a
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lle sous le couvert de ses pseudonymes, et de lui
dédier
toutes ses œuvres, comme autant de justifications de la rupture et d’
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fois, on arrangeait une fête (comme celle qui fut
dédiée
au Nombre 21) ou une exposition, ou une vitrine (Breton, Seligmann et