1 t plusieurs de nos nations comme telles, c’est le délire nationaliste qui a fait tout cela. Et voyez : c’est au nom du même na

2 sible, voir du pays, cultiver librement tel petit délire personnel… (Et non pas « dominer la Nature ! ») À la rencontre de ces

3 t Preuves et le BEIPI), un mégalomane en proie au délire de persécution, comme la plupart des chefs totalitaires ; 2. que la g

4 étaient la praxis d’un système cohérent, comme le délire paranoïaque sait l’être. Rien ne prouve que les motifs justifiant tou

5 aux surprises qui viennent un jour récompenser le délire cohérent des sciences exactes. Tu ne me trouverais pas, dit l’objet,

6 r deux écrivains politiques (juin 1957)ai Un délire dialectique Ayant publié plusieurs centaines de pages dans ses Tem

7 t-garde du pessimisme, du tragique sans issue, du délire entretenu et de l’insulte à la vie comme elle va, c’est Ionesco, Adam

8 an. Les voici qui nous jettent d’un coup en plein délire de masochisme occidental et d’admiration éperdue pour un régime par a

9 ion sont le signe d’un mal plus profond. Le grand délire nationaliste qui a provoqué les guerres mondiales n’a pas seulement c

10 bles, et par suite assez fascinants, pour que son délire se déclare ? J’entends parler de la société occidentale, c’est-à-dire

11 e et la musique : La tragédie absorbe en elle le délire orgiastique de la musique, portant ainsi du premier coup la musique à

12 écieux ajusteur de mallarméens bibelots, entre le délire et l’extrême rigueur il n’a jamais cessé d’inventer un chemin qui ne