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eurs problèmes individuels : ainsi la guerre, les
dictatures
, les troupes de choc militaires et politiques, ou simplement l’anonym
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veut… Il n’est pas un seul de ces droits que les
dictatures
n’aient attaqué ou supprimé, n’aient déclaré antisocial ou criminel.
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et qui mourut en douze. Mais, aussitôt, une autre
dictature
relève l’accusation, et l’appuie cette fois-ci sur une doctrine. Le m
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tandis que toute initiative expose le sujet d’une
dictature
totalitaire à l’accusation de sabotage. S’ils tombent dans cette erre
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es, diffère profondément de notre idéal. Dans une
dictature
, par exemple, l’idée de progrès perdra nécessairement ce qui fait, à
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re fois depuis vingt ans de silence, vingt ans de
dictature
: « Frères, marchons ensemble vers la liberté. » Mais rien de tout ce
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e de nos idéaux, devant la propagande massive des
dictatures
; les moyens matériels et intellectuels de notre domination retournés
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s de la démocratie, la démocratie saine et non la
dictature
; à l’anarchie individualiste, le sens communautaire et non le collec
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contraste est bien moins celui de deux régimes —
dictature
et démocratie — que celui plus profond de deux qualités d’âme. Napolé
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la mort de Staline, elle a cessé d’être une vraie
dictature
. Ce fait est établi par les conversations qu’a eues M. Bevan avec les
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n économique de l’URSS commandait de passer de la
dictature
d’un seul à celle de plusieurs ; de la liquidation des koulaks à cell
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et égard » (c’est-à-dire au sujet du passage à la
dictature
collégiale) qu’il juge « intéressant d’examiner la position de Khrouc
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la morale, déterminée par les États, conduit aux
dictatures
totalitaires. (On remplace Dieu par Société, et l’État seul représent
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e nécessité plus impérieuse : c’est l’alibi de la
dictature
, devenue difficile à défendre, mais qu’il faut maintenir à tout prix.
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is c’est détourner l’attention du fait même de la
dictature
, cause réelle et vraie condition des crimes que l’on impute au seul S
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inuation par d’autres moyens (ou les mêmes) de la
dictature
de Staline. Elle pourrait se justifier au nom du même prétexte : la d
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ourrait se justifier au nom du même prétexte : la
dictature
du Prolétariat, dogme intangible du marxisme. Mais les crimes de Stal
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le au nom de la santé, lorsqu’il en appelle de la
dictature
d’un paranoïaque à celle de ses favoris. Au vrai, ce n’est pas tel ou
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qui doit retenir l’attention, mais le fait de la
dictature
. Ce n’est point par accident qu’un dictateur est fou, car il faut êtr
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car il faut être fou pour se faire dictateur, la
dictature
étant la forme politique de la démence paranoïaque. « Toute collectiv
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r, qui était aussi le temps de Staline. Et que la
dictature
se dise collégiale ou s’avoue personnelle n’y change rien46. K. dénon
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gage : elle n’a jamais gêné Staline lui-même47. «
Dictature
du Prolétariat » est une autre figure de langage. Mais comment fait-o
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yennant un changement d’icône, reste en place. La
dictature
, moyennant un changement d’adjectif, reste en place. Enfin, le dernie
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ession, sinon précisément ce qui dure encore : la
dictature
, le personnel stalinien, le mythe de l’infaillibilité historique du P
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tales, lesquelles étaient et restent celles de la
dictature
; que le « stalinisme », si on en défalque Staline, n’était rien d’au
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e (au nom du prolétariat non consulté) suppose la
dictature
, et K. suppose Staline, qui l’a fait. Dans un système totalitaire, pa
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ions, n’est pas sortir du stalinisme. Dénoncer la
dictature
d’un seul homme, au nom de la dictature d’un seul collège, n’est pas
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noncer la dictature d’un seul homme, au nom de la
dictature
d’un seul collège, n’est pas renier la dictature. Mitrailler dans les
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dictature d’un seul collège, n’est pas renier la
dictature
. Mitrailler dans les rues de Poznań les ouvriers qui souffrent de cet
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ues de Poznań les ouvriers qui souffrent de cette
dictature
, bien qu’elle soit en principe la leur, n’est pas revenir à la démocr
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action, gauche et droite, stalinisme et fascisme,
dictature
, liberté formelle, mauvaise foi, volonté des masses, mouvement de l’h
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le goût de la liberté quand il dressait contre la
dictature
les ouvriers de Berlin-Est ou de Poznań ; d’approuver le nationalisme
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des koulaks, etc. C’est la terreur policière, la
dictature
, la folie acclamée du dictateur. Des poèmes comme ceux d’Aragon à la
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». Étrange erreur, venant d’un philosophe. Toute
dictature
, en effet, implique le culte de la personnalité, mais le mépris de la
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sser n’est pas Hitler Toujours en retard d’une
dictature
, l’opinion occidentale exige qu’on riposte à Hitler quand elle voit s
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a mesure où Moscou l’approuve, de déclarer que sa
dictature
est « populaire » ou qu’elle n’est rien qu’une dictature.) Cette phra
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re est « populaire » ou qu’elle n’est rien qu’une
dictature
.) Cette phrase est capitale, parce qu’elle pousse à l’absurdité la lo
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ón chassé — et les autres chancellent. Toutes les
dictatures
finissent mal. Avions-nous vraiment oublié cette leçon simple de l’Hi
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i suppose une stabilisation des rapports entre la
dictature
soviétique et les démocraties occidentales, tend également à immobili
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ime soviétique soit en crise, on le savait. Toute
dictature
est un régime de crise, un moyen de gouverner sans résoudre la crise
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s classes dites inférieures, — le contraire de la
dictature
et de l’arbitraire du Pouvoir. Seriez-vous devenu fasciste ? R. — C’e
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ions démocratiques qui conduisent logiquement aux
dictatures
. A. — Je ne vois pas à quoi vous tendez et quelle sorte de régime vou
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r veut qu’elles aboutissent le plus souvent à des
dictatures
criminelles, justifiées par tous les prétextes que fournit l’utopie d
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de 596, on peut dire, dans ce cas, ou bien que la
dictature
ainsi plébiscitée est démocratique, ou bien que la vraie démocratie n
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formelle entre les deux régimes ? L’un serait une
dictature
librement choisie par la majorité, l’autre une dictature imposée par
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re librement choisie par la majorité, l’autre une
dictature
imposée par la minorité au nom de la liberté. Tous les deux pourraien
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notre Congrès, c’était d’abord lutter contre des
dictatures
extérieures, bien connues et localisées, contre les idéologies qu’ell
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, la liberté perd un de ses points d’appui, et la
dictature
s’avance aussitôt pour l’occuper. C’est ici qu’intervient la Culture,
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onnier, il fournira l’aveu public que le sort des
dictatures
et de l’empire communiste ne tient qu’aux barbelés de la porte de Bra