1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 eurs problèmes individuels : ainsi la guerre, les dictatures , les troupes de choc militaires et politiques, ou simplement l’anonym
2 veut… Il n’est pas un seul de ces droits que les dictatures n’aient attaqué ou supprimé, n’aient déclaré antisocial ou criminel.
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
3 et qui mourut en douze. Mais, aussitôt, une autre dictature relève l’accusation, et l’appuie cette fois-ci sur une doctrine. Le m
3 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
4 tandis que toute initiative expose le sujet d’une dictature totalitaire à l’accusation de sabotage. S’ils tombent dans cette erre
5 es, diffère profondément de notre idéal. Dans une dictature , par exemple, l’idée de progrès perdra nécessairement ce qui fait, à
4 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
6 re fois depuis vingt ans de silence, vingt ans de dictature  : « Frères, marchons ensemble vers la liberté. » Mais rien de tout ce
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
7 e de nos idéaux, devant la propagande massive des dictatures  ; les moyens matériels et intellectuels de notre domination retournés
8 s de la démocratie, la démocratie saine et non la dictature  ; à l’anarchie individualiste, le sens communautaire et non le collec
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
9 contraste est bien moins celui de deux régimes — dictature et démocratie — que celui plus profond de deux qualités d’âme. Napolé
7 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
10 la mort de Staline, elle a cessé d’être une vraie dictature . Ce fait est établi par les conversations qu’a eues M. Bevan avec les
11 n économique de l’URSS commandait de passer de la dictature d’un seul à celle de plusieurs ; de la liquidation des koulaks à cell
12 et égard » (c’est-à-dire au sujet du passage à la dictature collégiale) qu’il juge « intéressant d’examiner la position de Khrouc
8 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
13 la morale, déterminée par les États, conduit aux dictatures totalitaires. (On remplace Dieu par Société, et l’État seul représent
9 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
14 e nécessité plus impérieuse : c’est l’alibi de la dictature , devenue difficile à défendre, mais qu’il faut maintenir à tout prix.
15 is c’est détourner l’attention du fait même de la dictature , cause réelle et vraie condition des crimes que l’on impute au seul S
16 inuation par d’autres moyens (ou les mêmes) de la dictature de Staline. Elle pourrait se justifier au nom du même prétexte : la d
17 ourrait se justifier au nom du même prétexte : la dictature du Prolétariat, dogme intangible du marxisme. Mais les crimes de Stal
18 le au nom de la santé, lorsqu’il en appelle de la dictature d’un paranoïaque à celle de ses favoris. Au vrai, ce n’est pas tel ou
19 qui doit retenir l’attention, mais le fait de la dictature . Ce n’est point par accident qu’un dictateur est fou, car il faut êtr
20 car il faut être fou pour se faire dictateur, la dictature étant la forme politique de la démence paranoïaque. « Toute collectiv
21 r, qui était aussi le temps de Staline. Et que la dictature se dise collégiale ou s’avoue personnelle n’y change rien46. K. dénon
22 gage : elle n’a jamais gêné Staline lui-même47. «  Dictature du Prolétariat » est une autre figure de langage. Mais comment fait-o
23 yennant un changement d’icône, reste en place. La dictature , moyennant un changement d’adjectif, reste en place. Enfin, le dernie
24 ession, sinon précisément ce qui dure encore : la dictature , le personnel stalinien, le mythe de l’infaillibilité historique du P
25 tales, lesquelles étaient et restent celles de la dictature  ; que le « stalinisme », si on en défalque Staline, n’était rien d’au
26 e (au nom du prolétariat non consulté) suppose la dictature , et K. suppose Staline, qui l’a fait. Dans un système totalitaire, pa
27 ions, n’est pas sortir du stalinisme. Dénoncer la dictature d’un seul homme, au nom de la dictature d’un seul collège, n’est pas
28 noncer la dictature d’un seul homme, au nom de la dictature d’un seul collège, n’est pas renier la dictature. Mitrailler dans les
29 dictature d’un seul collège, n’est pas renier la dictature . Mitrailler dans les rues de Poznań les ouvriers qui souffrent de cet
30 ues de Poznań les ouvriers qui souffrent de cette dictature , bien qu’elle soit en principe la leur, n’est pas revenir à la démocr
31 action, gauche et droite, stalinisme et fascisme, dictature , liberté formelle, mauvaise foi, volonté des masses, mouvement de l’h
32 le goût de la liberté quand il dressait contre la dictature les ouvriers de Berlin-Est ou de Poznań ; d’approuver le nationalisme
33 des koulaks, etc. C’est la terreur policière, la dictature , la folie acclamée du dictateur. Des poèmes comme ceux d’Aragon à la
34  ». Étrange erreur, venant d’un philosophe. Toute dictature , en effet, implique le culte de la personnalité, mais le mépris de la
10 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
35 sser n’est pas Hitler Toujours en retard d’une dictature , l’opinion occidentale exige qu’on riposte à Hitler quand elle voit s
11 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
36 a mesure où Moscou l’approuve, de déclarer que sa dictature est « populaire » ou qu’elle n’est rien qu’une dictature.) Cette phra
37 re est « populaire » ou qu’elle n’est rien qu’une dictature .) Cette phrase est capitale, parce qu’elle pousse à l’absurdité la lo
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
38 ón chassé — et les autres chancellent. Toutes les dictatures finissent mal. Avions-nous vraiment oublié cette leçon simple de l’Hi
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
39 i suppose une stabilisation des rapports entre la dictature soviétique et les démocraties occidentales, tend également à immobili
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
40 ime soviétique soit en crise, on le savait. Toute dictature est un régime de crise, un moyen de gouverner sans résoudre la crise
15 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
41 s classes dites inférieures, — le contraire de la dictature et de l’arbitraire du Pouvoir. Seriez-vous devenu fasciste ? R. — C’e
42 ions démocratiques qui conduisent logiquement aux dictatures . A. — Je ne vois pas à quoi vous tendez et quelle sorte de régime vou
43 r veut qu’elles aboutissent le plus souvent à des dictatures criminelles, justifiées par tous les prétextes que fournit l’utopie d
16 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
44 de 596, on peut dire, dans ce cas, ou bien que la dictature ainsi plébiscitée est démocratique, ou bien que la vraie démocratie n
45 formelle entre les deux régimes ? L’un serait une dictature librement choisie par la majorité, l’autre une dictature imposée par
46 re librement choisie par la majorité, l’autre une dictature imposée par la minorité au nom de la liberté. Tous les deux pourraien
17 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
47 notre Congrès, c’était d’abord lutter contre des dictatures extérieures, bien connues et localisées, contre les idéologies qu’ell
48 , la liberté perd un de ses points d’appui, et la dictature s’avance aussitôt pour l’occuper. C’est ici qu’intervient la Culture,
18 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
49 onnier, il fournira l’aveu public que le sort des dictatures et de l’empire communiste ne tient qu’aux barbelés de la porte de Bra