1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 t leurs pouvoirs réels, cherchent obscurément des disciplines aveugles, dont ils disent qu’elles les délivreraient de leurs problèm
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
2 s et discutés par les représentants qualifiés des disciplines les plus variées. »
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 es hommes d’État du premier rang, mais rompus aux disciplines de l’esprit ; et des hommes de pensée dans la rigueur du terme, mais
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
4 nt la « tyrannie », si on la compare à celles des disciplines d’État qui leur ont succédé, fut maintes fois baptisée « douceur de v
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
5 , etc. C’était conforme à leur doctrine et à leur discipline terroriste. Mais il était plus surprenant de voir les simples AAC et
6 cun mea culpa des superstitieux de ce culte. Leur discipline exclut toute distinction morale entre la vérité et le mensonge. La bo
7 elle qu’un Sartre pouvait jadis la définir, et la discipline du PC, on conçoit le malaise qu’ils endurent. Il serait puéril et vai
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
8 squ’aucun de mes principes ne m’y oblige et nulle discipline de parti. Faut-il donc vous faire un dessin ? Que je n’aie rien dit c
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
9 c en vain que l’on tentera d’imposer la fameuse «  discipline civique » aux partis d’une nation centralisée, qui n’y voient guère q