1 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
1 ague, vierge de traditions locales. Avantage : le district fédéral ne dépendrait d’aucun État. Désavantage : il serait pour tous
2 n fera pas d’autre. Mais si l’on veut vraiment un district fédéral à la mesure de l’Europe entière et de son demi‑milliard d’hab
3 rs à l’improvisation d’une capitale ou de quelque district fédéral synthétique ; qu’on fasse l’Europe d’abord, j’entends l’Europ
4 et pourquoi je ne sens pas l’urgence de créer un district fédéral tant que nous restons privés d’un État fédéral. Mais supposon
5 s maintenant cet État constitué. Le problème d’un district européen se repose en termes concrets. On revient à l’idée du Centre
6 il faut une armée pour veiller sur la sécurité du district fédéral, n’oublions pas que la vocation plusieurs fois séculaire des
2 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
7 Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)bi bj Prenons les grandes dimensi
8 Trois utopies : pays pilote, parc national, ou District fédéral de l’Europe ? Toutes ces raisons font objectivement de la
9 son centre ne soit pas une capitale, mais bien un District fédéral. La fédération européenne n’étant pas une création sur table
10 s nos peuples et les diversités que l’on sait, le District fédéral ne saurait être, lui non plus, une création synthétique édifi
11 urs plus d’assez vaste, dans l’Europe de 1980. Le District fédéral doit être situé au centre du continent. Il doit être facile à
12 ’une sorte d’immédiateté fédérale, en devenant le District européen. Les autorités de la fédération européenne ont leur siège da
13 que jusqu’à ces dernières années, les citoyens du District fédéral de Washington, D.C., n’avaient pas le droit de participer à l
14 cas que j’examine. bi. Rougemont Denis de, « Un district fédéral pour l’Europe », Preuves, Paris, août 1964, p. 3-16. bj. Une