1
e questions, de contradictions. Cette prodigieuse
diversité
peut angoisser. Mais elle est d’autre part la condition de nos libert
2
s de culture, tandis que l’Europe insiste sur ses
diversités
enracinées. Il n’y aurait pas de problème ou plutôt pas de malaise, o
3
ence d’unir nos pays, et celle de sauvegarder les
diversités
qui ont fait la richesse de l’Europe, elle a posé la nécessité de str
4
sens des tensions fécondes et de l’union dans la
diversité
. Or ce génie fédéraliste n’exclut rien, sauf justement l’impérialisme
5
rs en politique ; de comprendre à la fois que les
diversités
sont légitimes, que l’union est nécessaire, que les premières ne peuv
6
qui combine un minimum d’unité avec un maximum de
diversité
. 3. Le fédéralisme n’oppose que le bon sens aux sophistes qui abusent
7
entrale et l’autonomie des régions, l’unité et la
diversité
. Le fédéralisme figure la santé du corps politique, ou son bonheur ;
8
4. Reste la solution fédéraliste, l’union dans la
diversité
. Appuyée sur les Communautés, elle seule pourra faire face aux tâches
9
patries, j’entends la volonté de sauvegarder les
diversités
de l’Europe, voilà qui ne saurait être réalisé que par l’union de typ
10
t dire pour bien peu de temps. Broyant toutes nos
diversités
traditionnelles, elle causerait à court terme une chute de potentiel,
11
verainetés ne peut durer, mais qu’en revanche les
diversités
réelles ne peuvent être nivelées par décrets, on cherche en vain quel
12
tons selon la maxime impériale de l’union dans la
diversité
. Proudhon s’est peut-être souvenu de son passage à Neuchâtel (où il f
13
vanche qu’une Europe fédérée, respectueuse de ses
diversités
comme nous des nôtres, s’accorderait avec la vocation traditionnelle
14
cles d’histoire commune à tous nos peuples et les
diversités
que l’on sait, le District fédéral ne saurait être, lui non plus, une
15
le mode fédéral pour sauver les autonomies et les
diversités
valables, non pas pour les réduire à l’uniformité. La volonté de réun
16
n une vivante interaction organisée d’union et de
diversités
, de puissance et de liberté, idéal politique par excellence. Beaucoup
17
re à la force et respect des autonomies, unité et
diversité
— que dis-je, unité pour les diversités ? Si je tiens pour licite et
18
, unité et diversité — que dis-je, unité pour les
diversités
? Si je tiens pour licite et opportun de publier aujourd’hui ce proto
19
4, l’État-nation n’admet aucune autonomie, aucune
diversité
réelle. À l’extérieur, il refuse toute union, alléguant une indépenda
20
unifier par des lois inflexibles, sans égard aux
diversités
ethniques et régionales, et soumettre la production industrielle au s
21
’ensemble vivant de la culture européenne. Et les
diversités
que nous devons respecter ne sont pas celles de ces États-nations nés
22
plexité des régions rendra justice à ses fécondes
diversités
, et l’ampleur de la fédération exprimera l’unité millénaire de sa cul