1
trise par l’homme de sa propre pensée. Nulle part
donc
la menace totalitaire contre la liberté de la pensée ne doit être plu
2
ours à soumettre la pensée à la police politique,
donc
à corrompre la source même de notre liberté. Et voilà pourquoi nous s
3
p, et il ne lit que le Reader’s Digest. Je refuse
donc
l’un et l’autre également, je suis neutre. » C’est contre ce mensonge
4
vient d’educere, qui est « conduire au-dehors ».
Donc
libérer, non plus forcer dans le moule commun : voilà l’Europe et sa
5
é, une fois sur des millions). L’Oriental ne peut
donc
se poser le problème d’un sens personnel de sa vie, divergeant de la
6
ccident, et plus spécifiquement l’Europe. On peut
donc
définir l’Europe comme cette partie de la planète où l’homme, sans re
7
y prenne un sens. L’étrange exception Ainsi
donc
, comparée et contrastée avec les civilisations sacrées de l’Antiquité
8
s-à-vis de ses prochains et de la société ; c’est
donc
un homme engagé dans une aventure bien réelle, mais qu’il est seul à
9
mocratie qui dit qu’un homme en vaut un autre, et
donc
qu’une femme en vaut une autre. Disposition peu favorable, il faut l’
10
rendement du stakhanoviste modèle. Cette passion,
donc
, qui nous paraît si « naturelle », est en réalité exceptionnelle dans
11
à ce que l’on se voit être. Dans l’humour, c’est
donc
la personne qui juge son propre individu… J’en viens à un dernier exe
12
tions à l’État totalitaire ; que le Progrès n’est
donc
nullement fatal ; qu’il n’est plus même un idéal européen, mais bien
13
ssent être plus heureux que leurs ancêtres, était
donc
étrangère aux Anciens, comme elle le reste à la plupart des Orientaux
14
(que serait une liberté en masse ?). Je définirai
donc
le Progrès véritable comme l’augmentation continuelle des possibilité
15
casions et des moyens de nous décider nous-mêmes,
donc
d’être libres. Car la seule liberté qui compte pour moi — dira tout v
16
te, et qui ont là-dessus leurs idées bien à eux —
donc
en définitive des hommes conscients. Voilà pourquoi je disais en débu
17
leur renaissance. Au-delà de la peur Voilà
donc
notre Europe, patrie de l’homme conscient, lieu de conscience extrême
18
is après tout ce n’est pas lui qui l’inventa. Qui
donc
? J’ouvris une encyclopédie, et trouvai ceci : — Il y avait au xviiie
19
pays. Quand on me demande maintenant : quelle est
donc
cette Europe que vous voulez unir pour la sauver ? Je réponds que ce
20
é illimitée de pouvoir donner le change ». Voici
donc
Hamlet tel que nous le décrivent les premières scènes du drame de Sha
21
. Assassiné, dit-il, par le roi actuel, qui n’est
donc
qu’un usurpateur, le père ordonne au fils de le venger. Hamlet revien
22
rd, « un crime de lèse-majesté qualifié ». Il y a
donc
usurpation. Le christianisme officiel, de nos jours, joue de la sorte
23
te à l’attaque, personne ne l’écouterait. Il faut
donc
qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir attent
24
la conscience du roi. » Tous les deux choisissent
donc
des moyens indirects — Hamlet des comédiens, Kierkegaard des pseudony
25
leur séparation : « Elle me demanda : Ne veux-tu
donc
jamais te marier ? Je répondis : Oui, dans dix ans, quand le feu de l
26
rd raconte le drame de ses fiançailles. Il semble
donc
que le parallèle que j’ai risqué se soit offert à l’esprit de Kierkeg
27
ent pousser et tirer dans le même sens. On pourra
donc
interpréter cette vocation de deux manières tout opposées. On pourra
28
pel reçu ni de la réalité de son objet. Il s’agit
donc
ici, selon Kierkegaard, d’une incertitude objective. De même qu’on ne
29
objective, telle que la définit Kierkegaard, est
donc
une périphrase philosophique pour désigner la foi et sa nécessité. On
30
’usurpateur, venger le roi assassiné. Son but est
donc
sans équivoque, son rôle clairement tracé dans l’action générale. L’i
31
repères, quels principes directeurs nous offrira
donc
Kierkegaard ? À vrai dire, le seul guide qu’il nous propose, c’est la
32
d’un parlement. Comment un ministère pourrait-il
donc
(quels que soient les désirs de ses hauts fonctionnaires) obtenir un
33
chacun dûment pourvu d’instructions de son État,
donc
de directives politiques. Si le produit qui émerge de leurs débats a
34
es de construction C’est le système qu’il faut
donc
réformer, et c’est encore trop peu dire : il s’agit de refaire à l’in
35
dividuels et que leurs œuvres apparaissent. C’est
donc
de là qu’il faut partir, de cette base-là, non point d’une organisati
36
. Le travail culturel est par nature fédéraliste,
donc
décentralisé. Il se développe par des méthodes de coordination pratiq
37
pes, à de petits exécutifs spécialisés. Il serait
donc
naturel de calquer les organisations d’aide culturelle sur cette réal
38
ls sont juges de leurs besoins. Qu’on leur laisse
donc
l’initiative, le contrôle et l’exécution ! Qu’ils s’associent directe
39
Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît
donc
la condition première de toute action concrète et raisonnable en fave
40
amer nos plus éloquents hommes d’État. Il fallait
donc
d’une part approfondir l’idée même de l’Europe unie, par une sérieuse
41
opte qui permet finalement de s’accorder. J’avais
donc
suggéré aux rapporteurs d’envisager le problème européen dans une per
42
peut voir que nous perdons du temps. Quelles sont
donc
les causes intérieures qui paralysent nos efforts vers l’union ? L’ex
43
tôt devenue poison. C’est à nous qu’il appartient
donc
d’inventer l’antidote de ce toxique et de créer un type nouveau de Co
44
t surtout angoisse de perdre son identité. Elle a
donc
pris les caractères cliniques d’un complexe. D’où la difficulté, pour
45
question : pourquoi l’Europe unie ? il nous faut
donc
répondre maintenant : pour que l’Europe recouvre, entre les grands em
46
serait mortelle sans les premières, qu’il s’agit
donc
de les composer, ou mieux, de les mettre en tension. La résultante se
47
s. L’éducation fédéraliste de l’opinion me paraît
donc
la première tâche de l’heure. J’illustrerai par trois exemples, empru
48
t de la vie régionale. Le supranationalisme offre
donc
des perspectives très favorables pour de larges secteurs de la popula
49
r les gouvernements des États membres, et ne suis
donc
responsable que du choix des thèmes et de leur répartition aux rappor
50
allemand nous intéresse beaucoup. » Que s’est-il
donc
passé depuis Berlin ? — Rien, pas un « fait » visible pour la presse,
51
n ; qu’elle ne s’en apercevrait pas ; qu’il était
donc
aisé de créer une diversion, et que la meilleure possible était l’Asi
52
e l’Europe en ratifiant ou non la CED. Il fallait
donc
fixer la France d’abord, puis ses alliés sur l’imbroglio des guerres
53
ine ses dernières divisions actives. Elle ne peut
donc
plus adhérer à l’alliance agressive baptisée CED. Elle y serait noyée
54
îme par une poignée de députés en sursis, qui ont
donc
à peine le droit de parler au nom d’une seule ? C’est aux Français, d
55
même. Le style surgit de l’inconscient. Il dépend
donc
de ce que les conventions, artifices, règles de l’art et doctrines on
56
rains le refus où beaucoup les englobent, ne peut
donc
procéder que d’une méconnaissance de ces œuvres. Parce qu’elles diffè
57
ons précises de prix de revient, et ne correspond
donc
plus aux « nécessités de l’époque » et de nos grands marchés, il n’es
58
ont ? Il habite Ferney ; le génie du lieu n’y est
donc
pour rien. (Ce n’est pas pour des raisons musicales que Voltaire ne p
59
fasse ou non, soit ou non, cette peur ne pourrait
donc
être supprimée que si l’Allemagne disparaissait totalement et à tout
60
l’évolution économique et sociale du pays. Il est
donc
normal d’admettre que l’évolution économique de l’URSS commandait de
61
n française les gens du MRP et de la droite était
donc
faux : leur menace d’un retrait des crédits américains, leur fameux d
62
(Esprit, p. 665.) Les gens du MRP, etc., avaient
donc
raison. Sur le fameux dilemme CED ou Wehrmacht : « Les accords de Lon
63
emagne aura le droit de fabriquer des armes… On a
donc
des raisons au moins égales de redouter que la corporation militaire
64
s fortement qu’elle sera moins chrétienne. Il y a
donc
un sacré moderne. Et ces trois noms révèlent ses puissances d’envoûte
65
croyant le Jésus de Pascal. La passion ne pouvait
donc
apparaître que dans le monde où cette croyance à l’être unique faisai
66
utaire. L’irruption de la foi dans une vie figure
donc
le modèle spirituel de toute révolution occidentale. Mais il y a plus
67
On entre dans l’Église parce qu’on est converti,
donc
changé ; mais on entre dans le Parti pour changer le monde d’abord et
68
monde d’abord et non d’abord soi-même. Il s’agit
donc
, dans le cas du révolutionnaire, d’une conversion non pas de l’être m
69
, appelant ainsi ceux qui diffèrent et pourraient
donc
devenir ses juges. D’où la Terreur inévitable qu’il exerce, étant lui
70
t naissant, comme nous la trouvons à Valmy, c’est
donc
un idéal, une idéologie, le principe d’une nouvelle communauté non de
71
uis l’apparition du christianisme. L’État se voit
donc
contraint de renforcer la police, de centraliser tous les éléments du
72
panouit, atteint sa pleine vigueur en s’opposant (
donc
par la guerre), puis fatalement décline et meurt. « Chaque peuple mûr
73
incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici
donc
les peuples élevés à la dignité d’intentions particulières de l’Espri
74
au-dessus des nations. Le droit divin se traduit
donc
par le droit de l’État le plus fort. Celui-ci ne connaît plus d’autre
75
t dans l’encens des cassolettes à parfum. Tel est
donc
le spectacle offert par les premières assises du christianisme, au le
76
ir pu le juger avec les yeux de l’Histoire. Voilà
donc
l’atmosphère dans laquelle fut nouée la notion dont descendent nos co
77
. L’acte de création des grands conciles consista
donc
à opérer la transmutation périlleuse d’un mot latin et de contenus he
78
is en même temps vraiment valables. On ne saurait
donc
chercher la solution ni dans la réduction de l’un des termes, ni dans
79
qu’elle est aujourd’hui sous le règne de la Loi,
donc
du péché et de la mort, mais le Credo n’en affirme pas moins sa déliv
80
berté et à la gloire des enfants de Dieu ». Voici
donc
l’homme chargé d’une mission cosmique, armé par elle pour affronter u
81
qu’est le monde et de ce qui s’y passe ». Il y a
donc
un sens, et il vaut la peine de le chercher — advienne que pourra ! V
82
ère, au lieu de celle de l’esprit. Ce choix n’est
donc
pas scientifique, mais proprement théologique : c’est l’hérésie que j
83
ges et sans fond de l’immatérielle Énergie. Voici
donc
retrouvée la Maya des hindous, au terme d’un voyage dont l’impulsion
84
tion. Cette dernière peut changer : elle changera
donc
un jour. x. Rougemont Denis de, « L’exploration de la matière », Pr
85
entre l’homme et les forces naturelles. Ce n’est
donc
pas des lois de la Nature qu’on a peur, mais au contraire de l’imprév
86
du Bien ne peut être auteur du Mal. La Nature est
donc
l’œuvre d’un Autre. On a reconnu cette attitude manichéenne qui accom
87
e (au sens précis de la psychanalyse). D’où vient
donc
la technique, si ce n’est pas de nos besoins matériels et utilitaires
88
ts de la Révolution et de l’Empire. Trois forces,
donc
, dont deux sont créatrices, et la troisième instrumentale. Pour la sc
89
en fait partie de l’effort vers le salut. Cessons
donc
de projeter le mal qui est en nous sur les choses, machines ou Nature
90
endra coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte
donc
pas d’histoires. Ce qu’il nous faut, c’est un contrôle de l’homme. »
91
hose que vous ne désirez pas manquer. Vous n’êtes
donc
esclave que de vous-même. Erreur sur la belle voiture. Cet homme, di
92
sormais, pour régler le phénomène technique, sera
donc
la morale sociale, définie par les grands États. L’oubli des buts der
93
vail et de création ? La tâche présente me paraît
donc
bien moins de mettre un frein moral au cours de la technique, que de
94
la vérité, et peu importent les moyens.) On voit
donc
mal, à première vue, comment une ère technique conduirait aux religio
95
le loisir comme « le temps vuide ». Elle suppose
donc
que le travail est le vrai temps, le temps plein. Cette hiérarchie de
96
es de ses dénonciations spectaculaires. Il entend
donc
rester le bénéficiaire des crimes qu’il vient de révéler. Quelques-un
97
endemain de la mort de Staline, que pouvaient-ils
donc
faire, sinon ce qu’ils ont fait ? — Bien des choses, en somme, et d’a
98
». (Il serait difficile de le nier.) Ils étaient
donc
les hommes du stalinisme. Celui-ci s’étant « supprimé lui-même », on
99
dans l’ensemble, ont été justes »). Il approuvait
donc
, pour la France, et sous le même nom de stalinisme, autre chose que c
100
font, et ils sont faits par elle. ») Quelle était
donc
cette autre chose qui est condamnée, et que Sartre n’approuvait pas ?
101
étaient pas une seule et même chose, l’un pouvait
donc
survivre à l’autre ? Or ils sont morts, si j’en crois Sartre, au même
102
que Staline se soit « supprimé lui-même ». A-t-il
donc
été tué par le mouvement de l’Histoire ? Ah ! qu’il est encombrant, c
103
nt de l’Histoire) du bolchévisme ; rien ne prouve
donc
que l’élimination de Staline par ses favoris inaugure une période néc
104
ystèmes, mais des systèmes totalitaires. Il n’y a
donc
pas, en eux, à prendre et à laisser. (Je prends le Plan, je laisse le
105
ription formelle de l’anticommuniste authentique,
donc
systématique. On lui reproche de « n’être qu’un anti » ; et comme, en
106
, et beaucoup moins subtil que ses amis d’Esprit,
donc
carrément « vulgaire », j’essaie de mesurer mon « épreuve bien dure »
107
lui demandera des précisions, des noms. Visait-il
donc
Koestler, ou Souvarine, ou Silone, Spender, ou Milosz, ou Aron ? Non,
108
z pas. Les anticommunistes vulgaires seraient-ils
donc
ceux qui n’ont pas de nom ? Il faut pourtant bien qu’ils existent : o
109
e Kremlin annonce qu’il les supprime, nous avions
donc
doublement tort : de les dire bien réels, puisqu’on va les vider, et
110
ns « abstraites » ou personnelles. Courtade était
donc
de bonne foi en ne trouvant pas une trace d’humanité sur le visage de
111
té. N’a-t-il pas obéi dans les deux cas ? De quoi
donc
devrait-il s’excuser ? Nos censeurs de l’anticommunisme n’ont pas tou
112
aire dire chaque fois le contraire de ce qui est,
donc
de mentir. On se tromperait en croyant que j’instruis un procès : il
113
sa crainte d’un nouveau coup de matraque. Chacun
donc
, sans trop réfléchir, essaie comme il peut de s’en tirer. La plupart
114
. En voici un, pourtant, qui l’a mal faite. C’est
donc
qu’il faisait le jeu d’une force bien réelle, comme par exemple la no
115
lque temps encore, ce qu’il faut bien qu’il dise,
donc
ce qu’il dit ? Un jour viendra, sans doute, où l’on s’apercevra que l
116
n peu plus que nous ne possédons ? Il nous faudra
donc
le créer. 44. Comme le veut J.-P. Sartre, Les Temps modernes, n° 1
117
tes ! Vous êtes riche, je suis pauvre, vous devez
donc
me donner de quoi devenir riche à mon tour. B. Pourquoi vous ferais-j
118
avantage. Vous n’aimez pas vos intérêts, pourquoi
donc
m’intéresseraient-ils ? Vous aimez seulement me haïr. Cherchez ailleu
119
reprend son rôle central. La crise de Suez trouve
donc
l’URSS hésitante. Depuis la mort de Staline, elle tendait à s’ouvrir
120
rt. Mais il peut couper les pipe-lines : il tient
donc
sous sa dépendance l’une des sources principales d’énergie de l’Occid
121
dance de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera
donc
pas de forcer militairement le passage du canal, mais de susciter en
122
t contre l’Égypte. Si vous êtes souverains, tirez
donc
! Et n’allez pas demander partout des permissions. Mais si vous ne po
123
n allemande, et l’affaire Nenni-Saragat… S. C’est
donc
sérieux ? Les grands partis s’en mêlent ? Mais dites-moi, c’est intér
124
ducation. S. Il y faudra vingt ans. B. Vous voyez
donc
qu’il n’y a plus une minute à perdre. Sur l’esclavage et la souver
125
osé des mesures de compromis. L’esclavage devient
donc
tabou : ce n’est pas un scandale utilisable. Contre-épreuve : seuls,
126
tte fin dans l’obscurantisme ». La question n’est
donc
pas de savoir ce qu’on fait, ni même ce qu’on représente en fait, mai
127
de Moscou écrasée pour un temps seulement — aura
donc
précédé de peu l’ouverture de « l’Année Cosmique », qui doit mettre a
128
t aussitôt recollée continue à vivre. On pourrait
donc
envoyer un corps, atome par atome, en une fraction de seconde, à l’au
129
s hommes qui n’en ont point ? La grève. Déclarons
donc
la grève des relations culturelles et des relations humaines élémenta
130
Et l’Algérie ? Vous ne protestez pas ? Vous êtes
donc
pour ? (Mais ceux-là ne me disent pas : et Berlin ? Et Poznań ? Et le
131
m’y oblige et nulle discipline de parti. Faut-il
donc
vous faire un dessin ? Que je n’aie rien dit cette fois de Perón, de
132
tolérants ni intolérables. » Ailleurs : « Il faut
donc
que les hommes commencent par n’être pas fanatiques pour mériter la t
133
eu (lisez : au Kremlin) pour ces meurtres ? C’est
donc
au nom de la tolérance que Voltaire conclut à la dissolution nécessai
134
qu’on en parle même en France. Que se passe-t-il
donc
? Dans la confusion générale, qui est celle où s’élaborent habituelle
135
pprimer l’Europe en tant que facteur indépendant,
donc
à choisir la politique de l’URSS. Celle-ci s’étant déshonorée, sans q
136
ailleurs, le savent aussi bien que moi.) Laissons
donc
ces mystères de la mauvaise conscience, et voyons le cas illustre d’u
137
ens qui avaient le courage de dénoncer ce parti ;
donc
neutre entre une armée et un point de vue ; que dis-je, entre la mala
138
n’est défendable qu’en tant que mesure politique,
donc
contingente et limitée. En tant qu’attitude générale, elle se situera
139
n le regarde comme ayant perdu la partie. » Voilà
donc
nos deux grands neutralisés, tous deux perdants, faute de pouvoir jou
140
foi, voyons si les motifs d’une vraie neutralité (
donc
limitée et contingente, comme celle des Suisses) sont réalisés en Eur
141
ne armée. Une neutralité « à la suisse » n’aurait
donc
aucun sens avant l’union. Elle serait pratiquement impossible sans un
142
ui la déclare et qui l’assume, et elle ne saurait
donc
être considérée comme un objectif souhaitable que par ceux qu’animera
143
e toute guerre, « gagnée » ou « perdue ». On voit
donc
mal les contre-indications de l’idée de neutralité. Mais on n’a suppo
144
eul à le voir, mais Budapest est une faute grave,
donc
cette politique était fausse, et j’ai seul le droit de le dire, l’aya
145
t à la cause du Socialisme. Le Socialisme se voit
donc
substitué à toute autre fin politique, sociale, morale ou religieuse
146
ise une « vaine passion » morigénante sera-t-elle
donc
l’existentialisme ? Deux confusions et deux Suisses Le même Sar
147
stime que c’est le métier. L’expression ne semble
donc
utilisée que par les seuls intellectuels pour ridiculiser leurs ennem
148
t que tel, que pour ceux qui le formulent. Il est
donc
impossible, par définition, qu’il détienne plus ou moins de « netteté
149
u nom même des réalités en présence. Il ne s’agit
donc
pas d’internationaliser (comme on dit) l’affaire algérienne, par une
150
es. Les vraies chances de l’Europe fédérée, c’est
donc
dans les esprits et les cœurs de nos nouvelles générations que nous p
151
istinguer. C’est apprendre à se distinguer. C’est
donc
un acte antidémocratique. A. — Vous faites du paradoxe, vous n’êtes p
152
en marchant dans la même direction. A. — Il faut
donc
devenir fasciste ou communiste ? R. — Au contraire, il faut dénoncer
153
on, je les prends au sérieux. A. — Vous approuvez
donc
l’élection en tant que procédé antidémocratique ? R. — Cette raison n
154
bas » qui ont porté Lénine au pouvoir. Et Kadar,
donc
! Mais les interruptions ne sont pas admises, car « on ne fait pas de
155
l’URSS, à la Chine, à la Lune. — Qu’attendez-vous
donc
pour y aller ? Et qu’offrent-elles de mieux qui ne soit né chez nous
156
: elle a détruit les autres civilisations, c’est
donc
son tour. Elle est colonialiste, qu’elle soit colonisée ! Elle est ma
157
on ne vit pas de pain seulement »… Chacun récolte
donc
ce qu’il a semé, et qui n’était pas ce qu’il disait. (C’était même le
158
aliste » veut surtout gouverner les esprits. On a
donc
réparti les budgets conformément à ce qu’on jugeait vital pour chaque
159
stence hors de celles-là. Une nouvelle, ce serait
donc
ce qu’une agence rédige à l’occasion d’un fait réel ou fabriqué, le f
160
ouvent faite que pour elles. Les agences seraient
donc
nos vrais maîtres ? C’est trop dire. Car elles sont irresponsables.
161
ne par une chute sans remontée possible. Qui peut
donc
savoir aujourd’hui vers quoi transite l’Occident ? Posons quatre crit
162
u’elle ignore le bien des autres et ne se prépare
donc
point à l’intégrer. La Volonté. — D’une part, le christianisme dès s
163
eut penser qu’un « Paris » transposé, qu’on aille
donc
au vrai, car on n’en fera pas d’autre. Mais si l’on veut vraiment un
164
rien, et autour de Berlin, des Russes. On cherche
donc
, plus près du cœur du continent, une région plus axiale et plus dense
165
n de nos pays et le respect de leurs différences,
donc
l’adhésion de la France à une formule fédéraliste d’union continental
166
édéral conditionné par sa souplesse. Elle propose
donc
le fédéralisme interne comme condition inéluctable d’un fédéralisme e
167
és. Ce que l’on appelait alors la politique était
donc
le contraire de ce que le mot signifie. C’était une sorte d’activité
168
tre toute décision proprement politique. Elle fut
donc
elle-même renversée, en vertu d’une des lois les plus simples de l’én
169
vouloir aucune chose, à neutraliser tout vouloir,
donc
à se livrer à la première pression même modérée que l’on subit de l’e
170
is représentant des intérêts bien définis. Il n’a
donc
pas à confronter des opinions connues d’avance sur chaque objet ou de
171
a. La tolérance mutuelle entre de tels partis est
donc
contraire à leur définition : elle est subie parce qu’il le faut, pro
172
s représentent avec la santé de l’ensemble. C’est
donc
en vain que l’on tentera d’imposer la fameuse « discipline civique »
173
— Que me dites-vous là ? Le Parlement ne pourrait
donc
pas renverser les ministres élus par lui ? — Il ne le peut pas davan
174
stres ne peuvent imposer leurs décrets. Force est
donc
de s’entendre sur quelque compromis. — Mais alors, il n’y a plus de p
175
euple, procédé démocratique par définition, était
donc
l’appel au grand nombre. Mais aujourd’hui, quatre Français sur cinq a
176
aits. Sans grondement, le peuple a dit Oui. C’est
donc
qu’il n’était pas le véritable Peuple, celui qui aura toujours raison
177
jours l’apparition de la mauvaise foi. On devrait
donc
se l’interdire, car au fait, il ne sert à rien dès l’instant que chac
178
’a jamais été réalisée et ne saurait l’être. On a
donc
tacitement convenu d’appeler démocraties les régimes où le peuple, qu
179
r, elles aiment les chiens et les surhommes. » Si
donc
les Français veulent un roi, c’est qu’ils cèdent au mirage du « Grand
180
e lui qui le juge et limite son pouvoir : il sera
donc
dictateur absolu. Tout pouvoir, dans un monde sans Dieu, devient fata
181
uts. La majorité des non contre la CED était-elle
donc
plus homogène et plus valable ? Elle comptait ceux qui, hier, ont vot
182
est leur seule commune mesure. Je ne m’attacherai
donc
, dans ces trois œuvres, qu’à l’apparition de Tristan, dictant impérie
183
entale de la passion, antisociale par définition,
donc
liée au milieu social par un litige permanent hors duquel elle n’exis
184
; mais sans cette immaturité, point d’obstacle et
donc
point de passion… Peut-être le livre, après tout, n’est-il vraiment v
185
. Tels étant les goûts du public, telles seraient
donc
, selon l’enquête, les conditions requises pour un succès de vente. En
186
; et cette ambiguïté qui m’arrêtait (parlent-ils
donc
, ces romanciers, d’une société, d’un paysage de l’âme, ou d’une femme
187
ns une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle
donc
pour lui ? Oh ! à cette question, il avait toujours une réponse prête
188
erreur essentiellement inévitable, qu’on attribue
donc
au Destin. (Mes citations de Musil ont illustré ce point.) C’est l’ét
189
dans les deux cas. Politique et sociale en URSS,
donc
extérieure, plus primitive en quelque sorte, elle ne met pas en jeu l
190
il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est
donc
possible de dire que le péché est la mesure du démesuré, et que pour
191
é ne devient réalité que pour le converti ; c’est
donc
la conversion qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duqu
192
e de vision étant son vrai message.) Elle propose
donc
à l’imagination un exercice spirituel, assez analogue, il me semble,
193
grano salis, longue in the cheek — quelle serait
donc
l’expression française ? — amusé de retrouver en moi cette persistanc
194
du tir à l’arc 88. Le vers de Rilke sur le vin a
donc
pu lui rappeler ce précepte donné par un maître à un peintre : « Obse
195
Tout, l’individu et le sens final91. J’en reviens
donc
à l’homme que j’essaie de décrire par le biais d’une vision particuli
196
toutes les directions, jusqu’à Dieu ; il fallait
donc
considérer comme un grand bonheur pour lui qu’il eût pu les voir.
197
même qui relie l’homme à sa vision, à l’infini ;
donc
du « pouvoir de transformer » par excellence. C’est elle qui nous per
198
l’Occident est promis à la décadence. Que veut-il
donc
rejoindre et dépasser de cet Occident condamné ? Vouloir faire mieux
199
servant le déroulement de cette compétition, peut
donc
juger quel est le meilleur des deux systèmes. » Ce que K. continue d’
200
lutte idéologique » entre l’Est et l’Ouest n’est
donc
plus à ses yeux qu’une lutte de vitesse, et le « meilleur système » e
201
en ont une. Nous sommes riches, heureux, arrivés,
donc
faibles ; ils sont en marche, pauvres, insatisfaits, donc forts. Que
202
bles ; ils sont en marche, pauvres, insatisfaits,
donc
forts. Que reste-t-il aux riches sans, buts, sinon de devenir le but
203
doivent gagner. Mais gagner quoi ? Qu’auriez-vous
donc
à redouter, Américains, de l’espèce de victoire que les Russes se pro
204
que ». Le dictateur et l’homme. — Telles étant
donc
les attitudes affichées ou confessées de part et d’autre à la veille
205
ls se rapprocheront de leurs buts, dans la mesure
donc
où l’URSS rattrapera l’Amérique. (J’entends bien sur cette Terre, non
206
quand on est pris et démasqué. Ils nous jugeaient
donc
à leur aune. Ils avaient démasqué notre « anticommunisme », et nous r
207
le raison d’être, et notre profession. Tout était
donc
permis pour nous disqualifier, et même obligatoire. Aragon me traitai
208
, c’était le signe d’une « panique capitaliste »,
donc
d’une volonté de guerre chaude. Inutile de demander s’ils y croyaient
209
pellent et s’impliquent mutuellement. Nous sommes
donc
d’abord un Congrès — un congrès permanent, il est vrai, puisqu’il a t
210
de vue, et à l’échelle mondiale. Le Congrès s’est
donc
adressé aux intellectuels du monde entier et il leur a dit : Vous, éc
211
s pratiquée par ce Congrès. Le pire danger, c’est
donc
l’absence de sens ; le sentiment de l’absurdité d’une vie sans but. O
212
ir une tradition où l’on se sente chez soi. C’est
donc
d’abord permettre à l’homme de se situer à sa place dans le monde, et
213
us soyons d’abord anti-ceci ou cela… J’insisterai
donc
à mon tour. En situant le Congrès comme je viens de le faire, j’ai vo
214
culptée. L’érotisme, exclu par l’esprit, trouvera
donc
son « médium absolu » non pas dans la parole mais bien dans la musiqu
215
ble comme toute force naturelle, Don Juan incarne
donc
, si l’on ose dire, l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la seule é
216
ommandeur est un esprit ! C’est même un revenant,
donc
un retour du passé. Il représente la négation spirituelle du génie sp
217
pirituelle du génie spontané de l’instant. Il est
donc
seul capable de dompter Don Juan, nulle puissance du monde n’en ayant
218
uan n’étant pas caractère, mais puissance et vie,
donc
« absolument musical », les autres personnages, qui ne sont que passi
219
opriation subjective et libre de la vérité. C’est
donc
l’amour divin lui-même qui exige la communication indirecte, voilée,
220
s yeux le mariage. Par amour pour Régine, il doit
donc
s’éloigner, bien qu’il ne cesse de s’adresser à elle sous le couvert
221
Mais voici que cette décision échappe à l’homme,
donc
à l’éthique temporelle et autonome : La décision n’est pas la force
222
’existence l’énonce autrement. Tout cela signifie
donc
que c’est dans un rapport négatif que la femme rend l’homme productif
223
que l’expression de l’esprit en tout homme. Seul
donc
celui qui s’est connu et accepté en tant qu’esprit, celui qui de la s
224
d’autres suites néfastes, ou bien encore l’amour.
Donc
, tandis que nous croyons nous plaindre de la violence d’un instinct,
225
ence. La lutte entre les deux « instincts » n’est
donc
pas autre chose que la lutte entre les deux puissances de l’Éros anim
226
ans puissance sur nous. Le christianisme s’est-il
donc
effrayé d’idées semblables ? La passion et la mort ne sont-elles pas
227
ine ainsi : Où voulons-nous aller ? Voulons-nous
donc
franchir la mer ? Où nous entraîne cette passion puissante, qui prime
228
dut éprouver Nietzsche, à cette nouvelle, précède
donc
de très peu l’illumination de Sils-Maria, le renversement spectaculai
229
e un engagement jusqu’à la mort. Don Juan se rend
donc
tributaire de la morale dont il abuse. Il a grand besoin qu’elle exis
230
a possibilité d’une inversion du rapport subsiste
donc
en permanence. Au surplus, dans la mesure où la conduite, la pensée e
231
me de Don Juan n’est pas seulement cosmopolite et
donc
moderne. Les succès du héros, comme ceux de Casanova, ne sont pas seu
232
direction du sentiment devenu passion : il oppose
donc
à la durée une éternité angélique. L’autre prétend que le sexe lui su
233
urs latent qui vient de se déclarer. Il fallait
donc
d’abord préciser le contraste des deux mythes les plus contraignants
234
uation, tout pronostic sur son évolution, devront
donc
s’établir sur cette base. Il en va de même pour une vie personnelle c
235
la prise. » L’excitation de la chasse lui suffit
donc
, et l’on insiste : elle est même pour lui « l’essentiel ». Cet instin
236
de succomber ; et pour Don Juan de conquérir. Ici
donc
la morale des principes, la morale des esclaves et la morale des maît
237
oi » social ou son éthique utilitaire. N’y a-t-il
donc
pas de liberté ? Ou bien la seule vraie liberté serait-elle dans le d
238
par le yoga. Atteindre à la vraie liberté suppose
donc
une libération. Libération est la voie de Tristan. Sa passion veut a
239
ce qui est la condition de l’amour d’un autre, et
donc
de tout amour réel : car sans prochain, l’amour ne sait plus où se pr
240
inera le choix des masses mondiales. Qu’il prouve
donc
qu’il y croit, et laisse Berlin tranquille ! Ces deux millions et dem
241
tionale ». L’Allemagne de l’Est, jusqu’ici, n’est
donc
pas pour une brique dans ce mur. Mais quels furent les motifs de l’Ou
242
posteriori effaçait les crimes du passé. » C’est
donc
pour protéger les Allemands de l’Ouest contre les réalités tentantes
243
is, « Oradour et Auschwitz », que l’auteur semble
donc
attribuer aux seuls Allemands de l’Ouest. Enfin, et c’est sans doute
244
nt qu’on le joue à Paris, ce n’est pas peu dire.)
Donc
, premier point du raisonnement : ce n’est pas l’Est qui a fait le mur
245
e répète qu’il veut une Europe forte et autonome,
donc
unie. Il n’a jamais parlé d’une « Europe des patries »134, pas plus q
246
mmunautés. L’Europe de formule unitaire me paraît
donc
une utopie non seulement dangereuse mais sans avenir. c) L’Europe féd
247
rtains une allure de Canossa sans agenouillement,
donc
sans pardon. Et notre arrivée tardive au Conseil de l’Europe n’a jama
248
lgérie, permettant les accords d’Évian). Il n’est
donc
pas question que la Suisse prenne la moindre initiative visant à l’un
249
ère est devenue en partie factice. La Suisse doit
donc
tendre à participer « sans réserve et de plein droit » à l’édificatio
250
nt menacée. L’adhésion au Marché commun ne serait
donc
pas payante. Réponse : La Suisse est située au cœur du Marché commun
251
moderne, un crime de lèse-majesté. Personne n’ose
donc
crier trop fort, et c’est peut-être mieux ainsi. Mais notre peuple co
252
ée aux conditions du monde de demain, elle serait
donc
désignée plus que tout autre pour jouer le rôle d’initiatrice de l’un
253
uloir soumettre toute l’Europe à la Suisse. Allez
donc
en parler à Berne, vous serez bien reçu ! Etc. Je ne vois rien de con
254
té sérieusement par la Suisse officielle. Je vais
donc
le faire à sa place. Nos dirigeants se refusent expressément à toute
255
quoi, tout se ressemble. C’est très bien. » Il va
donc
rester quelques jours. Nos voisins sont venus en fin d’après-midi, ge
256
ntions. Tautologies que tout cela ! On en revient
donc
évidemment aux mythes. Je le prévoyais. Prenez la notion de cause : l
257
votre dentiste a accepté ce paiement ? — Comment
donc
, ce n’est pas un faux chèque, puisqu’il est entièrement fait par moi
258
nomistes, et d’avoir été acceptées par l’opinion,
donc
par les parlements et les gouvernements qui en dépendaient alors dans
259
Retinger peut-être, ne prit part à tous. Je serai
donc
forcément incomplet et délibérément subjectif dans l’approche de ce p
260
se sera paralysé mutuellement. » Brugmans propose
donc
de ratifier l’accord préparé le 11 novembre, à condition toutefois qu
261
er la terminologie des résolutions ; il importait
donc
que son contenu, élaboré par la section culturelle, fût discuté avant
262
s à faire approuver par acclamations » et serait
donc
lu à la séance de clôture. Des représentants des trois sections l’exa
263
plus. Je note que le motif de la sécurité ne joua
donc
aucun rôle à La Haye (contrairement à ce que répètent journalistes et
264
: l’obstacle à toute union possible de l’Europe (
donc
à toute union fédérale) n’est autre que l’État-nation, tel que Napolé
265
viennent illusoires en fait au xxe siècle. Rien,
donc
, de plus hostile à toute espèce d’union tant soit peu sérieuse ou sin
266
vous conduire où vous ne vouliez pas aller… Voici
donc
le dilemme présent : si nous attribuons pour finalité à la Cité europ
267
mation de l’État-nation dès ses débuts. Il s’agit
donc
d’une utopie catastrophique, mais dont la réalisation ne saurait être
268
yens et de leurs cités ; et non l’inverse. Cessez
donc
, Messieurs les ministres, d’essayer d’apaiser les ennemis de l’union
269
modèle fédéraliste de la Cité européenne Voilà
donc
le modèle fédéraliste de la Cité européenne : la complexité des régio