1
nt. Car tu iras vers tous ceux auprès de qui je t’
enverrai
, et tu diras tout ce que je t’ordonnerai… » Voici, je mets mes parole
2
ême dans les centaines de lettres cravachantes qu’
envoient
aux rédactions des colonels en retraite. Refoulée du domaine des forc
3
verra nos défaites militaires et l’insolence des
envoyés
de l’Asie rouge. Et voici la deuxième victoire : pendant des mois, l’
4
s saint-simoniens, premiers socialistes français,
envoient
des volontaires pour travailler au canal. « Suez est le centre de not
5
sitôt recollée continue à vivre. On pourrait donc
envoyer
un corps, atome par atome, en une fraction de seconde, à l’autre bout
6
n qui ne sera pas perdu. » Les cèdres du Caucase,
envoyés
par la Grande Catherine, périclitent. Mais les arbres bordant la rout
7
aternel — image du Roi dans l’inconscient — qui l’
envoie
d’un ton ferme et gentil se détendre les nerfs et se taire pour un te
8
— qui est un dernier Anti-Tristan — venait d’être
envoyé
à l’impression. Dans Aurore, je relis : « Que celui qui veut tuer son
9
ectique, les costauds de la certitude rationnelle
envoyés
au tapis sans effort apparent. La réussite de sa vie tiendra sans dou
10
ès européen, Staline, qui est plus fort que vous,
enverra
cinquante délégués ! Et l’Europe ne se fera pas ! » J’avais un peu cr
11
e crois. Des huissiers nous prièrent de sortir. J’
envoyai
quérir Retinger et Paul van Zeeland, qui étaient à la tribune. Dans u