1 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
1 ires que la pire injustice : la première serait d’ excuser le péché des bourgeois par celui des Soviets ; mais la seconde, nous
2 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
2 ssi contraindre les PC étrangers, pour lesquels l’ excuse ne vaut rien, à justifier « dialectiquement » leur servilité spontané
3 uinent à jamais, par un exemple décisif, la seule excuse des camps qu’ils ont peuplés. Oui, c’est bien de morale qu’il faut ic
4 re nos PPC ? Proclamer que nous avions raison ? S’ excuser de leurs calomnies ? Se frapper la poitrine ? Avaler leur stylo ? Rie
5 béi dans les deux cas ? De quoi donc devrait-il s’ excuser  ? Nos censeurs de l’anticommunisme n’ont pas tous atteint ce degré de
6 on pas à Paris ni à Rome, que l’on sache — pour s’ excuser de n’avoir vraiment pas pu crier au fou du vivant de Staline… Ainsi K
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
7 e l’Histoire ?) Voici enfin sur le Socialisme qui excuse tout, y compris le massacre des ouvriers : « Vous répondez que la dif
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
8 gne la peine capitale. Je n’entends pas voiler ni excuser le caractère scandaleux du roman, car il apparaît essentiel, et l’aut
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
9 berté et la prospérité. Admettons que cette cause excuse ce massacre. Il y a d’autre part ce que l’on nomme les exigences de l
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
10 déjà, durant les fiançailles, il lui écrit pour s’ excuser d’un rendez-vous manqué : il est allé tout seul à la campagne, ce jou
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
11 s en Dieu, l’idée de cause n’a plus de sens. Je m’ excuse , je crois que vous croyez en Dieu… — Je crois en Dieu, mais je le con