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; c’est d’appeler toutes nos forces éparses à se
fédérer
solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différ
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dérer solidement, non point à s’unifier mais à se
fédérer
dans leurs différences essentielles. Si demain notre fédération s’éta
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culture, institution qui a pour but principal de
fédérer
nos forces culturelles afin de réveiller la conscience de l’Europe co
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rons jamais indépendants si nous refusons de nous
fédérer
. Ici, deux grandes questions se posent : 1° L’union faite, cette neut
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is à peu près à ceci : a) Une Europe intégrale et
fédérée
, proclamant sa neutralité en cas de conflit américano-russe, serait u
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Haye, à Genève ou à Rome, dans le seul dessein de
fédérer
l’Europe, si nous y parvenons, ce ne sera qu’en surmontant les irrita
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nces personnelles. Les vraies chances de l’Europe
fédérée
, c’est donc dans les esprits et les cœurs de nos nouvelles génération
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nt un instant ce qu’on peut faire de sérieux sans
fédérer
d’abord les efforts nécessaires pour la fédération. ao. Rougemon
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-même, ne conduit pas nécessairement à une Europe
fédérée
. La logique de ses règles et méthodes, admirablement adaptées aux con
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eulement dangereuse mais sans avenir. c) L’Europe
fédérée
reste ainsi la seule solution praticable. Unir dix-neuf États à l’Oue
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te que n’était la Suisse à l’époque où elle s’est
fédérée
. Et les disparités de coutumes ou de richesse, de langue, de confessi
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n réalité. Il est clair en revanche qu’une Europe
fédérée
, respectueuse de ses diversités comme nous des nôtres, s’accorderait
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ns le cadre qui serait seul adéquat, d’une Europe
fédérée
, fédéraliste… Je n’ai plus qu’à m’exécuter. notes de journal : « Par
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t bannir du vocabulaire politique dans une Europe
fédérée
, au seuil de l’ère du Monde uni. Le modèle fédéraliste de la Cité