1
ne peut forcer personne à être libre, alors qu’il
faut
forcer les masses à être masses. Et c’est pourquoi Personne égale Lib
2
enir », je veux dire son exposition. Pourtant, il
faut
juger pareil procès sur pièces. L’Œuvre du xxe siècle a pris les dev
3
ssible, se révèlent pratiquement contradictoires.
Faut
-il opter, ou faut-il au contraire viser cette forme de compromis que
4
t pratiquement contradictoires. Faut-il opter, ou
faut
-il au contraire viser cette forme de compromis que fournit la notion
5
promis que fournit la notion nouvelle d’optimum ?
Faut
-il se faire soit monstre, soit vedette ou bien tenter de se faire cla
6
de la révolution et de sa fécondité possible, il
faut
avoir sucé avec le lait (celui d’une Alma Mater tout au moins) les co
7
en vaut une autre. Disposition peu favorable, il
faut
l’avouer, au développement d’une grande passion. Enfin, le citoyen du
8
e sera bien notre faute dans les deux cas. Car il
faut
faire l’Europe, ou il faudra subir soit leur intervention, soit leur
9
s les deux cas. Car il faut faire l’Europe, ou il
faudra
subir soit leur intervention, soit leur retrait. Et si la « civilisat
10
nd toute une jeunesse s’intoxique de jazz hot, il
faut
bien constater que c’est notre public européen, qui, librement, propa
11
et périt dans ce combat. Mélancolie, secret qu’il
faut
garder tout en essayant de le faire deviner, rupture des fiançailles,
12
posé : « L’époque est détraquée, hélas ! pourquoi
faut
-il que je sois né pour la rajuster ! », s’écrie Hamlet. Et Kierkegaar
13
ame, voyons maintenant le progrès de l’action. Il
faut
relever d’abord le rôle que joue le secret dans les deux cas. Pour Ha
14
e suite à l’attaque, personne ne l’écouterait. Il
faut
donc qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir a
15
s, quand le feu de la jeunesse sera passé : il me
faudra
une demoiselle au sang frais pour me rajeunir. » Et Kierkegaard ajout
16
dernière fois notre parallèle dramatique. Il nous
faut
reconnaître, enfin, que la mission reçue par Hamlet n’est pas une vér
17
onnaître la trame ni l’ensemble — et cependant il
faut
jouer, nous sommes au monde, nous sommes embarqués, nous sommes en sc
18
e Point de vue sur mon activité d’auteur : Il me
faut
préciser la part de la Providence dans mon œuvre. Car je me rendrais
19
e à chef, pas à pas, avec ma réflexion. … S’il me
fallait
exprimer avec toute la rigueur et toute la précision possibles la par
20
savait rien. Mais accepter l’invraisemblable, il
faut
bien voir que c’est renoncer non seulement aux recettes communes du s
21
exécution. Puis se pose la question du budget. Il
faut
faire vivre l’Organisation, et songer aussi à ses tâches. Les activit
22
s vices de construction C’est le système qu’il
faut
donc réformer, et c’est encore trop peu dire : il s’agit de refaire à
23
leurs œuvres apparaissent. C’est donc de là qu’il
faut
partir, de cette base-là, non point d’une organisation abstraite parc
24
peuples ou du groupe de nations considéré). S’il
fallait
résumer encore ces remarques déjà trop condensées, on soulignerait ce
25
applications accélérées presque immédiates. Il a
fallu
plus de trois siècles à l’imprimerie pour développer tous ses effets
26
pour développer tous ses effets sociaux, car il a
fallu
attendre pour cela l’instruction publique et la grande presse. Mais p
27
ticisme amer nos plus éloquents hommes d’État. Il
fallait
donc d’une part approfondir l’idée même de l’Europe unie, par une sér
28
glo-Saxon cherche une « approche » convenable. Il
faut
tenir compte de ce malentendu toujours instant dans le dialogue europ
29
que impérialisme trop évidemment inconcevable, il
faut
maintenant que les Européens reforment une Europe vivante au-dessus d
30
forces mondiales qui nous pressent. Et certes, il
faudra
bien liquider nos querelles : mais c’est la seule vision du grand pér
31
textes. Or c’est notre vision de l’Histoire qu’il
faut
changer. Quand on aura désherbé les manuels de toutes leurs dépêches
32
M. Ernst Friedländer, publiciste allemand : « Il
faut
dire franchement à nos nations qu’elles ne pourront sauver leur indiv
33
À la question : pourquoi l’Europe unie ? il nous
faut
donc répondre maintenant : pour que l’Europe recouvre, entre les gran
34
de toute l’Europe en ratifiant ou non la CED. Il
fallait
donc fixer la France d’abord, puis ses alliés sur l’imbroglio des gue
35
. Parlons seulement d’œuvres contemporaines. ⁂ Il
faut
pousser plus loin le paradoxe. S’il est tout de même un caractère com
36
ne », pour s’habituer à vivre dans l’histoire. Il
faut
enfin l’avouer : toutes les autres époques ont été « modernes », sauf
37
s’en plaignait parfois avec humour. Mais pourquoi
faudrait
-il qu’un homme d’État fût d’abord un brillant rhéteur ? Le jugement p
38
ine de la cause et des réalités européennes qu’il
faut
attribuer sa mort prématurée. Nous restons pour reprendre sa lutte en
39
: passion, révolution, nation (mai 1955)w S’il
fallait
définir l’Occident par ses maladies spécifiques, ces trois noms me se
40
u de notre expérience salutaire ? Certes, mais il
faut
voir qu’un tel échec demeure spécifiquement occidental, encore qu’il
41
: partant de l’utopie d’un ordre théorique qu’il
faut
imposer par la force, elles s’imaginent qu’il en résultera nécessaire
42
de ces coïncidences et de ces contradictions, il
faut
remonter à notre dialectique de la personne. Ce n’est pas la personne
43
ce des sectateurs du Mythe de la Révolution. « Il
faut
ce qu’il faut ! », disent-ils d’un air de dure sagesse. Il leur faut
44
urs du Mythe de la Révolution. « Il faut ce qu’il
faut
! », disent-ils d’un air de dure sagesse. Il leur faut cela, sans dou
45
! », disent-ils d’un air de dure sagesse. Il leur
faut
cela, sans doute. Mais pour quelles fins avouables ? Rappelons-nous q
46
r quelles fins avouables ? Rappelons-nous qu’il «
fallait
» ouvrir d’un coup de poignard d’obsidienne la poitrine des jeunes ge
47
tes ? N’a-t-on pas ajouté des noms d’absents ? Il
faut
maintenant souscrire aux formules adoptées, déposer l’adversaire héré
48
sposition n’a pas toujours été légitime : il s’en
faut
de beaucoup. Au couple d’opposés vrai Dieu-vrai homme correspondent d
49
tifs et aux effets de leurs recherches. Peut-être
fallut
-il, en ce moment de l’histoire et de l’Aventure occidentale, cette gr
50
t l’on finit par l’oublier ou le nier — peut-être
fallut
-il ce dernier sacrifice, cette longue intermittence du spirituel, pou
51
argument « en faveur » du Credo de Nicée… Mais il
faut
voir tout de suite que cela ruine à jamais les « certitudes » de la p
52
matière brute et la pensée la plus abstraite. Il
faudrait
alors dissocier bien plus radicalement qu’on ne le fait d’ordinaire l
53
out est dialogue avec les forces naturelles qu’il
faut
séduire tout en leur obéissant. D’où « l’inadaptation » que notre esp
54
rviront d’elle comme d’un objet sans âme, dont il
faut
découvrir le mode d’emploi. Cette seconde attitude, contrecoup de la
55
ommunications). L’homme n’est pas encore, il s’en
faut
, au terme de cette entreprise, mais il a déjà le droit de le rêver ac
56
l’idée d’appliquer certains de ses résultats, il
fallait
d’autres hommes que les meilleurs savants, et surtout une autre visée
57
it, n’existe pas ailleurs, et c’est en nous qu’il
faut
le combattre. Comment imaginer, dès lors, que la technique, créée par
58
nous raconte donc pas d’histoires. Ce qu’il nous
faut
, c’est un contrôle de l’homme. » ( Lettres sur la bombe atomique .)
59
monde sans âme de l’uniformité et de la série. Il
faut
bien voir que cela concerne en fait les ouvriers « taylorisés » (moin
60
son germe et notre avenir, cet avenir qu’il nous
faut
accepter de dévisager hardiment. Le sérieux de la vie On dit :
61
ctature, devenue difficile à défendre, mais qu’il
faut
maintenir à tout prix. Sacrifier post mortem le seul Staline, ce n’es
62
oint par accident qu’un dictateur est fou, car il
faut
être fou pour se faire dictateur, la dictature étant la forme politiq
63
’ils ont peuplés. Oui, c’est bien de morale qu’il
faut
ici parler, de morale politique et sociale, on l’entend, la seule qui
64
postes et des charges du vivant de Staline ; mais
faut
-il en conclure que ce sont d’enragés staliniens qui se léninisent sou
65
u que ce soit — du bolchévisme en général ? Il le
faut
bien, puisque, selon Sartre, il aurait pu « se supprimer lui-même » s
66
historiquement », pour l’URSS ? D’autre part, il
faut
croire qu’en URSS même le stalinisme contenait autre chose que ce que
67
ire en disant : celui qui est toujours contre, il
faut
bien qu’il soit payé pour…50 L’anticommuniste, en revanche, n’est pa
68
es étaient gouvernés depuis trente ans soit (s’il
fallait
en croire Staline) par une majorité de traîtres et d’espions au servi
69
seraient-ils donc ceux qui n’ont pas de nom ? Il
faut
pourtant bien qu’ils existent : où serait, sans eux, la bonne conscie
70
de l’homme » qu’on se bornait à nier, mais qu’il
faut
à présent renier54 ; déclarer du jour au lendemain que le mouvement d
71
— ou sont-ils enfin devenus libres ? Réponse : Il
faut
se laver, si l’on veut être libre. Refuser toute espèce de couleur. T
72
ilité ? Qui, désormais, en sera le vrai porteur ?
Faudra-t
-il dissocier les chefs et le Parti, sacrifier les premiers pour garde
73
n que disant, pour quelque temps encore, ce qu’il
faut
bien qu’il dise, donc ce qu’il dit ? Un jour viendra, sans doute, où
74
l’URSS, par là même, se verrait intégrée. Encore
faut
-il vouloir une paix vraiment vivante, j’entends une paix qui ne résul
75
onfiance en ce que l’on croit. J’en conclus qu’il
faut
faire l’Europe. Nous rendre assez forts pour donner, pour mieux vivre
76
onner un peu plus que nous ne possédons ? Il nous
faudra
donc le créer. 44. Comme le veut J.-P. Sartre, Les Temps modernes,
77
suis sous-développé. B. Intéressant ami, que vous
faut
-il ? A. Si vous ne m’aidez pas, sachez-le, je me jetterai dans les br
78
quelle Europe vous parlez. B. De celle qu’il nous
faut
faire, ne fût-ce que pour sauver l’objet de notre dialogue — et tout
79
peut vous servir, et la mettez en doute quand il
faut
qu’on la serve. C’est naturel, on vous comprend très bien. Mais vous
80
sse. C et D. C’est qu’il y a tous les autres ! Il
fallait
bien, Monsieur, que nous allassions les consulter. B. Votre belle sou
81
! B. Plus ou moins. S. Mais qu’est-ce qu’il vous
faut
? B. L’Europe est une cause trop sérieuse pour qu’on la laisse aux ma
82
uropéens. C’est une question d’éducation. S. Il y
faudra
vingt ans. B. Vous voyez donc qu’il n’y a plus une minute à perdre.
83
ient à tout prix nous tromper depuis dix ans : il
fallait
« essayer de comprendre le désir de justice sociale » qui animait non
84
t, d’ici, répondre à leur appel ? Savoir ce qu’il
faut
dire est notre action. J’écrivais hier : Jurons de faire l’Europe. C’
85
nt active dans l’Histoire. Mais en même temps, il
faut
agir sur les esprits, provoquer quelque sens de l’honneur, s’il en su
86
mes Nous les Magyars, nous versons notre sang. Te
faut
-il encore plus, ô Liberté, Pour que ta grâce daigne sur nous descendr
87
des démocraties. Sa machinerie s’enraye dès qu’il
faudrait
se tourner non plus contre l’Europe mais contre ses ennemis. Elle n’a
88
cipes ne m’y oblige et nulle discipline de parti.
Faut
-il donc vous faire un dessin ? Que je n’aie rien dit cette fois de Pe
89
qui a compris. C’est avec elle, maintenant, qu’il
faut
parler ; qu’on peut agir. ad. Rougemont Denis de, « Sur la honte
90
as intolérants ni intolérables. » Ailleurs : « Il
faut
donc que les hommes commencent par n’être pas fanatiques pour mériter
91
aisser prendre par simple peur de s’affronter. Il
faudra
réfléchir, pendant les semaines qui viennent, aux suites possibles ou
92
ommunistes trahiraient leur nation respective, il
faut
dissoudre les PC, préventivement. Mais si l’on n’y croit pas, ce moti
93
n concrète est l’indépendance de l’Europe. Car il
faut
être indépendant pour rester neutre ou pouvoir se déclarer tel. Mais
94
i d’une éventuelle neutralité européenne. Mais il
faut
craindre que des partis pris d’ordre sentimental plus qu’idéologique
95
PC au nom de ses fins — comme le veut Sartre — il
faudrait
l’interdire au nom des nôtres. En effet, le 2e congrès de l’Internati
96
r, d’abolir les règles, et de liquider l’arbitre,
faut
-il continuer la partie ? Le Parti communiste s’est toujours réclamé d
97
. Mais nos démocraties étant ce qu’elles sont, il
fallait
en passer par là pour préparer les prises de conscience nécessaires.
98
villa de banlieue, mais la Place est sublime. Il
faut
en interdire l’accès à ceux qui pensent et qui parlent comme cette da
99
emin, en marchant dans la même direction. A. — Il
faut
donc devenir fasciste ou communiste ? R. — Au contraire, il faut déno
100
ir fasciste ou communiste ? R. — Au contraire, il
faut
dénoncer les illusions démocratiques qui conduisent logiquement aux d
101
achines en tiendront-elles compte ? R. — Ce qu’il
faut
revendiquer, désormais, laissant tomber en chemin tout recours paress
102
ial de l’Europe et rôle cosmique de l’homme. A. —
Faut
-il jouer la « Marseillaise » ? R. — Non, mais changez un peu vos mesu
103
s tons. Direct, adroit, bonhomme, ému quand il le
faut
, il les domine de loin sur son terrain. Mais à quoi bon ? Leurs objec
104
on à l’union nécessaire. Ainsi, à la question : «
Faut
-il unir l’Europe ? », on peut répondre : 1. — Non, car seules nos nat
105
u quatre écoles, dont voici les maximes. 1. Il ne
faut
plus de guerres franco-allemandes. Cette conviction fit les premiers
106
ersifiées au cours de ces dernières années. 2. Il
faut
des institutions techniques. Trop d’obstacles psychologiques, traditi
107
onde les donnera-t-il à l’Europe assiégée ? 3. Il
faut
persuader les esprits et les cœurs, éduquer, former, informer. Car le
108
t de culture, une civilisation ? C’est cela qu’il
faut
sauver. C’est cela qui la sauvera… — Oui, mais l’œuvre est de longue
109
dans son effort pour éveiller les masses ? 4. Il
faut
créer une force politique. Car la raison, la persuasion et la techniq
110
aré des éléments de sa fusée de lancement. Il eût
fallu
multiplier, dans toute la presse occidentale, depuis un an, des artic
111
ain quotidien ; là, le rêve compensateur. De quoi
faudrait
-il s’étonner ? Lorsque je vins déranger Marcel Duchamp, tout absorbé
112
elais et H. G. Wells. La plupart sont Anglais, il
faudrait
voir pourquoi. Les Français inaugurent un genre nouveau avec Cyrano d
113
autre air ». Quant aux habitants de Mercure, « il
faut
qu’ils soient tous fous à force de vivacité et n’aient pas plus de mé
114
défi et dépassé. Ce n’est plus drôle du tout. Il
faut
faire attention. Car la science a déjà devancé nos poètes. « Dans cen
115
l’analogie entre l’Europe et la nation qu’il nous
faut
refuser d’entrée de jeu. Nous voulons une Europe fédérale. Le sacré n
116
l dont l’aire et le régime sont encore inconnus ?
Faut
‑il croire qu’on désire seulement les apparences de l’union, sans voul
117
Rome à deux ou trois heures, aujourd’hui. Et s’il
faut
une armée pour veiller sur la sécurité du district fédéral, n’oublion
118
e union. Si l’on répète qu’en dépit du Littré, il
faut
choisir entre les deux systèmes — l’un étant paraît-il moins fédéral
119
aison ne sont pas finis, c’est de cela qu’il nous
faut
parler et disputer, car ce que le monde entier attend de nous, ce n’e
120
à leur définition : elle est subie parce qu’il le
faut
, provisoirement, en attendant le jour où l’on prendra le pouvoir. Au
121
si on les déclare contraires à la démocratie, il
faut
admettre alors que ni le peuple ni la démocratie ne sont ce que l’on
122
ctuels bourgeois. Comme ils sont une minorité, il
faut
bien en conclure qu’une vraie démocratie, celle du vrai Peuple, ne sa
123
sens littéral de ce terme. Pourquoi pas ? Mais il
faut
en avertir. On préfère mélanger les clichés et les faits, et l’on inv
124
’écrivain ne suffit pas, bien que sincère. Car il
faut
voir que cette ambiguïté, qu’il nous propose malgré lui, n’est pas du
125
athe, frère et sœur. Admirable coïncidence, qu’il
faut
bien attribuer à la logique du Mythe, en l’absence de tout autre élém
126
’est pas la même ! — À t’entendre, dit Agathe, il
faudrait
croire qu’on n’aime pas réellement la personne réelle et qu’on aime r
127
naître par défi, il ne peut être fait de défi. Il
faut
qu’il soit inséré dans une société. Il n’est pas un contenu de vie, m
128
exception faite à tous les contenus de vie. Or il
faut
à une exception quelque chose dont elle soit l’exception. On ne peut
129
leur inégale déséquilibre l’amour ; seulement, il
faudrait
ajouter que, bien souvent, c’est un déséquilibre du sentiment qui ent
130
ité parce qu’il est vraiment souverain. Peut-être
faut
-il reconnaître à ce seul philosophe le privilège d’avoir parlé sans c
131
vahit la critique sous l’influence du journal. Il
faut
savoir être secret pour penser avec autorité. Il faut savoir taire ce
132
savoir être secret pour penser avec autorité. Il
faut
savoir taire ce qui permettrait aux indiscrets de comprendre intellec
133
mprendre intellectuellement sans « réaliser ». Il
faut
que les pensées créées ne soient concevables qu’en elles-mêmes, et co
134
enser. De poésie ? Très certainement. Mais encore
faudrait
-il s’entendre sur le sens authentique de ce mot. Disons, pour couper
135
ser dans toutes les directions, jusqu’à Dieu ; il
fallait
donc considérer comme un grand bonheur pour lui qu’il eût pu les voir
136
chose, la politique concrète en est une autre, il
faut
cesser de « confondre » cette théorie et cette praxis. Mais cela revi
137
praxis. Mais cela revient à dire, en somme, qu’il
faut
cesser de penser comme Marx. Séparer la pensée de l’action, réduire l
138
e, une détente intellectuelle doit s’ensuivre. Il
faut
avouer que le voyage de Khrouchtchev en Amérique a provoqué des mouve
139
t dépassé. De nouvelles réalités sont là, dont il
faut
tenir compte. » Conséquence : « La littérature expérimentale d’avant-
140
changé. J’essaierai patiemment, pesamment s’il le
faut
, de définir en termes clairs et simples ce qu’étaient ces données aup
141
III. Mais si l’on veut aller plus loin, et il le
faut
, un peu de clarté crue sur les données de l’affaire paraît utile.) Qu
142
préparait leur lit dans nos démocraties. Il nous
fallait
courir au plus pressé, secourir les persécutés accusés de liberté d’e
143
ent transmission mais critique et rupture s’il le
faut
; qui n’est plus seulement initiation mais invention. Ces deux aspect
144
démocratique. Pour que notre vie ait un sens, il
faut
que la culture vivante recrée pour les hommes de ce temps des ensembl
145
ommes de ce temps des ensembles intelligibles. Il
faut
que nos activités humaines que nous avons spécialisées et séparées ju
146
te à l’infini. » Sans passé, sans mémoire (il lui
faut
le Catalogue !), sans lendemain et sans nostalgie, il court, vole et
147
la convoitise, est la pointe de l’existence ». Il
faut
choisir pour exister. Le Séducteur choisit d’aimer le plus souvent qu
148
us achevés, les Riens philosophiques 107 : Il ne
faut
pas penser de mal du paradoxe, cette passion de la pensée, et les pen
149
mensonge ». Et l’objet, le prochain — celui qu’il
faut
aider, selon la parabole évangélique — ne saurait être à son tour que
150
intera comme tout ce qu’il a connu ! Alors il lui
faudra
s’arrêter pour toute l’éternité, cloué à la déception et devenu lui-m
151
me toujours latent qui vient de se déclarer. Il
fallait
donc d’abord préciser le contraste des deux mythes les plus contraign
152
utisse point à quelque « malheur exemplaire », il
faudrait
qu’un heureux « accident de l’histoire » vienne déjouer la logique du
153
très voilées à cette transformation physique. Il
faut
croire que mon hypothèse se lisait entre les lignes, néanmoins, puisq
154
C’était pour lui « une nécessité vitale ». Car il
fallait
retenir toute une jeunesse impatientée par « une propagande officiell
155
et objectifs sont évidents. C’est là-dessus qu’il
faut
insister. La victoire des Anglais et des Cinq, le 29 janvier, risquai
156
sens. Or, jusqu’ici — début de février 1963 — il
faut
bien qu’on l’admette avec Spaak, personne n’a proposé un plan d’union
157
s que la culture occidentale doit assumer. Encore
faut
-il que quelques-uns se mettent au travail, qu’ils élaborent un plan,
158
de Guerre mondiale jusqu’aux environs de 1960, il
faut
reconnaître que nos autorités et notre presse ont été dans l’ensemble
159
’autre les objections du scepticisme invétéré (ou
faut
-il dire traditionnel ?) qui tendait à paralyser non seulement toute i
160
ope. Si la neutralité fait obstacle à l’union, il
faut
en réviser les termes, comme les Suisses l’ont fait maintes fois depu
161
ciaire (de 51 millions) avec l’outre-mer. Mais il
faut
avouer que ces chiffres ne suffisent pas à justifier notre refus de p
162
qu’ailleurs, n’en affirment pas moins que s’il le
faut
, un jour, la Suisse farà da se et saura bien se défendre ? Nous ne so
163
son pays, il n’a pas le droit d’en conclure qu’il
faut
refuser de rejoindre le Marché commun, mais il a le devoir de freiner
164
débat que l’idée européenne suscite en Suisse, il
faut
bien reconnaître que des deux côtés une sorte de gêne empêche d’aller
165
un mystère, ou plutôt elle est ce mystère. Il m’a
fallu
longtemps, beaucoup d’étude, d’éloignement, de retours étonnés, pour
166
ans l’Histoire, aura le dernier mot. Mais encore
faut
-il qu’elle le dise. 136. Voir l’Extrait du projet de paix perpétue
167
cette longue aliénation parfois libératrice, il a
fallu
tout cela pour que celui qui avait été l’un des « phares » baudelairi
168
que sa passion religieuse (antichrétienne athée,
faut
-il le répéter ?) et c’est tout dire. La grande contradiction qui a te
169
d’exacte obéissance aux signes devinés — ce qu’il
faut
bien que j’appelle ici, d’un terme signifiant pour moi la relation d’
170
e naguère le physicien matérialiste croyait qu’il
fallait
une masse préexistante pour qu’un mouvement s’y appliquât. — Je l’ai
171
ire du pain, parce que c’est son plaisir et qu’il
faut
s’occuper. On prendrait chez lui sans payer un ou deux pains par jour
172
t, vous verrez… — En somme, vers quarante ans, il
faut
devenir son propre père ? 6 août. Ce qui nous manque ici, c’est un je
173
terre en est changée, mais combien de temps nous
faudra-t
-il pour le comprendre ? Si nous n’y arrivons pas très vite, nous n’y
174
anne. Son histoire n’est pas encore écrite, et il
faut
craindre qu’elle ne puisse l’être que d’une manière insuffisante ou f
175
lises… Avant de me donner la parole en public, il
fallait
me laisser le temps de m’orienter… Deux jours plus tard, le soir, c’e
176
Tout cela est bel et bon, mais maintenant il nous
faut
travailler.” C’est un Polonais d’une soixantaine d’années, le Dr Reti
177
, mais pour la production de l’Union entière ; il
faut
mettre en commun les ressources d’énergie des marées et d’énergie ato
178
lutionnaire, qu’apporte la doctrine fédéraliste ?
Faut
-il survivre, mais au risque de perdre ses raisons de vivre (et pas se
179
pas été discutée par le Congrès. Désolé, mais il
faut
renoncer au Message ». Mon interviewer, Alec Plaut, m’avait suivi, le
180
au-père sur le même thème. 162. « Mais quoi ! Il
faudrait
se lever pour cela ! Nous devrions tous nous lever ! » 163. Sforza,
181
ue, que tout exige, que tout le monde admet qu’il
faut
faire — et que pourtant personne ne fait ? Eh bien ! chacun le sait,
182
lus concrètes et le culte prolongé d’un mythe, il
faut
choisir. Pour la première fois dans son histoire, l’homme se voit auj
183
longuement délibérés, concertés à long terme : il
fallait
se battre pour survivre. Aujourd’hui que le nécessaire est assuré, on
184
vie… D’une façon plus précise, en Europe, il nous
faut
décider si notre union aura pour but la Puissance collective ou la Li
185
e collective ou la Liberté des personnes. Il nous
faut
le décider, en toute conscience, et vite ; car le choix de la fin imp
186
ipalement de tenir tête aux deux autres, alors il
faut
créer un super État-nation continental, uniformisé, centralisé et agr
187
et faire de nos États autant de départements. Il
faut
tout unifier par des lois inflexibles, sans égard aux diversités ethn
188
étant qu’un des moyens de ces libertés), alors il
faut
reconnaître que l’État-nation n’est pas seulement un modèle périmé, m
189
le avec les fins de l’Europe et de la liberté. Il
faut
adopter sans délai les méthodes les plus propres à réduire l’obstruct
190
ufs pour une cité rendue à l’usage de l’homme. Il
faut
mettre en commun à l’échelle fédérale continentale, tout ce qui est n
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communales et personnelles, mais rien de plus. Il
faut
admettre la pluralité des allégeances, civiques, politiques, culturel
192
tion de l’État-nation à leur monopole absolu. Il
faut
distribuer les pouvoirs étatiques aux différents niveaux de décision
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uté la plus apte à les administrer. En un mot, il
faut
appliquer la méthode du fédéralisme. L’amicale des misanthropes
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ncore efficaces, il est vrai, pour gêner ce qu’il
faudrait
aider : les échanges culturels, les mouvements de personnes, la conce
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t plus positive de la renaissance des régions. Il
faut
défaire et dépasser l’État-nation. En instaurant les régions en deçà,
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les régions en deçà, et la fédération au-delà. Il
faut
distribuer et répartir l’État aux différents niveaux de décision où i
197
affaires « étrangères » : c’est un mot qu’il nous
faut
bannir du vocabulaire politique dans une Europe fédérée, au seuil de