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ral américain. Chaque personne fait obstacle à la
fatalité
. a. Rougemont Denis de, « Mesurons nos forces », Preuves, Paris, a
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t le destin social, entre la personne libre et la
fatalité
, ne serait pas concevable hors d’un monde qui date ses années de la C
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ossible : il traduit notre volonté d’échapper aux
fatalités
. Et nous l’imaginons comme le produit de toutes les créations accumul
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, c’est peu de chose pour arrêter le cours de nos
fatalités
. Si l’on dit cela, on commettra la pire erreur qu’on puisse commettre
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acher ses doutes intimes derrière une opportune «
fatalité
». Les machines sont plus fortes que nous, c’est entendu (le marteau
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nité de toute intervention, en nous livrant à des
fatalités
imaginaires. Mais avant d’attaquer ce problème, pour se qualifier à l