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dit qu’un homme en vaut un autre, et donc qu’une
femme
en vaut une autre. Disposition peu favorable, il faut l’avouer, au dé
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commune condition humaine, c’est à leurs yeux la
femme
, l’amour et le mariage. Or tous les deux se voient contraints d’y ren
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exclure le reste de l’humanité. Quand on aime une
femme
et qu’on l’épouse, stipule-t-on par là une déclaration de haine à tou
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r là une déclaration de haine à toutes les autres
femmes
? Distinguer l’individu et la personne. — La confusion de notre vo
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exclure le reste de l’humanité. Quand on aime une
femme
et qu’on l’épouse, stipule-t-on par là une déclaration de haine à tou
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r là une déclaration de haine à toutes les autres
femmes
? » Jamais il n’a voulu parler de la « grandeur » de l’Italie, mais i
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phénomène et de son mythe. On voit l’homme et la
femme
entrer dans la passion comme ils entreraient en religion. Le premier
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era ! Cependant, tel autre en fait autant pour la
femme
qu’il désire, ou pour une œuvre d’art, ou pour sa drogue. Tyrannie de
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nts d’étuis à Leica. R. — Avez-vous entendu cette
femme
à l’autre table ? Elle trouve Venise « artificielle » ! A. — Je compr
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en Dieu et surtout en Son Incarnation. Combien de
femmes
solitaires et trahies ont étendu leur ressentiment à l’espèce entière
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is romans : vous regardez longuement ce visage de
femme
et, peu à peu, c’est un paysage, c’est un pays, c’est une société tou
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renez votre lecture et, non, c’était vraiment une
femme
… Qu’est-ce que l’auteur a voulu dire ? Tout ce que nous voyons là, sa
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onde », Ulrich conte à nouveau l’histoire de « la
femme
la plus merveilleuse qu’il eût croisée sur sa route » : Elle l’avait
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rsions sociales et sexuelles » : Il rêvait d’une
femme
absolument inaccessible. Elle flottait devant ses yeux comme ces jour
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être mariés, et néanmoins contents. L’homme et la
femme
n’y sont plus que « porteurs de germe mâle ou femelle » ou encore « p
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x romans écrits à la première personne et par une
femme
, décrivant des situations quotidiennes et des sentiments normaux que
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sessions que bien peu d’hommes et moins encore de
femmes
ont pu vivre aux États-Unis ; l’un raillant cruellement le way of lif
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mal vu, mais n’en fascine que mieux l’homme et la
femme
du xxe siècle américain, nonobstant les progrès de l’éducation sexue
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s, d’une société, d’un paysage de l’âme, ou d’une
femme
?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle donc p
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Tout Autre n’est-il pas l’inaccessible, et toute
femme
aimée une Iseut, même si nul interdit moral ou nul tabou ne vient sym
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dément au monde du Père, « monde des enfants, des
femmes
et des vieillards », monde passif, féminin, sans conflits et sans dra
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r pour la liberté. Chaque fois qu’un homme ou une
femme
en vient à constater que sa vie personnelle n’a pas de sens, la liber
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cteur. » Non seulement il a du succès auprès des
femmes
, mais encore il les rend heureuses — et malheureuses ; chose étrange,
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est convaincu que « l’expression véritable de la
femme
consiste en sa volonté d’être séduite… C’est pourquoi elle ne se fâch
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mer le plus souvent qu’il le pourra, car c’est la
femme
qu’il aime, et dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être sédui
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ra, car c’est la femme qu’il aime, et dans chaque
femme
réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fo
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conde partie des Étapes choisit d’aimer une seule
femme
et de l’épouser, car le mariage est cette décision qui « traduit l’ex
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e qu’ils ne possédèrent pas. Si l’idéalité que la
femme
porte en elle a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette femme qu
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le a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette
femme
qui l’a ainsi enthousiasmé, il aurait dû pourtant s’unir pour la vie.
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fie donc que c’est dans un rapport négatif que la
femme
rend l’homme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la femme entr
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mme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la
femme
entraîne vers la hauteur. Cet amour qui « entraîne » et transfigure
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x chastes ont beaucoup médité sur l’amour, sur la
femme
et sur le mariage. Nietzsche en a certes moins longuement écrit que K
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’homme se trouvait à côté de l’homme et qu’aucune
femme
ne pouvait élever la prétention d’être pour l’homme l’objet de l’amou
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Kierkegaard au contraire pense que c’est par la
femme
aimée de passion que l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne
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r, violent — ainsi nous veut la sagesse. Elle est
femme
… » Que dit Aurore ? « Il n’y a encore d’efficace contre l’amour que c
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à sa place dans la nature ! Non pas l’amour d’une
femme
“idéale” !… Au contraire, l’amour dans ce qu’il a de fatal, de cyniqu
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ux que colère, honte et mépris. Casanova aime les
femmes
, Valmont ne cherche qu’à gagner des parties. C’est un des lieux commu
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s épuisé la richesse. L’un posséda mille et trois
femmes
, l’autre une seule femme. Mais c’est la multiplicité qui est pauvre,
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posséda mille et trois femmes, l’autre une seule
femme
. Mais c’est la multiplicité qui est pauvre, tandis que dans un être u
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es par sa qualité d’Étranger. À la question d’une
femme
qu’il veut séduire : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de
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es premiers sédentaires, pillaient, prenaient les
femmes
, leur révélaient le plaisir dans l’acuité de l’épouvante, et fuyaient
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n de nous à ses heures. C’est qu’il oublie qu’une
femme
n’est pas une pomme. Et qu’elle en voudra mortellement à celui qui ne
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pas donné l’âme qu’il lui devait… Il a trompé la
femme
en elle, en abusant de son rôle divin d’animateur pour satisfaire seu
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elà… n° 133.) 127. Henry de Montherlant, Sur les
femmes
. 128. Otto Rank, Don Juan, une étude sur le Double, 19-2. — À propo
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quille ! Ces deux millions et demi d’hommes et de
femmes
sans armes ne menacent pas la paix du peuple russe. Nous demandons à
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euple pacifique, ce petit peuple égalitaire où la
femme
n’a pas le droit de vote mais « cuit à l’électricité », six siècles d
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r que je m’entends au mieux avec tel homme, telle
femme
dont tout me sépare en fait, ou avec qui j’ai rompu sans retour. Ce s
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ques poètes, des ethnographes, et quelques jeunes
femmes
assez fantasques qu’on eût dit nées des comédies de Shakespeare. On s
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rk mes Personnes du Drame . Breton me dit que sa
femme
en ayant lu quelques chapitres, il avait vu que le livre était « dang
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traversé la salle en procession, Churchill et sa
femme
conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfares dans la co