1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 ement extérieur de ce drame fut la rupture de ses fiançailles avec Régine Olsen, crise initiale qui libéra le jaillissement de tout
2 l’isole de ses semblables, l’oblige à rompre ses fiançailles avec la très jeune Ophélia et le fait passer pour un dangereux exalté
3 tout en essayant de le faire deviner, rupture des fiançailles , enfin dénonciation éclatante d’une usurpation que tout le monde s’ac
4 Kierkegaard s’est expliqué sur la rupture de ses fiançailles avec Régine. Il s’est expliqué, peut-on dire, dans toute son œuvre, e
5 i sont en réalité le récit à peine déguisé de ses fiançailles et l’analyse interminable des motifs de la rupture. Shakespeare, au c
6 e dans lequel Kierkegaard raconte le drame de ses fiançailles . Il semble donc que le parallèle que j’ai risqué se soit offert à l’e
2 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
7 sence autre que nostalgique. (Et déjà, durant les fiançailles , il lui écrit pour s’excuser d’un rendez-vous manqué : il est allé to
8 péripéties extérieures. Pour l’un, la rupture des fiançailles , l’attaque finale contre l’Église et la mort à 42 ans. Pour l’autre,