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ment de cette révolution, son ressort et sa cause
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, c’est la notion, chrétienne à l’origine, de la valeur absolue de la
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incident secondaire en apparence provoque le saut
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, l’accomplissement, que le héros paie de sa vie. Or il existe, dans l
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moyens à mettre en œuvre et, par suite, le succès
final
. Chez Kierkegaard, chez le chrétien en général, il en va différemment
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3. Cette image du saut me fait songer à la scène
finale
du beau film que Laurence Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet blessé, enf
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stances à la propagande totalitaire, et démission
finale
entre les mains d’un petit groupe « d’apaiseurs » formule Bénès : on
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rmulant son propre jugement. Et lors de la séance
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au Capitole, il se leva pour lire un magistral discours synthétisant
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à sentir qu’il ne pourra jamais atteindre au but
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s’il n’accepte pas en même temps que la Grâce subvienne à sa débilité
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ais le Credo n’en affirme pas moins sa délivrance
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et sa résurrection. Cette dialectique violente et tourmentée, cette i
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nous conduit à reconsidérer le sens et la nature
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du Progrès. Celui-ci n’est-il pas simplement l’augmentation du risque
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? Ou plutôt, saurez-vous nous faire voir l’unité
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des deux voies ? Nul autre mieux que vous, vous seul sans doute… Il n
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ec son œuvre, son action publique, et sa vocation
finale
, il fut Hamlet. Mais dans sa vie individuelle, dans son amour unique
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Pour l’un, la rupture des fiançailles, l’attaque
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contre l’Église et la mort à 42 ans. Pour l’autre, moins encore : que
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éel de la science », s’il est vrai que « la cause
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de la science est de rendre l’existence concevable ». Le mythe est un
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ion à restaurer dans son équilibre vital… Sens
final
des deux mythes Quelles sont les fins de nos vies au-delà de survi
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ifférentes, alternées ou couplées, jusqu’au tutti
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dans une harmonie triomphante. — Mais que peut signifier cette harmon
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buts proprement politiques, qui étaient la cause
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du Marché commun dans l’esprit de ses promoteurs. Tous les gaullistes
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mi-chemin entre le temps où j’écrivais le Message
final
du premier congrès de l’Europe à La Haye, et le temps où l’Europe uni
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ions plus riches et plus précises que les motions
finales
. Le cadre de toute l’action ultérieure est posé, le but ultime bien i
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tinent : l’union douanière doit être l’expression
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d’une union économique, c’est-à-dire d’un plan commun de production ;
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s qu’au-delà de mon rapport, on visait le Message
final
: on tentait de casser ou d’émousser cette pointe fédéraliste du Cong
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marquant un temps, j’allais passer à l’engagement
final
en cinq articles, Sandys fit un signe impérieux de la main afin que p