1 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
1 es origines du mythe et ne soupçonnons rien de sa finalité . Au regard de la société, le mythe de la passion n’est que révolte et
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
2 ler le marché, sans plus se laisser guider par la finalité incertaine et suspecte des souhaits humains. Ce vertige de l’action n
3 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
3 ême moment, la Sainte-Alliance des rois donne une finalité expressément européenne à la neutralité de la Suisse indépendante. Et
4 ui qui ose la discuter — a changé de nature et de finalité . Sortie de l’Histoire, en quelque sorte, elle n’est plus du tout cell
4 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
5 donc le dilemme présent : si nous attribuons pour finalité à la Cité européenne de demain la puissance, c’est-à-dire la puissanc
6 dèle périmé Au contraire, si nous donnons pour finalité à la Cité européenne la liberté, c’est-à-dire les plus grandes possib
7 s misanthropes Puissance ou liberté : ces deux finalités commandent deux politiques d’union, dont je crains bien qu’on ne puis
8 on, ramenée au dilemme Puissance ou Liberté comme finalités de l’union. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers parti tenable.
9 que parce qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but de la Cité européenne la Liberté non la