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sé de n’être rien qu’un « instrument de la guerre
froide
». Devant l’ambiguïté d’une pareille situation, l’Américain se met su
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mats occidentaux, pour se nourrir, se protéger du
froid
, des inondations, des sécheresses. Elle le tue, mais c’est d’elle qu’
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ommunistes — responsables sans doute de la guerre
froide
. C’était pour se déclarer neutre entre un parti mondial soutenu par u
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« En 1959, on prêche toujours âprement la guerre
froide
dans les pages de Preuves ». « Cette revue essaie de prouver que la
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ue la coexistence est impossible et que la guerre
froide
ne cessera de voisiner avec la guerre chaude, et que c’est là l’ordre
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influence dans la vie publique afin que la guerre
froide
cesse à l’intérieur du pays… Le choc pur et simple entre le communism
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ntale d’avant-garde est une séquelle de la guerre
froide
» et ne saurait survivre à la détente. À l’inverse, Alberto Moravia,
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vé de leur idéologie devenait un acte de « guerre
froide
». Critiquer les ukases culturels de Jdanov, c’était le signe d’une «
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u côté occidental serait encore un acte de guerre
froide
. Nous reprochions à l’URSS de ne pas distinguer entre les intérêts d’
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la fin de la peur mutuelle qui nourrit la guerre
froide
, dans les deux camps, la fin de l’angoisse planétaire provoquée par l