1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
1 sé de n’être rien qu’un « instrument de la guerre froide  ». Devant l’ambiguïté d’une pareille situation, l’Américain se met su
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
2 mats occidentaux, pour se nourrir, se protéger du froid , des inondations, des sécheresses. Elle le tue, mais c’est d’elle qu’
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
3 ommunistes — responsables sans doute de la guerre froide . C’était pour se déclarer neutre entre un parti mondial soutenu par u
4 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
4 « En 1959, on prêche toujours âprement la guerre froide dans les pages de Preuves  ». « Cette revue essaie de prouver que la
5 ue la coexistence est impossible et que la guerre froide ne cessera de voisiner avec la guerre chaude, et que c’est là l’ordre
6 influence dans la vie publique afin que la guerre froide cesse à l’intérieur du pays… Le choc pur et simple entre le communism
7 ntale d’avant-garde est une séquelle de la guerre froide  » et ne saurait survivre à la détente. À l’inverse, Alberto Moravia,
8 vé de leur idéologie devenait un acte de « guerre froide  ». Critiquer les ukases culturels de Jdanov, c’était le signe d’une «
9 u côté occidental serait encore un acte de guerre froide . Nous reprochions à l’URSS de ne pas distinguer entre les intérêts d’
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
10 la fin de la peur mutuelle qui nourrit la guerre froide , dans les deux camps, la fin de l’angoisse planétaire provoquée par l