1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
1 veut être un témoin de la vérité ? Un soldat à la frontière devrait-il être marié ? se demande Kierkegaard. Et lui, qui se bat au
2 kegaard. Et lui, qui se bat aux avant-postes, aux frontières de l’esprit ? D’autre part, il redoute d’initier sa fiancée à l’« esc
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
3 eux, quand ils le trouvent utile, par-dessus les frontières nationales (comme l’ont fait, par exemple, au Centre européen de la c
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
4 a création d’autorités régionales chevauchant les frontières actuelles. 2. Le fédéralisme implique la légitimité des allégeances m
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
5 quelque « ondulation » d’on ne sait quoi, que la frontière intelligible s’est évanouie, mais c’est aussi entre le vivant et l’in
6 de la détermination jusque dans l’esprit ? Que la frontière s’efface entre la matière et l’énergie, puis entre l’énergie et quelq
7 la superstition matérialiste, constatent que les frontières s’effacent entre le « fond » de la matière et la pensée. Ils en dédui
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
8 ’un groupe de nations ne se défendra plus sur ses frontières , comme l’imaginent encore tous nos politiciens et plusieurs généraux
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
9 ns la même aventure. Qu’on ne chicane pas sur les frontières à venir de cette union : nul ne sera contraint d’entrer, et nul exclu
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
10 un être d’esprit dont le centre est partout et la frontière nulle part. Ou si l’on veut parler de sa circonférence (l’aire du ray
11 e ferveur européenne. Au sud‑ouest, en bordure de frontière , l’aérodrome de Cointrin, croisement des lignes intercontinentales et
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
12 ’attitude nationaliste unitaire à l’intérieur des frontières d’un État est incompatible avec l’attitude fédéraliste à l’extérieur.
9 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
13 tient en ces deux phrases : « Le départ hors des frontières de ma patrie équivaudrait pour moi à la mort, et c’est pourquoi je vo
10 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
14 e l’Exception : Au soldat qui monte la garde aux frontières , est-il permis de se marier ? Un tel soldat ose-t-il — ceci soit dit
11 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
15 e charbon libre de droits de douane traversait la frontière franco-allemande. Bien d’autres faits, non moins patents, devaient ré
16 mportant que le poids spécifique d’un peuple. Les frontières deviendront insensibles, tandis que les foyers d’émission ou de conde
17 la coexistence spirituelle et topographique, sans frontières territoriales qui les séparent, mais sans confusion et sans nivelleme
18 e géographiques. La dévalorisation croissante des frontières nationales doit libérer le dynamisme des régions, traditionnelles et
12 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
19 ogènes, qui n’ont aucune raison d’avoir les mêmes frontières , comme la langue et l’économie, l’état civil et l’exploitation du sou
20 ne fédération continentale). À l’intérieur de ses frontières , qu’il déclare naturelles contre toute évidence164, l’État-nation n’a
21 asser, de démystifier leur sacré, de percer leurs frontières comme des écumoires, de narguer ces frontières sur terre, sous terre
22 rs frontières comme des écumoires, de narguer ces frontières sur terre, sous terre et dans les airs, et de ne pas perdre une occas
23 ment de bien traiter ces problèmes. Ce statut des frontières , doublement déficient, est caractéristique de tout ce qui touche à l’
24 it » dont parlait Robert Schuman traversent leurs frontières sans les apercevoir : dans ce plan, elles n’existent pas. Il n’y a pa
25 us également, et ne coïncident jamais avec aucune frontière . Elles traversent aussi nos partis, nos confessions et nos régions, n