1 ndent de chacun de nous, — beaucoup plus que d’un général américain. Chaque personne fait obstacle à la fatalité. a. Rougemo

2 lisation européenne, elle aussi, donne des normes générales . Mais au dressage elle substitue l’éducation. Chez les Aztèques, les

3 homme pieux et moral. Je parle d’une manière plus générale du type d’homme (croyant ou non) que seul le christianisme a permis d

4 rer des entreprises d’éducation, et d’une manière générale à n’importe qui de se prononcer sur n’importe quoi qui n’est pas dans

5 pensée et la vie de Kierkegaard et, d’une manière générale , ce que l’on pourrait nommer les lois ou la psychologie d’une vocatio

6 quivoque, son rôle clairement tracé dans l’action générale . L’incertitude n’affecte dans Hamlet que les moyens à mettre en œuvre

7 actions apparaissent organisées par une intention générale . Celle-ci, certes, agissait dès le départ obscurément, mais ce n’est

8 malaise ? Chacun sait qu’il existe un malaise général à l’endroit de l’Unesco, et cela non seulement dans l’opinion, probab

9 financé et contrôlé par eux, et dont le programme général est voté par leurs délégués. Inutile de chercher plus loin. Il est cl

10 de l’économie, de la défense, et de la politique générale , — il est bien clair qu’on leur donnera toujours le moins possible. A

11 ntérêts spécifiques de la culture et les intérêts généraux des populations. Un régime de consultations directes entre les petits

12 velopper ici sans avoir retracé d’abord la courbe générale d’une réflexion commune, bien que menée par des esprits aussi divers

13 out est jeté par-dessus bord, dans l’inconscience générale , par ces confusions de langage. Comment penser l’Europe et son apport

14 vent provoquer, selon les cas, soit une confusion générale , soit une prise de conscience, subite et dramatique. Sur la confusion

15 onscience, subite et dramatique. Sur la confusion générale , n’insistons pas. Mais la prise de conscience peut et devrait surgir

16 e la chaleur des réactions directes, une tendance générale à faire passer la technique et la théorie avant cette chose vague et

17 yants. Finalement, le matérialisme devenu système général de pensée, sera décrété doctrine d’État par l’URSS. Mais tandis que d

18 ccidental moyen se figure qu’au Moyen Âge le sens général de la vie dépendait de la théologie, dont, depuis la Renaissance, la

19 t-âme volitive et affective. L’erreur moderne est générale à ce sujet : elle en vient souvent à l’excès d’identifier la chair av

20 analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s’impose : quoique unanime parmi nos sages et leur public, cette réac

21 panthéisme actif de la Renaissance, d’une manière générale les motifs religieux, apparaissent beaucoup plus féconds que les moti

22 bien rester libre de les appliquer. Quant au sens général du phénomène, j’ai dit qu’il est encore conjectural. On ignore, on ef

23 ion (comme K. l’affirme) ; ils étaient les moyens généraux de tout système totalitaire, ou les moyens particuliers d’un impérial

24 maginent encore tous nos politiciens et plusieurs généraux en retraite, mais bien dans les laboratoires où s’inventent de nouvel

25 rance. Que se passe-t-il donc ? Dans la confusion générale , qui est celle où s’élaborent habituellement les notions vagues et pu

26 donc contingente et limitée. En tant qu’attitude générale , elle se situerait à peu près entre l’égoïsme cynique et l’indifféren

27 ésentée comme la vraie condition d’une neutralité générale . Quelles seront alors les chances de l’Europe et de la paix ? Unie, n

28 entre les Trois (paix occidentale) ou l’explosion générale en cas d’accident (ce qui nous renvoie à l’éventualité prévue sous 3)

29 té de ne rien faire qui puisse causer l’explosion générale en Occident ; mais il en va de même pour les deux autres Rois. D’autr

30 épend le sort de l’Europe, la menace d’une guerre générale se trouvant désormais neutralisée par la terreur de mettre en œuvre s

31 olitique et littérature, donne la même impression générale — comme si le cynisme était la seule issue d’une perpétuelle irritati

32 à sens unique est une des marques de la confusion générale . La bêtise a toujours été un facteur important de l’histoire, mais qu

33 Amérique « idéaliste » tient surtout au bien-être général , et que la Russie « matérialiste » veut surtout gouverner les esprits

34 ans le monde. En termes très voisins, un peu plus généraux , on pourrait affirmer, et on l’a fait, que sans historiens plus d’His

35 ce-fiction, prévisions de savants La faiblesse générale des utopies, c’est qu’elles sont moins riches d’avenir que le présent

36 ma part une réponse positive sur quelques motifs généraux que je ne puis qu’énumérer ici. Il m’apparaît que l’Occident, seul da

37 unique, parce qu’il prétend détenir les principes généraux de la vérité politique. Les intérêts transigent mais non les religion

38 traire, dans une fédération, un parti de doctrine générale se verrait condamné à rester faible, manquant de racines dans chaque

39 ns ont été rédigées et adoptées dans la confusion générale , mais ne préjugeaient pas de l’avenir du régime. Car la vie politique

40 torique ou sincère, je ne sais — entre Dieu et le Général  ; mais elle échoue dans un sophisme. En effet, si Sartre préfère Dieu

41 un sophisme. En effet, si Sartre préfère Dieu au Général , c’est qu’il peut nier l’existence de Dieu, non celle du Général. Or

42 qu’il peut nier l’existence de Dieu, non celle du Général . Or si Dieu n’existe pas, le monarque n’a rien au-dessus de lui qui l

43 . L’anti-Europe de 1954 s’est regroupée contre le Général , qui l’appuyait alors, mais que fera-t-il demain ? aw. Rougemont De

44  % souhaitent un homme politique, 1 % souhaite un général . Comparez. Je ne dis pas : concluez, mais suspendez peut-être un peu

45 nisés par le Congrès portent précisément ce titre général  : Tradition and Change, tradition et progrès technique et démocratiqu

46 ille qu’il posséda, car par elle il ne devint que général  ; pas un ne fut poète par la jeune fille qu’il posséda, car par elle

47 lité de tous devant Dieu. On s’étonne : cet amour général , impersonnel, et qu’on pourrait confondre avec un sens social humanit

48 té d’esprit et d’âme — ces deux cas sont les plus généraux — empêchent de jouer un rôle « heureux » dans le mariage, ou le liber

49 pays inspirée du « corps germanique », des états généraux de Hollande, et de la Ligue helvétique136. L’Europe unie qu’il appell

50 ard, le Schaffhousois Jean de Müller, dans sa Vue générale de l’histoire du genre humain (1797), annonce comme Rousseau que « to

51 de Montreux que germe l’idée de réunir des états généraux de l’Europe. Cette idée aussitôt adoptée conduit à la convocation du

52 pays comme le nôtre, les débats sur la politique générale risqueraient d’être stériles… Le gouvernement demande à être jugé sur

53 ridiques, culturelles, techniques ; les principes généraux d’un Marché commun ; mais aussi : le refus de doter ces institutions

54 udrais comparer cette action non pas à celle d’un général qui conquiert une position, ni d’un législateur qui impose une struct

55 , de convoquer dès le printemps suivant des états généraux de l’Europe. Nous pensions recenser rapidement ce que nous appelions

56 asser ? Il me paraît difficile de faire les états généraux contre le congrès de La Haye. Les autres se couvriront largement sur

57 nie par Churchill, au lieu de convoquer les états généraux , n’est-ce pas risquer de perdre à la fois le bénéfice du nombre (l’UE

58 umer tous les risques d’une convocation des états généraux de l’Europe : les comités d’anciens ministres et d’économistes menacé

59 nts). Dans cette hypothèse, les chances des états généraux eussent été les plus grandes dans le plus court délai : l’effet de su

60 formulera le sens ? L’UEF attendait des états généraux la naissance d’une vie politique fédérale et la formation d’un noyau

61 déralistes, je l’ai dit, espéraient que les états généraux donneraient naissance — mais comment ? — à un noyau de gouvernement e

62 sé à tous nos peuples qu’à la faveur d’une guerre générale — selon la loi de formation de l’État-nation dès ses débuts. Il s’agi