1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 s : droit de circuler, de travailler, de faire la grève , de créer des coopératives, des syndicats, des sociétés d’entraide ;
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
2 ’il était le parti qui avait supprimé le droit de grève , sous l’impudent prétexte qu’en régime socialiste les ouvriers n’aura
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
3 , soit la patrie des camps, de l’interdiction des grèves , de la police partout, du massacre massif des Koulaks, des Kasaks et
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
4 lle est l’arme des hommes qui n’en ont point ? La grève . Déclarons donc la grève des relations culturelles et des relations h
5 qui n’en ont point ? La grève. Déclarons donc la grève des relations culturelles et des relations humaines élémentaires, con
6 « rationnel » qu’un traitement de choc, ou que la grève elle-même. C’est une action, non pas un raisonnement. Refuser de serr
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
7 le dernier speaker de la Radio française avant la grève qui a doublé, cette fois-ci, la trêve des confiseurs : il ne se passe
8 s (au point qu’il n’y en a plus si elle se met en grève ) mais encore elle les influence ou parfois même les détermine avant l