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olitiques est typique de l’Européen, héritier des
Grecs
, des Romains, de l’Église catholique, et des clubs jacobins. Cette cr
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econd argument est dû à M. Cotsaridas, publiciste
grec
: « Dans les domaines militaire, économique et politique, les organis
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une image vivante de ces assises du christianisme
grec
: les grands conciles. Qu’on se figure bien moins de savantes réunion
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et de la Gnose en pleine effervescence, les Pères
grecs
et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats
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l’Incarnation, précisée à l’extrême par les Pères
grecs
, et maintenue par des soins jaloux au plus haut point du paradoxe, a
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iraient pas encore pour permettre la science. Les
Grecs
croyaient à l’ordonnance cosmique, mais ils n’en retenaient pour vrai
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la différence fondamentale qui sépare la science
grecque
de notre science moderne, laquelle ne pouvait naître, selon lui, que
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la pensée nietzschéenne Karl Jaspers23 : Si les
Grecs
, qui fondèrent la science, ont pourtant ignoré la science universelle
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… Devant l’immensité de l’expérience possible, le
Grec
s’en tient à des images cosmiques fermées, à la beauté du cosmos tel
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aussi, et même Descartes cèdent à cette impulsion
grecque
qui veut à tout prix établir une forme close, paralysant ainsi la sci
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et dans l’espace — comme l’ont cru les atomistes
grecs
, puis Nicolas de Cuse et Giordano Bruno, et comme l’affirment aujourd
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ncile de Nicée porte en effet sur les deux termes
grecs
homoousios (de même substance) défendu par Athanase, et homoiousios (
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s. Elles éclatent au milieu du iie siècle, entre
Grecs
philosophes et juifs fanatiquement monothéistes, puis se poursuivent
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tiquement monothéistes, puis se poursuivent entre
Grecs
et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sa
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las, des considérations sur la tolérance chez les
Grecs
, les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, des digressions
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nstitue le drame, le monde ouvert par la tragédie
grecque
, par l’Évangile, monde du Dieu-Homme et du paradoxe, du sacrifice et
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ent à l’Asie, et n’eût été compris que par peu de
Grecs
, par les éléates, et par aucun Romain. Il y aurait beaucoup à dire là
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i inspire cette pudeur qui caractérise tout amour
grec
»98. Il s’oppose plus encore à l’amour courtois, essentiellement fidè
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pè dont il est ici question n’est encore pour les
Grecs
que l’amour désintéressé ; mais dans l’esprit de Nietzsche, elle dési
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premier coup la musique à sa perfection, chez les
Grecs
comme parmi nous, mais elle y ajoute aussitôt le mythe tragique, et l
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ance de la philosophie, à l’époque de la tragédie
grecque
, chapitre II. 113. Par-delà le bien et le mal, n° 260, fin. 114.
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angers en Suisse (Italiens, Allemands, Espagnols,
Grecs
et Turcs). Ce n’est pas le Marché commun qui les amène. C’est l’expan