1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 olitiques est typique de l’Européen, héritier des Grecs , des Romains, de l’Église catholique, et des clubs jacobins. Cette cr
2 econd argument est dû à M. Cotsaridas, publiciste grec  : « Dans les domaines militaire, économique et politique, les organis
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
3 une image vivante de ces assises du christianisme grec  : les grands conciles. Qu’on se figure bien moins de savantes réunion
4 et de la Gnose en pleine effervescence, les Pères grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats
5 l’Incarnation, précisée à l’extrême par les Pères grecs , et maintenue par des soins jaloux au plus haut point du paradoxe, a
6 iraient pas encore pour permettre la science. Les Grecs croyaient à l’ordonnance cosmique, mais ils n’en retenaient pour vrai
7 la différence fondamentale qui sépare la science grecque de notre science moderne, laquelle ne pouvait naître, selon lui, que
8 la pensée nietzschéenne Karl Jaspers23 : Si les Grecs , qui fondèrent la science, ont pourtant ignoré la science universelle
9 … Devant l’immensité de l’expérience possible, le Grec s’en tient à des images cosmiques fermées, à la beauté du cosmos tel
10 aussi, et même Descartes cèdent à cette impulsion grecque qui veut à tout prix établir une forme close, paralysant ainsi la sci
11 et dans l’espace — comme l’ont cru les atomistes grecs , puis Nicolas de Cuse et Giordano Bruno, et comme l’affirment aujourd
12 ncile de Nicée porte en effet sur les deux termes grecs homoousios (de même substance) défendu par Athanase, et homoiousios (
13 s. Elles éclatent au milieu du iie siècle, entre Grecs philosophes et juifs fanatiquement monothéistes, puis se poursuivent
14 tiquement monothéistes, puis se poursuivent entre Grecs et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sa
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
15 las, des considérations sur la tolérance chez les Grecs , les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, des digressions
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
16 nstitue le drame, le monde ouvert par la tragédie grecque , par l’Évangile, monde du Dieu-Homme et du paradoxe, du sacrifice et
17 ent à l’Asie, et n’eût été compris que par peu de Grecs , par les éléates, et par aucun Romain. Il y aurait beaucoup à dire là
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
18 i inspire cette pudeur qui caractérise tout amour grec  »98. Il s’oppose plus encore à l’amour courtois, essentiellement fidè
19 pè dont il est ici question n’est encore pour les Grecs que l’amour désintéressé ; mais dans l’esprit de Nietzsche, elle dési
20 premier coup la musique à sa perfection, chez les Grecs comme parmi nous, mais elle y ajoute aussitôt le mythe tragique, et l
21 ance de la philosophie, à l’époque de la tragédie grecque , chapitre II. 113. Par-delà le bien et le mal, n° 260, fin. 114.
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
22 angers en Suisse (Italiens, Allemands, Espagnols, Grecs et Turcs). Ce n’est pas le Marché commun qui les amène. C’est l’expan