1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 l’expression est passée au rang de cliché. Mais l’ historien jugera différemment. Car à ses yeux cette notion fondamentale, cette
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 uite magistrale et souriante d’un des plus grands historiens de notre temps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humanis
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
3 amour ? une invention du xiie siècle », a dit un historien sérieux. À l’appui de cette remarque fameuse, rappelons une série de
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
4 x, on pourrait affirmer, et on l’a fait, que sans historiens plus d’Histoire. Le sophisme paraît éclatant. Si l’on y réfléchit ave
5 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
5 s aux yeux du géographe de l’ère nouvelle et de l’ historien des mythes de l’âme européenne. Au nord, la plus haute chaîne du Jura
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
6 als de musique, des éditeurs, des éducateurs, des historiens , des spécialistes des cultures d’outre-mer, etc. La première chaire e
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
7 lencher. Je voudrais fixer quelques points dont l’ historien futur devra tenir compte. Points de détail et nuances méticuleuses :
8 ments qui en dépendaient alors dans nos pays. Des historiens pourront soutenir que tous ces congrès n’ont rien fait, et en effet,
9 se passer dans ce palace énorme et désuet. Pour l’ historien futur, j’indiquerai rapidement les trois composantes principales de l
10 (contrairement à ce que répètent journalistes et historiens ). Et j’ajoute que deux ans plus tard, à l’Assemblée de Strasbourg, Sa