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l’expression est passée au rang de cliché. Mais l’
historien
jugera différemment. Car à ses yeux cette notion fondamentale, cette
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uite magistrale et souriante d’un des plus grands
historiens
de notre temps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humanis
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amour ? une invention du xiie siècle », a dit un
historien
sérieux. À l’appui de cette remarque fameuse, rappelons une série de
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x, on pourrait affirmer, et on l’a fait, que sans
historiens
plus d’Histoire. Le sophisme paraît éclatant. Si l’on y réfléchit ave
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s aux yeux du géographe de l’ère nouvelle et de l’
historien
des mythes de l’âme européenne. Au nord, la plus haute chaîne du Jura
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als de musique, des éditeurs, des éducateurs, des
historiens
, des spécialistes des cultures d’outre-mer, etc. La première chaire e
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lencher. Je voudrais fixer quelques points dont l’
historien
futur devra tenir compte. Points de détail et nuances méticuleuses :
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ments qui en dépendaient alors dans nos pays. Des
historiens
pourront soutenir que tous ces congrès n’ont rien fait, et en effet,
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se passer dans ce palace énorme et désuet. Pour l’
historien
futur, j’indiquerai rapidement les trois composantes principales de l
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(contrairement à ce que répètent journalistes et
historiens
). Et j’ajoute que deux ans plus tard, à l’Assemblée de Strasbourg, Sa