1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 n du monde soviétique se doit de rejeter avec une horreur officielle l’idée non scientifique, bourgeoise et individualiste de l
2 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
2 venture, au lieu de les enfermer dans l’apaisante horreur d’un Sacré hiératique ou cyclique. Quelle est l’autre culture ou civi
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
3 qu’à la dernière extrémité. C’est dire qu’ils ont horreur de la vraie politique, qui est l’art des compromis heureux. Il en rés
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
4 espèce entière : tout ce qui est humain leur fait horreur , elles aiment les chiens et les surhommes. » Si donc les Français veu
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
5 ce qui devait rester profane est sacralisé par l’ horreur . Tout est faux, insondablement faux, perd son sens et tourne au cauch
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
6 crate — cette attaque frontale : Le philosophe a horreur du mariage, et de tout ce qui pourrait l’y conduire, — du mariage en
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
7 l’éducation des masses américaines, déplorant les horreurs de la guerre et buvant beaucoup de cocktails. Marcel, charmant et pol