1 i l’on veut dire par là qu’elle ne croit plus aux idéaux et aux grands mots, qu’elle trouve la vie absurde, et qu’elle ne « ma

2 bien cette maladie même est-elle plus proche de l’ idéal humain que le collectivisme sibérien, ou que la « sottise qui paye »

3 siste à rappeler que la plupart de nos valeurs et idéaux , à nous autres Européens, et la plupart de nos activités courantes, s

4 t donc nullement fatal ; qu’il n’est plus même un idéal européen, mais bien russe et américain, et tout cela semble en bonne

5 empires de masses, diffère profondément de notre idéal . Dans une dictature, par exemple, l’idée de progrès perdra nécessaire

6 révélait une signification tout autre et purement idéale lorsque ensuite cela paraissait dans mon œuvre ; bien des choses que

7 le monde entier ; l’exportation pêle-mêle de nos idéaux religieux, de nos formes politiques, aussi, et enfin des secrets tech

8 devant nos divisions sanglantes ; la crise de nos idéaux , devant la propagande massive des dictatures ; les moyens matériels e

9 ope et d’unité culturelle de l’Europe au nom d’un idéal d’universalité. Ils semblent ignorer que la croyance en la valeur uni

10 te au monde les valeurs qui animeront plus tard l’ idéal révolutionnaire (lequel va les changer en revendications) : l’exigenc

11 lame lui aussi la foi des militants dans un monde idéal et futur, mais cette foi n’est gagée que sur le sacrifice et la mort

12 nt, comme nous la trouvons à Valmy, c’est donc un idéal , une idéologie, le principe d’une nouvelle communauté non de naissanc

13 s, comment va-t-il se comporter dans le monde ? L’ idéal primitif de la nation, confisqué par l’État français, a conduit à des

14 e. Les notions de magie, de mythe, de liturgie, l’ idéal alchimique et le panthéisme actif de la Renaissance, d’une manière gé

15 ceux qui dégradent non seulement un régime et les idéaux qu’il proclame, mais toutes les relations humaines dans une époque. C

16 et son groupe, je laisse Staline ; je prends les idéaux , je laisse les faits.) Ce que prétendent laisser nos libéraux jobards

17 au nom du racisme, et compromettait au surplus un idéal universel, ce que n’avait pas su faire Hitler ; 5. que les procès de

18 défensive. Rien de glorieux dans tout cela, peu d’ idéal , beaucoup de raison pratique et de prudents calculs. On aurait le plu

19 Croit-il, comme celui qu’il attaque, à une France idéale , personnifiée, différente des Français réels ? C’est peu probable. Cr

20 à tout objet déterminé, comment il crée son objet idéal avant de l’identifier à quelque être réel par une erreur essentiellem

21 Sur un chassé-croisé d’ idéaux et de faits (novembre 1959)ba Le tsar et l’ouvrier. — Quand le ts

22 liberté dans l’intérêt du peuple. » À ce niveau d’ idéal , il est clair qu’aucune contradiction ne saurait plus exister entre l

23 icains, Ike représentait l’allégeance aux valeurs idéales , à la spiritualité pacifiste, K. la volonté d’efficacité matérialiste

24 égalités, par une sorte de court-circuit ; que l’ Idéal et l’Idéologie jouent également en faveur de la paix, et que les inté

25 ba. Rougemont Denis de, « Sur un chassé-croisé d’ idéaux et de faits (Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris, novembre 1

26 er la nature, la fonction de notre Congrès et les idéaux qui l’inspirent. Le plus simple sera de reprendre les trois termes fo

27 ace dans la nature ! Non pas l’amour d’une femme “ idéale ” !… Au contraire, l’amour dans ce qu’il a de fatal, de cynique, de ca

28 néalogie de la morale, « Quel est le sens de tout idéal ascétique ? », 7. 112. La Naissance de la philosophie, à l’époque d

29 ratures, impuissantes à créer le mythe du mariage idéal , ont vécu de ses maladies…   En ce terme d’une longue méditation au c

30 i ne sait pas trouver le chemin qui conduit à son idéal , vit de façon plus frivole, plus insolente, que l’être sans idéal »,

31 çon plus frivole, plus insolente, que l’être sans idéal  », observe Nietzsche. (Par-delà… n° 133.) 127. Henry de Montherlant,

32 i peut seul assurer la paix de l’Europe. « Si cet idéal de l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suis

33 sprit européen ». Mais tout cela, c’est la suisse idéale , réputée « microcosme de l’Europe », et ce sont quelques Suisses entr

34 ce sans condition à toute idée de neutralité. Mon idéal très clair — mon utopie — est que la Suisse adhère un jour à une unio

35 e historique n’éclate aux yeux qu’aujourd’hui, un idéal national qui n’a pas de valeur pour nous seulement, mais pour l’Europ

36 irent, notre petit État revendique l’honneur d’un idéal national dominant les nationalités et les unissant dans son sein. Et

37 de l’Ouest145. Il serait présenté au nom de notre idéal et de notre usage du fédéralisme, mais « dans les intérêts de l’Europ

38 . Mieux encore, je soupçonne qu’elle symbolise un idéal presque trop beau pour être vrai aux yeux de l’immense majorité des m

39 un seul point de la planète pour transformer cet idéal en utopie. Au surplus, les réalités ont déjà dépassé cette fiction he

40 e jouent à l’échelle du continent. Ces conditions idéales se trouvent réunies par la Suisse, d’ailleurs gardienne traditionnell

41 ion et de diversités, de puissance et de liberté, idéal politique par excellence. Beaucoup de choses se faisaient en Europe,