1
e je lis, politique et littérature, donne la même
impression
générale — comme si le cynisme était la seule issue d’une perpétuelle
2
idement les autres voyageurs, parce que j’avais l’
impression
que tout le monde m’avait fui. Puis je suis descendu derrière la fill
3
ie du réalisme poétique. Telle fut ma première
impression
. Je la vois aujourd’hui confirmée par un commerce rarement interrompu
4
n dernier Anti-Tristan — venait d’être envoyé à l’
impression
. Dans Aurore, je relis : « Que celui qui veut tuer son adversaire con
5
a chose faite. Que devient mon pays ? Ma première
impression
, c’est que la Suisse n’est plus à l’écart de l’Europe et qu’elle part
6
ns et des résolutions votées m’ait fait alors une
impression
bien forte. Je viens de relire le volume qui réunit les principaux di