1 Survint alors le christianisme, religion du Dieu incarné une fois pour toutes dans le temps, à un certain moment donné, daté,

2 libre et hanséatique, dont le génie nous semblait incarné par celui qui a la charge de l’administrer, ce grand Bürgermeister qu

3 crivain français a dit ceci : « L’Allemagne qu’il incarne ne nous apparaît pas moins redoutable que celle qui exigeait la démis

4 ais qui peut en appeler des arrêts d’un Parti qui incarne la Révolution ? Il n’y a rien au-dessus de lui14. Il n’y a pas de Jug

5 t encore : « À chaque époque domine le peuple qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici donc les peuples élevés à l

6 ner l’époque. À cette fin, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’Esprit ». Pour la France, ce seront les «

7 d’une liberté qu’il rêve à sa mesure ; et ce rêve incarné devient une tyrannie. Passion, révolution, nation : certains ont cru

8 ) a toujours et nécessairement raison, qu’il soit incarné par Staline comme hier, ou par K. et son groupe comme aujourd’hui, sa

9 , et qui est « le Socialisme lui-même ». Mais qui incarne cette essence ? Sartre seul, qui s’est mis en situation de n’être rec

10 responsable comme toute force naturelle, Don Juan incarne donc, si l’on ose dire, l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la se

11 La dernière peut le jeter dans cela même dont il incarnait le refus : La nouvelle passion. — Pourquoi craignons et haïssons-no