1 nt laquelle il hésite et recule, jusqu’à ce qu’un incident secondaire en apparence provoque le saut final, l’accomplissement, qu

2 sastre… Mais venons-en au dénouement du drame. Un incident banal déclenche la catastrophe dans Hamlet : c’est un simple assaut d

3 met du drame, ou de cette « chute » tragique ? Un incident minime, une simple phrase, et qui pouvait passer pour un cliché dans

4 ccasion d’intervenir en force. À l’intérieur, les incidents de séance se multiplient. « On dirait un essaim de frelons », note Gr

5 ue la presse n’ait guère parlé, ce matin, que des incidents qui ont suivi (chahuts devant un journal du parti communiste et devan

6 dialectique leur en donne l’autorisation.) Autre incident typique. Spaak dit avec chaleur : — Je ne crois pas à la guerre et ch

7 la face continuer à me rencontrer. Je relate cet incident pour montrer que l’amitié comptait parfois aux yeux d’André Breton un

8 nnée. On sait cela, mais ce qu’on ignore, c’est l’ incident minime et décisif qui devait couper les ailes à tout espoir d’action