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umain repose sur un instinct qui, élevé au rang d’
inclination
, trouve son expression suprême, unique et absolue, poétiquement absol
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ême il la formule d’entrée de jeu : L’amour et l’
inclination
amoureuse sont tout à fait spontanés, le mariage est une décision ; v
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e dans sa réflexion, il n’a pas pris de vitesse l’
inclination
amoureuse, mais est resté en cours de route, et une telle décision es
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une telle décision est trop misérable pour que l’
inclination
amoureuse ne la méprise et ne préfère se fier à elle-même plutôt que
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ectives d’un tel faux savant. La spontanéité de l’
inclination
amoureuse ne reconnaît qu’une seule spontanéité comme lui étant ebenb
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d le réitère un peu plus loin, « l’absurdité de l’
inclination
amoureuse arrive à une entente divine avec l’absurdité du sentiment r
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ait voir dans la synthèse d’une décision et d’une
inclination
le plus haut risque, et même un risque plus qu’humain, le mariage est