1 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
1 umain repose sur un instinct qui, élevé au rang d’ inclination , trouve son expression suprême, unique et absolue, poétiquement absol
2 ême il la formule d’entrée de jeu : L’amour et l’ inclination amoureuse sont tout à fait spontanés, le mariage est une décision ; v
3 e dans sa réflexion, il n’a pas pris de vitesse l’ inclination amoureuse, mais est resté en cours de route, et une telle décision es
4 une telle décision est trop misérable pour que l’ inclination amoureuse ne la méprise et ne préfère se fier à elle-même plutôt que
5 ectives d’un tel faux savant. La spontanéité de l’ inclination amoureuse ne reconnaît qu’une seule spontanéité comme lui étant ebenb
6 d le réitère un peu plus loin, « l’absurdité de l’ inclination amoureuse arrive à une entente divine avec l’absurdité du sentiment r
7 ait voir dans la synthèse d’une décision et d’une inclination le plus haut risque, et même un risque plus qu’humain, le mariage est