1 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
1 parlant hier soir sur les aspects politiques de l’ intégration , a convaincu tout le monde sauf les intellectuels, qui l’attaquent ce
2 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
2 e troisième porte sur le mode d’articulation ou d’ intégration des territoires d’outre-mer et de la métropole : il peut être considé
3 s passions jacobines rejoignant le fanatisme de l’ intégration . Gauche et droite s’uniraient pour rejeter au nom de leurs traditions
4 loppement et à la colonisation. Ambiguïté de l’ intégration Laissons Littré, qui sur ce mot n’a rien d’actuel, et voyons ce qu
5 e que l’époque entend ou malentend par le terme d’ intégration , lié de deux manières contradictoires à celui de fédération. Pour les
6 Pour les porte-paroles des Français d’Algérie, l’ intégration signifie l’unification pure et simple, l’assimilation totale, légale
7 la nation une et indivisible. Au plan européen, l’ intégration signifie le contraire exactement, c’est-à-dire la reconnaissance d’un
8 on supranationale. On ne peut vouloir à la fois l’ intégration de l’Algérie à la France et l’intégration de la France à l’Europe. Ca
9 fois l’intégration de l’Algérie à la France et l’ intégration de la France à l’Europe. Car cela supposerait qu’on est tantôt nation
3 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
10 pe doit s’appuyer sur le plan Marshall, et qu’une intégration économique conduira nécessairement à l’intégration militaire. Le réal
11 ntégration économique conduira nécessairement à l’ intégration militaire. Le réalisme commande de se borner à des mesures modestes d