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, Denis de Rougemont, qui représentait le Congrès
international
pour la liberté de la culture, a fait une importante intervention, do
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dans la nation, ni dans les vastes organisations
internationales
, mais bien dans les communautés organiques et dans les foyers de créa
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auer, a ouvert, le soir du 23 juillet, le congrès
international
“Science et Liberté”. Cette rencontre organisée par le Congrès pour l
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bee, directeur des études au « Royal Institute of
International
Affairs » et professeur d’histoire internationale à l’Université de L
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International Affairs » et professeur d’histoire
internationale
à l’Université de Londres ; et M. de Rougemont, directeur des débats.
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taire, économique et politique, les organisations
internationales
existantes (telles que l’OTAN) prennent aujourd’hui les décisions pri
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Ce n’est qu’Esprit, revue française, autrefois «
internationale
». Esprit ayant écarté le danger de la CED se félicite de constater q
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eaucoup de « concert des nations », et de « droit
international
», mais il est clair que ces États-nations-Individus rendent tout ord
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ue ces États-nations-Individus rendent tout ordre
international
impossible en principe, et par définition, puisqu’ils n’acceptent auc
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ble résistance des groupes locaux et des diverses
internationales
politiques et professionnelles. Ces réflexes de défense du corps soci
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ait ce dernier comme « un agent de l’impérialisme
international
». Cette bouffonnerie, probablement insurpassable, porte à sa perfect
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gne encore « l’autorité dans le mouvement ouvrier
international
») a toujours et nécessairement raison, qu’il soit incarné par Stalin
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ge et la souveraineté nationale Une conférence
internationale
qui a passé curieusement inaperçue, c’est celle qui vient de se tenir
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bilités de contacts aux deux parties (Croix-Rouge
internationale
, échange de prisonniers, négociations secrètes menées en Suisse en 19
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e au nom des nôtres. En effet, le 2e congrès de l’
Internationale
communiste déclarait en 1920 : « Le Communisme se donne pour but l’ab
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lle le fut jamais) une affaire nationale, ni même
internationale
, parce qu’elle relève d’une politique de civilisation et non d’un tri
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tuels On sait que, depuis 1946, les Rencontres
internationales
de Genève organisent en septembre une décade de débats centrés sur un
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oscope occidental. Enfin, le lac Léman et la cité
internationale
de l’Europe. Calvin, Rousseau, Voltaire, Mme de Staël, et la pédagogi
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tre des Alpes, la papauté, la SDN, la Croix‑Rouge
internationale
… Mais je m’égare. J’étais parti pour vous rappeler que le choix d’un
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e De l’Allemagne, qui rétablissent la circulation
internationale
des idées, malgré les jacobins et le Premier Empire. Benjamin Constan
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isse possède au plus haut degré un caractère très
international
», et c’est ce type d’union pluraliste qui peut seul assurer la paix
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que la même année 1946, les premières rencontres
internationales
de Genève prennent pour thème « l’esprit européen ». Mais tout cela,
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itique. Elle ne pourrait qu’y perdre son prestige
international
, et cette réserve originale qui fait qu’on la distingue encore parmi
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ut prix — serait « illusoire140 ». « La situation
internationale
actuelle, économique, politique et militaire a, en fait, complètement
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d’en prendre d’autres plus risquées, sur le plan
international
. En devenant d’une certaine manière le bien commun de toute l’Europe,
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ênantes. À Genève, depuis le temps de la SDN, vie
internationale
et vie locale se croisent et se traversent sans fusion ni mélange, le
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sation fédérale des transports, ou de répartition
internationale
du travail, sans que ces termes soient traduits et exemplifiés par de
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eptembre 1946, à Genève, les premières Rencontres
internationales
. En dehors de toute préoccupation politique, elles avaient posé d’une
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, Voisin) et constituaient un « comité de liaison
international
des mouvements pour l’unité européenne ». Le 15 novembre, Brugmans re
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le mouvement démo-chrétien des Nouvelles équipes
internationales
, le Mouvement socialiste pour les États-Unis d’Europe (qui refusait d