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é, tandis que masse égale contrainte. Il n’y aura
jamais
de liberté « en masse ». Il n’y aura jamais de liberté réelle que dan
2
aura jamais de liberté « en masse ». Il n’y aura
jamais
de liberté réelle que dans le besoin, le droit et la passion de diffé
3
propre aventure, de créer par sa vie ce qu’on n’a
jamais
vu, et d’accomplir ainsi, en secret bien souvent, une vocation qui n’
4
s Américains. Soyons bien clairs : nous ne serons
jamais
« pour l’Amérique » de la même manière que les staliniens sont « pour
5
aire classique ? Autre paralogisme de ce siècle :
jamais
on n’avait vu pareille liberté de recherche et de formulation, jamais
6
pareille liberté de recherche et de formulation,
jamais
moins de scrupules d’expression, dans les sciences, les arts et les l
7
, dans les sciences, les arts et les lettres ; et
jamais
non plus de conformismes plus pesants, plus acharnés à contrôler les
8
aste, d’un ordre, d’un Karma, dont personne n’est
jamais
sorti que par la mort (ou par la sainteté, une fois sur des millions)
9
les autres. Or cette croyance, l’Asiatique ne l’a
jamais
eue. Ses religions ne l’y préparent nullement, puisqu’elles tendent a
10
t abandonné dans la plus complète solitude qu’ait
jamais
connue un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par ce duel qu’il men
11
et, auquel il se réfère souvent, mais dont il n’a
jamais
expliqué la nature. Nous savons cependant que le secret était lié à l
12
séparation : « Elle me demanda : Ne veux-tu donc
jamais
te marier ? Je répondis : Oui, dans dix ans, quand le feu de la jeune
13
d’ordinaire, et même plus pétillant d’esprit que
jamais
: c’était nécessaire… » Il me semble que cette conduite, dans sa dupl
14
. Car le poète, lui non plus, ne sait et ne saura
jamais
s’il ne fait qu’épouser un rythme errant, ou s’il le crée tout en cro
15
lui qui ne renonce pas à la vraisemblance n’entre
jamais
en relation avec Dieu. » Si Abraham n’avait pas accepté l’invraisembl
16
avait pas accepté l’invraisemblable, il ne serait
jamais
parti pour un pays dont il ne savait rien. Mais accepter l’invraisemb
17
este loin d’épuiser la question. Car l’Unesco n’a
jamais
prétendu faire la culture, ou faire de la culture. L’Unesco veut aide
18
. C’est ici le lieu et le temps de le répéter, ou
jamais
: d’autres que les Soviets ont tiré sur la foule des prolétaires reve
19
rs intérêts ou de valeurs couvrant ces intérêts ;
jamais
au nom de la justice et des libertés populaires. J’imagine deux chose
20
ique dans ses interprétations du réel et pourtant
jamais
achevée ; absolument contraignante pour l’esprit et pourtant créatric
21
ans elle, nos chroniques régionales nous seront à
jamais
inintelligibles, et nourriront les plus fatales erreurs : celles qui
22
urcell ou Monteverde. Du temps de Haydn, on n’eût
jamais
joué des auteurs du xviie siècle, ni même les œuvres anciennes de Ha
23
claration de haine à toutes les autres femmes ? »
Jamais
il n’a voulu parler de la « grandeur » de l’Italie, mais il s’est con
24
si l’Allemagne disparaissait totalement et à tout
jamais
. Car s’il n’en restait qu’un, je craindrais celui-là, dit en substanc
25
lions par an. » Or « le communisme, en Chine, n’a
jamais
été un mouvement de masse », déclare M. Bevan. « Notre tâche, m’a dit
26
é de rejoindre la ligne communiste. S’ils ne sont
jamais
arrivés à la trouver, c’est qu’ils la cherchaient vers la gauche. Auj
27
stoire. Les grandes révolutions européennes n’ont
jamais
renversé aucun tyran. Au contraire, elles en ont établi, de très gran
28
contre le But dernier de l’Aventure, qui ne peut
jamais
être saisi que par la foi. Le christianisme se distingue de la plupar
29
s quand l’homme en vient à sentir qu’il ne pourra
jamais
atteindre au but final s’il n’accepte pas en même temps que la Grâce
30
l’obéissance et à l’amour. La révolte ne se lève
jamais
contre la force à son zénith. Mais, d’un pouvoir qu’on tient pour aff
31
st rien. L’Occident comme ensemble historique n’a
jamais
été converti, et il ne saurait l’être, en vérité, du seul fait qu’il
32
rsuivre ce processus à l’infini sans être comblée
jamais
. La science moderne est née d’une rationalité qui, loin de se referme
33
Mais il faut voir tout de suite que cela ruine à
jamais
les « certitudes » de la pensée matérialiste. Celles-ci se fondaient
34
dre, et nulle interdiction d’interroger, n’auront
jamais
raison de cette Question : elle nous juge et pose nos limites, qui so
35
ement que la science ne connaît pas, et ne pourra
jamais
ni intégrer, ni réfuter comme illusoire. Et c’est la seule définition
36
— aurait-elle grand-chose à lui offrir ? Elle n’a
jamais
été plus éloignée des grandes affirmations de Nicée. Elle fait de l’h
37
isément rédigea nos manuels scolaires, et qui n’a
jamais
rien inventé32. Finalement, de Nietzsche à Spengler, en passant par S
38
comme une âme enfermée dans un corps. Il ne sera
jamais
libre et vraiment bon que s’il parvient à s’évader de la chair, de la
39
t faux de penser que les peuples d’Occident aient
jamais
cherché et voulu ce qu’ils reçoivent aujourd’hui comme leur dû. Que v
40
l’époque. Mais le téléphone, simple appareil, n’a
jamais
rien fait par lui-même, et c’est toujours quelqu’un qui vous appelle
41
les masses en loisirs, plus largement qu’elle n’a
jamais
payé ses actionnaires en dividendes, le technocrate ne cessera pas d’
42
esoins qu’elle pousse en avant. L’âne pourra-t-il
jamais
rejoindre la carotte après laquelle il court depuis un siècle et demi
43
moyens de culture. On y publie plus de livres que
jamais
et à vil prix : les bibliothèques et les foyers de culture locaux se
44
e que l’appât du gain ou du confort n’est presque
jamais
leur motif. (Cf. D. Brinkmann, Mensch und Technik, 1936, p. 85 à 92 e
45
on le style d’un Vychinski, stalinien s’il en fût
jamais
. Elle n’en marque pas moins la naissance du nouveau régime collégial.
46
ue, c’est une simple figure de langage : elle n’a
jamais
gêné Staline lui-même47. « Dictature du Prolétariat » est une autre f
47
familles et les amis de ces complices, ruinent à
jamais
, par un exemple décisif, la seule excuse des camps qu’ils ont peuplés
48
Deutscher. Rien ne prouve que le stalinisme ait
jamais
existé comme système défini, en dehors de l’action de Staline ; rien
49
u’il n’est pas d’autre voie, et que vous ne serez
jamais
libres à moindre prix. D’autres difficultés créées ou révélées dans
50
e orthodoxe, devrait montrer soit que Staline n’a
jamais
rien fait par lui-même — ce qui aurait pour effet de le réhabiliter,
51
de Staline (il rend les peuples féconds !) n’ont
jamais
fait de mal qu’à leur auteur. Mais Sartre parle d’un « culte de la pe
52
es et agissant collégialement que notre Parti ait
jamais
eus… » Discours de Staline au XVe Congrès du Parti, en 1927. 48. Le
53
jeter dans les bras de Moscou, qui ne vous aidera
jamais
sans condition ? A. Parce que Moscou vous emm… et que ça me plaît. B.
54
i survit. B. L’Europe que vous dites vaticane n’a
jamais
existé du tout. Il y avait les trois Grands. Ils ont fait la CECA, au
55
s. Mais de quoi veut-on que nous nous libérions ?
Jamais
je ne me suis senti si libre ! » Ainsi parle Joliot-Curie, au congrès
56
tron va plus loin que toutes celles que l’homme a
jamais
faites par le moyen des sciences physiques, puisqu’elle va dans une s
57
uvement de l’Histoire qui a déclenché sa marche à
jamais
bouleversante, et ce ne sont pas des hommes de main qui l’ont conduit
58
si elle est plus indécente que pitoyable. A-t-on
jamais
« le droit » de s’indigner d’un crime ? Oui, disent-ils, à la seule c
59
mposent comme la seule solution viable. « Je n’ai
jamais
trouvé qu’il y ait la moindre force dans l’idée d’une Europe unie »,
60
aines. Or il est clair que ces bombes H ne seront
jamais
utilisées si les Russes interviennent chez les « neutres » de l’Est.
61
e ou pouvoir se déclarer tel. Mais nous ne serons
jamais
indépendants si nous refusons de nous fédérer. Ici, deux grandes ques
62
sse et les revues. L’homme de la rue ne l’emploie
jamais
, et cela pour la raison bien simple qu’il ne saurait imaginer un seul
63
emi qui le supprime. Et, par la suite, ce ne sont
jamais
les libéraux qui rétablissent la liberté, mais la force brutale des a
64
e en se mêlant ? Le pâtre yodleur d’Appenzell n’a
jamais
vu l’industriel racé de Winterthur, ni le banquier anglomane de Genèv
65
e l’affaire algérienne n’est plus (si elle le fut
jamais
) une affaire nationale, ni même internationale, parce qu’elle relève
66
yaient vraiment les hommes égaux, ils ne feraient
jamais
d’élections, car celles-ci visent au choix des meilleurs. Ils mettrai
67
s. Elle règne, taciturne, au plus bel espace vide
jamais
délimité par l’artifice humain. 66. Aristocratie : de aristo, excel
68
à la réalité des choses, et ne l’exprime presque
jamais
. Et tâchez de lire d’autres livres. A. — Justement, j’allais vous dem
69
paradoxe au carré. Voyez Breton qui ne se lassera
jamais
de découvrir mages et mystiques de tous les temps mis au futur. Voyez
70
mis et condamné d’avance aux yeux de l’opinion si
jamais
votre Europe fait mine de résister aux libérateurs sibériens. La bonn
71
ier du précédent.) Mais les Anglais n’accepteront
jamais
d’entrer dans une Europe qui ne serait pas déjà faite, quitte à se pl
72
fois-ci, la trêve des confiseurs : il ne se passe
jamais
rien dans le monde entre le 24 décembre et le 2 janvier, les discours
73
vertus que l’indignation chronique, laquelle n’a
jamais
rien construit. Ces vertus, par malheur, ne sont pas éloquentes. Et c
74
la « désintégration de nos valeurs » n’exerceront
jamais
une action comparable en étendue et profondeur à l’influence restaura
75
n les yeux devant cette évidence que vous n’aviez
jamais
enregistrée. L’affaiblissement du support matériel reste le seul moti
76
as et qu’elle a très peu de chances de le devenir
jamais
, puisqu’elle ignore le bien des autres et ne se prépare donc point à
77
ux religions, deux idéologies, ne se contenteront
jamais
d’une vérité moyenne. C’est tout ou rien. Que la victoire reste indéc
78
aient très souvent le ministère, très rarement ou
jamais
une politique : c’est que la politique réelle n’existait plus pour eu
79
s de l’avenir du régime. Car la vie politique n’a
jamais
dépendu des articles et paragraphes. Elle dépend de l’angle de vision
80
ime où le peuple exerce la souveraineté, elle n’a
jamais
été réalisée et ne saurait l’être. On a donc tacitement convenu d’app
81
ui est certain, c’est que le roman occidental n’a
jamais
décrit, jusqu’ici, de passion qui s’enflamme pour un objet tout proch
82
aires. C’est qu’en réalité, H. H. et Lolita n’ont
jamais
connu ce que j’appelle « l’amour réciproque malheureux ». Lolita n’a
83
lle « l’amour réciproque malheureux ». Lolita n’a
jamais
répondu à la passion tendre et sauvage de son aîné. De là l’échec du
84
taxe et son vocabulaire, on rit souvent, on n’est
jamais
ému. Tel qu’il est, cet ouvrage parfait reste, aussi, un Tristan manq
85
pour lui d’une nostalgie vague, bien qu’il n’eût
jamais
songé alors qu’il possédait une sœur réelle et vivante… Incontestable
86
fugace, fluide : fais ce que veux… Un homme ne va
jamais
si loin que lorsqu’il ne sait pas où il va… Ils étaient debout mainte
87
tée, adorée, aux éclats toujours imprévisibles, à
jamais
sublimes et tragiques ! Oh ! comme il est doux d’exister. Comme il es
88
lement par antithèses et paradoxes. Car on n’aura
jamais
assez de mots et de métaphores, et de clichés réinventés, et de symbo
89
est vraie d’abord en rêve, et n’existe peut-être
jamais
mieux que dans l’élan lyrique de son récit. Lié plus que tout autre à
90
ême de l’obstacle excitant, celui qui ne dépendra
jamais
que de l’être même : l’autonomie de la personne aimée, son étrangeté
91
e silence, après tant de phrases que vous n’aurez
jamais
écrites — et dont je vous rends l’hommage de vous tenir comptable — e
92
, peut bien nous stimuler, mais ne nous détermine
jamais
… Cet homme indiscret est distrait, et sa distraction vient de l’intér
93
t sa distraction vient de l’intérieur… Il ne peut
jamais
sortir de son moi sans trahison et chaque manifestation de son essenc
94
e, une seule sentence énigmatique à méditer, sans
jamais
oublier le risque du coup de bâton appliqué par le maître au disciple
95
qu’on ne saurait croire un seul instant qu’il ait
jamais
voulu donner un enseignement bouddhiste, ni se présenter après coup «
96
, je lui aurais posé des questions qu’il laisse à
jamais
sans réponse. Je lui aurais dit sans doute : le but du zen est de nou
97
écrit-il. Balzac, Stendhal, Flaubert, etc., n’ont
jamais
exprimé l’idéologie bourgeoise, et il serait absurde de prétendre que
98
mingway, Faulkner, Graham Greene ou Saroyan aient
jamais
défendu l’impérialisme, le capitalisme, le colonialisme… » Cependant,
99
d’une façon si diabolique que je ne pourrai plus
jamais
l’oublier. C’est elle qui m’a poussé, comme Elvire, hors de la nuit t
100
é d’être séduite… C’est pourquoi elle ne se fâche
jamais
contre son séducteur, du moins s’il l’a vraiment séduite ».97 L’érot
101
iel », l’individualité n’existe pas : il n’y aura
jamais
à ses yeux infidélité ni tromperie, mais seulement répétition et mult
102
es, le Jeune Homme d’« In Vino Veritas », qui n’a
jamais
encore aimé, a beau jeu de faire éclater l’absurdité tragi-comique de
103
eligieux ». Mais on comprend qu’elle n’y arrivera
jamais
avec une morale sans passion. Je vois enfin que la personne de Kierke
104
unique, la parole et l’image fussent demeurées à
jamais
impuissantes à l’atteindre. Et c’est tout spécialement par l’effet de
105
désir d’un repas du soir de la connaissance, qui
jamais
plus ne lui tombera en partage ! — Car le monde des choses tout entie
106
’on prend que Don Juan les dédaigne ? N’aurait-on
jamais
lu le Catalogue ?) Entendu, accordé pour l’essentiel. Mais quoi ! Don
107
ccordé pour l’essentiel. Mais quoi ! Don Juan n’a
jamais
existé, il est un mythe ; et la plus grande différence entre Casanova
108
de Nietzsche : « Le mot le plus pudique que j’aie
jamais
entendu : — Dans le véritable amour, c’est l’âme qui enveloppe le cor
109
qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura
jamais
épuisé la richesse. L’un posséda mille et trois femmes, l’autre une s
110
sentiment pur, douleur-joie pure, et ne sera plus
jamais
aussi nettement distinct de tout autre douleur ou joie. Le sentiment
111
ale ; ou plutôt deux tempéraments qui ne pourront
jamais
s’y accommoder. L’un exige l’intensité toujours accrue, l’autre l’exc
112
tant, la nouveauté et le changement, et qu’il n’a
jamais
souhaité mieux. « Le croire malheureux parce qu’il va de l’une à l’au
113
vient de citer reste un peu court. Il n’accédera
jamais
à l’érotisme, qui est dépassement de l’instinct et des faims animales
114
t qui peut encore aimer qui ? C’est dans l’énigme
jamais
résolue de ce nirvana romantique (où le Souffle du Monde est encore u
115
traité de paix avec le régime de Pankow, qui n’a
jamais
été en guerre avec les Russes et qui n’existe que par eux. Les motifs
116
n coûté ?) 4°) « Le mur rend plus nécessaire que
jamais
une discussion avec le pays qui l’a construit. » Ce dernier argument
117
t une Europe forte et autonome, donc unie. Il n’a
jamais
parlé d’une « Europe des patries »134, pas plus que d’une « Algérie f
118
n 1953 que les Six ne seraient — s’ils existaient
jamais
, ce dont il doutait — qu’une trahison de la grande Europe, une « mauv
119
s vieilles coutumes ! Temps perdu ! Ça ne se fera
jamais
! » Je me souviens d’un débat devant le micro, en février 1953, au co
120
notre arrivée tardive au Conseil de l’Europe n’a
jamais
été justifiée — comme disaient mes instituteurs. Qu’en est-il de la s
121
La neutralité suisse n’est pas un dogme. Elle n’a
jamais
été qu’un moyen politique mis au service de notre indépendance ; elle
122
oblème du régime politique de l’Europe de demain,
jamais
encore abordé de front par les États ni même par l’opinion publique m
123
ort hôtelier, libres pour travailler et neutres à
jamais
. On arrêterait les frais de l’Histoire, une fois les mirages payés. O
124
tard pour la reconstituer, à supposer qu’elle ait
jamais
été conforme à autre chose qu’au rêve des Suisses, à la littérature r
125
vrai demain, et il doit l’être, mais le sera-t-il
jamais
si nous restons muets ? Malgré tout ce qui nous retient, mais nous po
126
bien de poètes, et plus encore de peintres, n’ont
jamais
pu vraiment s’approuver dans leur cœur, parce que Breton ne les avait
127
ixe siècle le bénéfice de l’extrême fraîcheur. »
Jamais
Breton ne s’est mieux défini. Je pense au soir où il déclara qu’il ét
128
e tribunal du Groupe. Mais après tout, je n’avais
jamais
été surréaliste d’observance, comment m’exclure ? Et il n’avait aucun
129
lots, entre le délire et l’extrême rigueur il n’a
jamais
cessé d’inventer un chemin qui ne pouvait exister que pour lui seul.
130
ourit… Il arrive hier matin, plus ressemblant que
jamais
. « C’est la Savoie ! dit-il en regardant le lac. — C’est aussi le Tyr
131
faire autant avec vos fées ! » Je lui réponds que
jamais
un moteur n’a pu produire la moindre fée. Quant à Duchamp, il balaie
132
uite. Enfin, ce soir : — Vous me disiez qu’on n’a
jamais
vu vivre un groupe humain dans l’anarchie telle que je la préconise.
133
père son opinion — son OK. Probablement, je n’ai
jamais
atteint l’âge adulte… À propos d’âge : — La grande crise se produit v
134
le titre d’une de vos œuvres. À propos, avez-vous
jamais
essayé de regarder ainsi votre tableau ? — Moi ? Non. Pourquoi ? Je s
135
ons pas très vite, nous n’y arriverons sans doute
jamais
: nous sauterons comme des imbéciles. Il ne nous reste qu’une alterna
136
tout bêtement par la plus grande masse d’explosif
jamais
réunie dans l’Histoire mais au contraire par la scission d’un point i
137
essé d’imaginer une action pour unir l’Europe, si
jamais
il devenait possible d’y rentrer. Pourtant, je me sentais pris de cou
138
illait depuis deux mois sur mon texte, et n’avait
jamais
entendu parler de ces deux autres. On me répondit que mon projet étai
139
ésormais, que la fédération européenne ne se fera
jamais
sur la base « réaliste » des États-nations souverains, formule oppres
140
anifeste, dont je n’ai pas souvenir qu’il se soit
jamais
plaint. 149. J’amorce ainsi la suite du Journal d’une époque (1926
141
et les divisent tous également, et ne coïncident
jamais
avec aucune frontière. Elles traversent aussi nos partis, nos confess
142
d’apaiser les ennemis de l’union en jurant de ne
jamais
toucher aux droits sacrés de vos États-nations ! Vous savez bien que