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-tête avec l’Allemagne » s’évanouirait devant les
joies
d’un bon voisinage avec l’alliée naturelle des steppes ? Était-il tro
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âme apaisée au plus pur des chorals de Bach. La «
Joie
suprême » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au Soleil disp
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res secrets. Mille tractations qu’il combine avec
joie
permettent de supprimer les douanes de notre zone : ah ! que ne pouva
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de cet inaccessible devient alors l’extase, « la
joie
suprême », la « Höchste Lust » d’Isolde agonisante. Cependant, ceux q
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e 1843, sous cette forme : « À l’Individu qu’avec
joie
et reconnaissance, j’appelle mon lecteur. » C’était là le prochain pa
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Tragédie est envahi de ce sûr pressentiment d’une
joie
suprême, à laquelle aboutit ce chemin de ruine et de déception, de so
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jour ne l’a vu. Profonde est sa douleur — Mais la
joie
plus profonde encore que la peine : La douleur dit : Passe et finis !
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ne : La douleur dit : Passe et finis ! Mais toute
joie
veut l’éternité, Veut la profonde, profonde éternité ! La voici, la
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la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en
joie
pure à la mort. On peut noter encore ceci : Don Juan plaisante, rit t
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aussi nettement distinct de tout autre douleur ou
joie
. Le sentiment qu’expriment les troubadours est typiquement adolescent
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modifient, distinguent et séparent — « mais toute
joie
veut l’éternité, veut la profonde éternité ». Telle est la forme de s
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e du Monde S’engloutir — S’abîmer — Inconscient —
Joie
suprême !132 Mais si le moi est dépassé, qui est libre ? Et qui pe