1 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
1 -tête avec l’Allemagne » s’évanouirait devant les joies d’un bon voisinage avec l’alliée naturelle des steppes ? Était-il tro
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
2 âme apaisée au plus pur des chorals de Bach. La «  Joie suprême » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au Soleil disp
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
3 res secrets. Mille tractations qu’il combine avec joie permettent de supprimer les douanes de notre zone : ah ! que ne pouva
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
4 de cet inaccessible devient alors l’extase, « la joie suprême », la « Höchste Lust » d’Isolde agonisante. Cependant, ceux q
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
5 e 1843, sous cette forme : « À l’Individu qu’avec joie et reconnaissance, j’appelle mon lecteur. » C’était là le prochain pa
6 Tragédie est envahi de ce sûr pressentiment d’une joie suprême, à laquelle aboutit ce chemin de ruine et de déception, de so
7 jour ne l’a vu. Profonde est sa douleur — Mais la joie plus profonde encore que la peine : La douleur dit : Passe et finis !
8 ne : La douleur dit : Passe et finis ! Mais toute joie veut l’éternité, Veut la profonde, profonde éternité ! La voici, la
6 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
9 la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter encore ceci : Don Juan plaisante, rit t
10 aussi nettement distinct de tout autre douleur ou joie . Le sentiment qu’expriment les troubadours est typiquement adolescent
11 modifient, distinguent et séparent — « mais toute joie veut l’éternité, veut la profonde éternité ». Telle est la forme de s
12 e du Monde S’engloutir — S’abîmer — Inconscient — Joie suprême !132 Mais si le moi est dépassé, qui est libre ? Et qui pe