1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
1 , un modèle de reconstruction, une ouverture très large aux grands courants du monde, bref cet esprit de la Renaissance qui f
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 fre donc des perspectives très favorables pour de larges secteurs de la population européenne en ouvrant des possibilités d’ex
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
3 ur, d’allure vive, d’esprit aventureux et de vues larges . Ma liste exprime un parti pris très net, qui est l’inverse de celui
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
4 nt ouvert une tranchée de 40 pieds de long, 10 de large et 10 de profondeur ; 70 condamnés, préalablement confessés par 6 prê
5 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
5 lles viennent de la misère et de la faim pour une large partie de l’humanité. Elles viennent aussi des formes de vie matérial
6 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
6 fugitifs ». L’auteur affirme d’ailleurs qu’« une large proportion » de ces hardis fugitifs retournaient à l’Est, ayant pris
7 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
7 es Alpes translucides. Et ces wagons spacieux aux larges baies, glissant en silence dans la pluie entre les collines, les usin
8 l’intelligence, Jacob Burckhardt, ces mêmes yeux larges et scrutateurs, ce regard maîtrisé, sans illusions, qui taxe le réel
8 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
9 . Ces Rencontres avaient alerté l’attention d’une large élite sur le problème européen. Elles avaient contribué à créer un cl
10 s bas, des tapis suspendus. Au-dessus de nous, un large dais carré, tendu de soie rouge et or. J’appuie ma tête contre les pl
11 assent le dossier des fauteuils. Cette nuque très large et rouge, c’est Ramadier ; cette nuque placide et blonde, c’est van Z