1 l’émanciper. L’éducation, dans toutes les langues latines , comme en anglais, vient d’educere, qui est « conduire au-dehors ». D

2 us les autres ? Il y a là le Yémen, le Liban, les Latins , les Hindous et les Américains, chacun dûment pourvu d’instructions d

3 posent. Mis aux prises avec un problème, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une méthode, tandis q

4 pour foncièrement incompatibles ? Les parlements latins sont les plus éloquents et font en conséquence la pire des politiques

5 Gnose en pleine effervescence, les Pères grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats, au surpl

6 onc à opérer la transmutation périlleuse d’un mot latin et de contenus helléniques en un dogme exprimant la nature triple et

7 monothéistes, puis se poursuivent entre Grecs et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sabelliens,

8 isme, trotskisme, social-démocratie germanique et latine , travaillisme anglais et scandinave, nouvelle gauche parisienne, diss

9 paysan de Gruyère, yodleur aussi, mais en patois latin . Si l’un d’eux invitait tel des autres à sa table, ce qui est à peine

10 qui se partagent le pouvoir dans les démocraties latines . Le fait qu’il y ait beaucoup de partis ne suffit pas à changer leur

11 u’il est démocratique. On parle de plébiscite (du latin plebs, populace ou prolétariat, par contraste avec populus, le peuple

12 es pétroles ; fondation des syndicats en Amérique latine  ; prisons aux USA ; puis, en Europe, Mouvement européen et groupe de