1 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
1 étend la théorie. Car le bon sens voudrait que le libéralisme utilise la contrainte contre ses ennemis, dans l’exacte mesure nécess
2 est le procédé sportif du handicap. Partout où le libéralisme s’y refuse, appliquant ses principes aveuglément, il joue le jeu de l
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
3 le rappelle à l’ordre. On a toléré son écart, par libéralisme sans doute, puisqu’après tout c’était un communiste. Certain libérali
4 puisqu’après tout c’était un communiste. Certain libéralisme revient en fait à laisser tous les droits aux antilibéraux et à eux s
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
5 et un régime de partis multiples ne tient pas au libéralisme de ces partis, mais seulement à leur impuissance. Cette « garantie de
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
6 ieu de l’interpréter comme un hommage rendu à son libéralisme , voie dans ce geste une offense à son autorité. Normal enfin que le s
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
7 fique » pour résoudre tous les conflits, c’est le libéralisme du xixe siècle, c’est ce que Marx attaquait et méprisait le plus. Qu
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
8 nges, ou corrigeraient les excès et les crises du libéralisme là où il existait, et l’on baptisait « plan » l’ensemble de ces décre