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que n’ait conquis l’immense majorité des peuples
libres
qui vivent à l’ouest du rideau de fer : parmi lesquels près de 300 mi
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rnes tyrannies. On ne peut forcer personne à être
libre
, alors qu’il faut forcer les masses à être masses. Et c’est pourquoi
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pposer des chefs-d’œuvre de l’art et de la pensée
libre
apparus depuis cinquante ans : ils parlent d’eux-mêmes et leur langag
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tre le moi et le destin social, entre la personne
libre
et la fatalité, ne serait pas concevable hors d’un monde qui date ses
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ue je nomme la personne. C’est un homme à la fois
libre
et responsable, libre parce qu’il est chargé d’une vocation qui le di
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e. C’est un homme à la fois libre et responsable,
libre
parce qu’il est chargé d’une vocation qui le distingue de la masse, l
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ions de croire qu’un lendemain plus vaste et plus
libre
reste ouvert. De plus, il serait faux de penser que notre idée europé
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rté, c’est-à-dire à la perspective d’une vie plus
libre
pour chacun de nous. Elle se lie à l’idée de contrainte collective, q
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es moyens de nous décider nous-mêmes, donc d’être
libres
. Car la seule liberté qui compte pour moi — dira tout véritable Europ
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uvoir toutes choses, sauf une : devenir un oiseau
libre
, ne fût-ce qu’un seul jour, rompre les chaînes de la mélancolie, où u
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at la vitalité insurpassée des Arts dans le monde
libre
. « Voilà ce que peut produire la liberté ! », disait en somme ce fest
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peut servir la liberté qu’en demeurant elle-même
libre
dans sa recherche. Il me reste à vous dire, en deux mots, pourquoi ce
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celui de l’essor scientifique. C’était votre cité
libre
et hanséatique, dont le génie nous semblait incarné par celui qui a l
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’est en ces termes que le bourgmestre de la ville
libre
de Hambourg, Max Brauer, a ouvert, le soir du 23 juillet, le congrès
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patrimoine commun est en jeu, lorsque la science
libre
est menacée.” Le célèbre physicien nucléaire James Franck, prix Nobel
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istratives est une manifestation de cet esprit de
libre
examen qui fait partie du meilleur héritage américain et qui manquait
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tants de l’Occident rendait l’initiative aux pays
libres
, dans leur confrontation avec Moscou : ils avaient pour une fois quel
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le premier jour, la désunion profonde des nations
libres
est proclamée par toute la presse. Et le second jour atteste l’un des
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ésultera nécessairement un « homme nouveau » plus
libre
ou plus heureux. Si l’on veut rendre compte à la fois de ces coïncide
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vertu. Le Dieu du christianisme a laissé l’homme
libre
de pécher ou de croire au pardon. L’homme se révolte alors contre cet
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sommée dès l’aube de l’ère technique, qui a donné
libre
cours à l’extrémisme occidental que fut le matérialisme sous ses form
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ce du xixe siècle durent se sentir d’autant plus
libres
de s’enfoncer dans la matière et son étude, qu’ils se posaient moins
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l y participe. Comment pourrait-elle menacer « le
libre
développement de sa personnalité » ? Certes, elle l’obligera à peiner
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une âme enfermée dans un corps. Il ne sera jamais
libre
et vraiment bon que s’il parvient à s’évader de la chair, de la matiè
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s, les typhons, les tremblements de terre restent
libres
; mais les plus grands fauves, la vermine et beaucoup d’insectes sont
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ubliés, ou ne saurais prévoir, qu’en vertu de nos
libres
décisions. (Ce n’est pas l’invention de la roue qui compte en soi, ma
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roit de disposer d’eux-mêmes. (Niet aux élections
libres
en Allemagne de l’Est). 8. K. dénonce le « culte de la personnalité »
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du procédé n’a guère été notée par notre opinion
libre
, tandis que les « progressistes » la portaient au crédit de la sagess
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e fin d’exonérer le groupe qui entend bien rester
libre
de les appliquer. Quant au sens général du phénomène, j’ai dit qu’il
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tue. Et, pour tout dire, recevoir l’ordre d’être
libre
, de telle manière prescrite et limitée, n’est pas encore se libérer e
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mmise au nom de l’URSS. Ils croyaient servir « le
libre
développement de tous » et justifiaient les camps de travail forcé, o
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ime — suffirait à les en libérer. III. « Soyez
libres
! » En dissolvant le Kominform, au mois d’avril dernier, l’URSS en
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demandaient pas tant. L’ordre de Moscou : « Soyez
libres
! », les a jetés dans un désarroi que le rapport de K. porte à son co
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’ordre ou qu’on le refuse, on ne peut pas devenir
libre
au commandement. Supposez que l’on obéisse. On s’efforce anxieusement
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obéisse. On s’efforce anxieusement de se montrer
libre
. Mais c’est perdu d’avance : la liberté que l’on feint n’est qu’une m
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ujets : « À partir de demain, je l’ordonne, soyez
libres
! Peignez-vous comme il vous plaira et cessez d’obéir comme des brute
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béir une fois de plus — ou sont-ils enfin devenus
libres
? Réponse : Il faut se laver, si l’on veut être libre. Refuser toute
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s ? Réponse : Il faut se laver, si l’on veut être
libre
. Refuser toute espèce de couleur. Telle est la seule révolution qui c
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est pas d’autre voie, et que vous ne serez jamais
libres
à moindre prix. D’autres difficultés créées ou révélées dans l’univ
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et dépend de l’intérêt du Parti, non de l’examen
libre
des faits. Cette vérité qu’ils disent maintenant par ordre, et que no
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le danger. Mais il n’est pas fatal que l’Occident
libre
y succombe. À de libres échanges, qu’avons-nous à gagner ? Peu de cho
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t pas fatal que l’Occident libre y succombe. À de
libres
échanges, qu’avons-nous à gagner ? Peu de choses sur le plan des idée
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us nous libérions ? Jamais je ne me suis senti si
libre
! » Ainsi parle Joliot-Curie, au congrès du PC français. Cela prouve
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ès de l’ONU, auprès de Nehru, auprès de l’opinion
libre
. Mais l’ONU ne trouve quelque force et n’accepte d’en faire usage qu’
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un bien réel pour eux ; car où est le mal… d’être
libre
au lieu d’être esclave ? » Là-dessus, l’on discutera sur l’opportuni
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illé plus d’une fois au premier rang de la pensée
libre
: qu’il suffise de citer le P. Teilhard de Chardin, lequel d’ailleurs
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ion condamne les menées communistes dans les pays
libres
d’Asie, Nehru dit oui, mais à la condition que fussent également cond
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de se défendre. Quant aux opinions, elles restent
libres
(en principe). Les échanges économiques se poursuivent dans la mesure
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au fait, ne le sont-il pas ? Ils le sont, non par
libre
choix, mais parce qu’ils possèdent la Bombe H. Chacun d’eux se trouve
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ale surgie spontanément parmi les hommes les plus
libres
de tous nos peuples ? Si Napoléon avait vraiment voulu créer les État
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s envahis que s’est nouée l’idée d’une fédération
libre
, mettant fin tout d’abord aux aventures des États-nations déchaînés.
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ntraint d’entrer, et nul exclu. Tout dépendra des
libres
décisions que leur peuple seul imposera aux États-nations d’aujourd’h
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ins procédés qu’on dit démocratiques : l’élection
libre
, le droit d’opposition, etc. A. — Mais les gens se moquent de l’étymo
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s élire. A. — Je persiste à penser que l’élection
libre
par le suffrage universel est le meilleur moyen de garantir les liber
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s humaines ? R. — Il est douteux que l’homme soit
libre
. Luther le nie énergiquement, et la cybernétique lui donne raison. Se
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urais aimé demander qu’on me rappelle la date des
libres
élections et du mouvement « d’en bas » qui ont porté Lénine au pouvoi
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eu de quoi, la grande presse et la radio des pays
libres
mais irresponsables ont tout fait pour nous aveugler depuis un an. Le
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en est un qui se trouve contenir 90 % des terres
libres
de glace, 94 % de la population et 98 % de l’activité industrielle du
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ime où les droits politiques sont garantis par le
libre
jeu des partis et de l’opposition ; et démocratie réelle (ou progress
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livre et parce que son auteur est resté un homme
libre
. Il est normal que l’URSS, au lieu de l’interpréter comme un hommage
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ts concrets du socialisme, sous l’étiquette de la
libre
entreprise, tandis que sous l’étiquette du socialisme, les Russes ont
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in, la jeunesse russe fera valoir sa nostalgie de
libre
échange. C’est fatal, c’est inscrit non dans le « sens de l’histoire
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ment d’hommes de culture qui se veulent à la fois
libres
et responsables devant eux-mêmes et devant la société. Peu de mois ap
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s conditions d’un meilleur monde, d’un monde plus
libre
. Et qu’un seul et unique parti pris vous anime : le parti pris de la
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-ce que Don Juan pour ce célibataire parfaitement
libre
de mener sa vie comme il lui plaît, riche et oisif, brillant esprit,
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ntané doit être en même temps la décision la plus
libre
… En outre l’une de ces choses ne doit pas suivre l’autre, la décision
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en lui son pouvoir d’appropriation subjective et
libre
de la vérité. C’est donc l’amour divin lui-même qui exige la communic
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s à n’importe quelle aventure grâce à un excès de
libre
jugement… Cachés sous le manteau de la lumière… des conquérants ! » e
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prême !132 Mais si le moi est dépassé, qui est
libre
? Et qui peut encore aimer qui ? C’est dans l’énigme jamais résolue d
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nt en République fédérale, manifestant ainsi leur
libre
choix au prix du sacrifice de tous leurs biens. Privés d’élections li
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sacrifice de tous leurs biens. Privés d’élections
libres
, ils votaient avec les pieds, selon la formule de Lénine. M. Khroucht
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’ajouter que Berlin recevrait le titre de « ville
libre
» en échange de sa liberté. « Pourquoi tuer deux-cents-millions d’hom
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re issue qu’ils voient encore vers un avenir plus
libre
. Priver un peuple entier de tout espoir n’est pas « consolider la pai
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rois jours plus tard, le premier train de charbon
libre
de droits de douane traversait la frontière franco-allemande. Bien d’
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iquement par des motifs politiques, qu’elle reste
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d’avancer142. Arguments économiques. — La Suisse a très bien réussi
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roupe de nations européennes. Elle tient à garder
libres
ses échanges avec le monde au-delà de l’Europe. En s’associant au Mar
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urd’hui), secret des banques et confort hôtelier,
libres
pour travailler et neutres à jamais. On arrêterait les frais de l’His
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imbéciles qui, en se liguant contre les individus
libres
et inventifs, solidifient ce qu’ils appellent la réalité, le monde «
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u. Mais dès lors que ce choix de notre avenir est
libre
, nous voici contraints de le faire, à nos risques et périls ! Nous vo