1 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
1 s l’un de mes premiers livres, « la décadence des lieux communs  ». Cette analyse, devenue à son tour lieu commun, a prospéré depuis,
2 ieux communs ». Cette analyse, devenue à son tour lieu commun , a prospéré depuis, par une ironie noire, mais sans porter remède au
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
3 bonne conscience naïve de l’artiste acceptant les lieux communs du temps, et c’est pourquoi nous les voyons chercher la naïveté comme
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
4 emple, c’est quitter le parti de la bonne foi. Ce lieu commun , solidement installé dans l’esprit de milliers de libéraux par ailleu
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
5 n’est plus jeune que sa manière de provoquer les lieux communs , fût-ce d’avant-garde, quitte à les rendre une fois sur deux à leur v
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
6 ne cherche qu’à gagner des parties. C’est un des lieux communs de la critique moderne que de nier le caractère donjuanesque du perso