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s l’un de mes premiers livres, « la décadence des
lieux communs
». Cette analyse, devenue à son tour lieu commun, a prospéré depuis,
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ieux communs ». Cette analyse, devenue à son tour
lieu commun
, a prospéré depuis, par une ironie noire, mais sans porter remède au
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bonne conscience naïve de l’artiste acceptant les
lieux communs
du temps, et c’est pourquoi nous les voyons chercher la naïveté comme
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emple, c’est quitter le parti de la bonne foi. Ce
lieu commun
, solidement installé dans l’esprit de milliers de libéraux par ailleu
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n’est plus jeune que sa manière de provoquer les
lieux communs
, fût-ce d’avant-garde, quitte à les rendre une fois sur deux à leur v
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ne cherche qu’à gagner des parties. C’est un des
lieux communs
de la critique moderne que de nier le caractère donjuanesque du perso