1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
1 un homme parfait, il boit souvent trop, et il ne lit que le Reader’s Digest. Je refuse donc l’un et l’autre également, je
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
2 la craie, trop facilement contradictoires, qu’on lit sur tous les murs de ce pays — « Algérie française » ou « Paix en Alg
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
3 rreurs ne fassent point nos calamités », comme on lit au Traité sur la tolérance.   Sur les « mémoires d’une jeune fille r
4 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
4 contre le défaitisme fataliste qui préparait leur lit dans nos démocraties. Il nous fallait courir au plus pressé, secourir
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
5 n Giovanni de Mozart. Dans le Journal de 1839, on lit déjà : D’une certaine façon, je puis dire de Don Juan, comme Elvire 
6 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
6 On ne sait pas toujours qui sont ceux que l’on lit dans les revues françaises, qui, très généralement, donnent les noms
7 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
7 a figuration. On surveillerait l’« occupation des lits  » et la moyenne des « nuitées ». On donnerait l’heure au monde entier
8 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
8 question était : Qu’est-ce que le génie ? Marcel lit sa réponse : L’impossibilité du fer. Et il ajoute : « Encore un calem
9 partie de sa chambre. Duchamp est allongé sur son lit , son petit échiquier dans une main, sa pipe dans l’autre. « L’impossi