1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
1 es de réaliser ces fins. C’est une grave faute de logique que de subordonner les fins aux moyens. C’est une grave faute pratiqu
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
2 imer la seconde parce que la première blesse leur logique . Il repose en effet tout entier sur cette « logique du contradictoire
3 gique. Il repose en effet tout entier sur cette «  logique du contradictoire » que M. Stéphane Lupasco vient de formuler dans de
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
4 déclarent « nécessaire » ; dans on ne sait quelle logique hégélienne de l’Histoire. Ils parlent beaucoup des « nécessités de l’
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
5 1955)v « Parce que nous sommes soucieux de la logique de notre action, il convient de nous demander ce qui a été ainsi (par
6 tion d’une force équivalente à l’Est ». Le schéma logique de cet article révèle une rigueur proprement masochiste : Esprit ay
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
7 du cosmos tel qu’il le conçoit, à la transparence logique de la totalité posée par l’esprit… Et il ne s’agit pas là seulement d
8 nces et les lois établies précédemment. La pensée logique elle-même éprouve le besoin de se mettre sans cesse en échec, non pas
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
9 le de besoins qui auraient existé avant elles. Sa logique n’est pas celle de l’utile, mais du jeu33. Or qui dit jeu dit règles
7 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
10 scou et les PC européens… Ne serait-ce pas qu’une logique interne, ou qu’un plan savamment préconçu, détermine l’allure de la c
11 e « n’être qu’un anti » ; et comme, en fait et en logique , on ne connaît pas d’opposition qui n’implique une certaine position,
12 s contradictions insurmontables, non seulement en logique (on l’a vu), mais peut-être aussi en pratique. La crise est telle, au
13 seconds renient ? Ceci me rappelle un embarras de logique diaboliquement imaginé par l’innocent Lewis Carroll, dont l’humour co
14 Unis, sont des amas de réalités, non des systèmes logiques ou organiques. L’esprit critique peut opérer dans ces amas le choix d
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
15 t capitale, parce qu’elle pousse à l’absurdité la logique jacobine d’une souveraineté suprême accordée à ce mythe : la Nation.
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
16 e de ce qui vient de se passer, et de l’infernale logique du régime qu’ils approuvent. Ce n’est certes pas plus « rationnel » q
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
17 s fonctions ».) Allant jusqu’à l’extrême de cette logique , j’annonce dès aujourd’hui que l’arrivée sur la Lune d’une mission so
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
18 uand il s’agit de l’avenir européen. Rien de plus logique , malgré les apparences un peu complexes. Mais l’électeur comprendra-t
12 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
19 t suggérer leur solution. Il y a longtemps que la Logique de Port-Royal m’a convaincu qu’on peut faire dire aux mots tout ce qu
13 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
20 rable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logique du Mythe, en l’absence de tout autre élément qui autorise la comparai
21 ble bien avoir écarté cette fin-là, conforme à la logique du Mythe, pour s’engager dans la voie difficile d’une recherche de l’
22 t et d’autre. Sensible à la présence cachée d’une logique totalement différente de celle qui dicte normalement les prises de po
14 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
23 séries de réalités humaines obéissant chacun à sa logique propre, se croisent en ce point de scandale absolu. Il y a d’une part
15 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
24 Witz (la boutade, le trait d’esprit) est la forme logique et naturelle que revêt la sociabilité chez le solitaire qui garde ses
16 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
25 e la structure du drame comme par une création de logique intrépide. Elle nous impose, par la vertu d’une cohérence inoubliable
17 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
26 reux « accident de l’histoire » vienne déjouer la logique du mythe. 126. « Celui qui ne sait pas trouver le chemin qui conduit
18 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
27 nduit pas nécessairement à une Europe fédérée. La logique de ses règles et méthodes, admirablement adaptées aux conditions de l
19 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
28 et qu’on ne se laisse pas entraîner par une verve logique ou polémique qui risquerait de paraître peu réaliste, voire peu suiss
29 digne des éléates, le problème insoluble en bonne logique  : comment faire valoir les succès d’une morale de la modestie ? La Su
30 plexes et enchevêtrées. Les notions de succession logique et de séparation topographique des éléments distincts, hier dominante
31 a mort. Je n’oublie pas que le discours est d’une logique plus exigeante que l’histoire réelle des hommes et des nations : ses