1 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
1 sme et naturisme dans une alliance imprévue, mais lyrique . Avant d’analyser les deux groupes de motifs, une remarque générale s
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
2 rance tout dans la critique morale et l’invention lyrique , la chronique incisive et les vastes systèmes, et qui a le sens de la
3 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
3 ’âme, ou d’une femme ?) se fond dans une identité lyrique  : Au fait, qu’était-elle donc pour lui ? Oh ! à cette question, il a
4 t n’existe peut-être jamais mieux que dans l’élan lyrique de son récit. Lié plus que tout autre à la littérature par une compli
4 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
5 , tout en mettant le Poète au plus haut comme pur lyrique sans faille et sans clichés, prend ses distances : Rilke, écrit-il, a
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
6 an — pour des centaines de pages enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la légende et de Mozart. Le contraste entre cette
7 auteur par un ouvrage sur la musique, la tragédie lyrique et le mythe : c’est L’Origine de la tragédie, qu’il publie à 28 ans.