1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 es servitudes intimes du moi, afin de dominer ses mécanismes et d’en tirer une liberté plus haute. Or le fondement de cette révolu
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
2 s ne sont plus que les « compléments vivants d’un mécanisme mort ». Or, ce n’est pas ce mécanisme mort qui peut en être responsab
3 ivants d’un mécanisme mort ». Or, ce n’est pas ce mécanisme mort qui peut en être responsable. Ce n’est pas la machine qui rend u
4 de ces prolétaires « les compléments vivants d’un mécanisme mort ». 38. Romains 8, 18 à 24. 39. Auguste Barbier, Iambes, cité p
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
5 et l’y recomposer… Accidents à prévoir : arrêt du mécanisme en cours de transmission, modifications du corps après plusieurs voya
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
6 les tourner (seule solution pratique), créons des mécanismes irréversibles : la CECA, le Marché commun et l’Euratom ; et que les p
5 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
7 té, c’est l’organisation : l’uniformité, c’est du mécanisme . La variété, c’est la vie : l’uniformité, c’est la mort. » Au même mo
8 son canton natal, Zurich, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie civique : il n’hésite pas à les proposer en modèle pour
6 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
9 l’union politique devra s’ensuivre, en vertu des mécanismes supranationaux institués dans certains domaines clés. Enfin, la confé